letra de freestyle voyeurisme - waltmann
[couplet 1 : caballero]
appelle moi brigitte bardot, fils, j’ai d’l’amour pour mes dawgs
dans un monde où les potes restent et les b-tches partent d’office
alors qu’ils lâchent des lignes style scatophile
ici, ça cogite à l’élaboration de milles rimes atomiques
des métaph0r-s lourdes et ça s’voit, du style
c’est pas dans l’rap qu’tu verras un mec aphone trouver sa voie
mes gars font qu’rouler chaque soir
dû à notre mauvaise conduite, on est plus sur l’droit chemin
beaucoup d’dérapages, tu vois de quoi j’parle
[couplet 2 : walter]
j’avais rendez-vous mais j’ai préfère m’absenter
ce type est saoul permettez moi de m’exprimer
c’est fou tout ce qui me rendait fou
j’me laisse tizé le sucre roux
le déguste à la folie, ça jusqu’à la colique
normal qu’ils échouent s’ils restent polis
vu le séjour prenait le temps de l’apprécier
j’essaye au mieux d’unir les forces et je suis blazé qu’elles s’essoufflent
si j’étais odieux de vouloir doubler les potes
c’est par inadvertance que j’te fourre
la terre tremble, surviens une secousse
[couplet 3 : tonio mc]
ecoute, ma démo mec si les routes de paris m’oppressent
p-sse l’apéro frère j’oublie les faf qui mettent des roustes à mes collègues
tout un tas de blaireaux testent, font les beaux mais touche zéro pèse
s’mettent sous cracks et font les frappes, méritent des coudes dans les molaires
mate les vers sont symétriques
cimer si t’apprécies les tracks c’est pur mes gars les idées barges que je déballe mes idées idées tristes
des tas de récits j’te parle avec des phases précises et justes
je rêve d’une france métisse et fils, tous les soirs quand j’ai tizé plus
[couplet 4 : bhati]
je vois que rien ne change ici et que c’est toujours la de-mer
moi je me démerde, je m’énerve et j’ai l’air de faire le fier en deux vers
et je repère les injustices comme finir sous un jus de p-sse
j’ai peur de perdre mais j’ai l’herbe et j’espère qu’un jour j’vais faire plein de trucs peace
comme rallié les frères et être positif pour les go qui kiffent la prose aiguisée
j’misait sur les gosses qui giflent les clichés
ouais ici c’est la galère même si s’en a pas l’air
des sales affaires je rap a l’heure ou y’a pas de salaire
[couplet 5 : mothas]
garde la capitale mais y’a pas de miracle
j’adhère a tout style même si pour les touristes j’habite à paris plage
toujours sans limite tu m’as pas senti venir j’suis ce fan de gandhi, fils
sponso par mes potes, pas par habita, rimes lourdes sans baccara
agrandi mes vues entre dix ratures même si les blems sont les mêmes de bx à paname
et je pense qu’aux miens c’est vrai je suis pleins de respect
je meveille même si le rap se perd se perd comme montmirail au 20 siecle
[couplet 6 : lomepal]
j’veux estimer ma vie de charognard
c’est pas trop ça faut faire le tri dans l’esprit sans ves-qui les avis favorables
un texte vrai j’garde la mine affûtée
thanxlave ma marque de fabrique guette les gars de ma clique s’allumaient
il me faut vite une astuce c’est absurde
faut être avenant dans cet avenir sincère avant de voir un ovni sur l’avenue
bloqué c’est la porte au nez choqué de l’apprendre
mais je vais décollé de ma chaussée jusqu’à chopé de la corne aux pieds
[couplet 7 : georgio]
a la recherche des merveilles mais alice, c’est une putain de sa mère
j’veux des putains de salaires et que mes voeux se réalisent
j’rap sous ma capuche, trempé par la nuit d’un soir d’hiver, tu piges
une soirée sans ivresse ça pue comme des sanitaires publiques
j’aime la mélancolie sous un air de jazz
dans les élans de folie les verres se c-ssent il te reste ton herbe gr-sse
je connais pas les bancs de la fac, sur ma tête du gel pas de bandana
moi et mes potes on est un bande a part
letras aleatórias