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letra de f40 - veerus

f40 lyrics
[paroles de “f40” ft. nahir]

[intro : veerus]
yah
yah-yah

[couplet 1 : veerus]
j’ouvre la bouche, brûle la ville comme néron, north side, température : zéro (yah)
les taros montent comme des arrières latéraux donc ma sacoche fendi est marron comme blaireau
ils sèchent leurs lames dans des liasses de cent, masqués comme s’ils passaient l’sas de banque (cash)
le savoir est une arme et pythagore te protègera jamais contre les armes blanches
italien еst l’cuir, allemand est le vaissеau, on manque d’unité, on n’a plus de réseau (yah)
on se réveille que pour chercher le pesos (cash), si l’mensonge est une goûte, la france, elle perd les os (yah)
j’crée du liquide comme la condensation, depuis l’île de gorée : aucune compensation (nan)
des phases en rafale, j’suis un mac ten (rah), j’sors du blizzard, du feu dans les artères (rah)

[pré-refrain : veerus & nahir]
c’est 140 sur le navire (yes), paire de lunettes teintée comme si j’étais davids
mature depuis l’échographie, économe, autour des euros, on gravite
araï music sur le navire, toujours au mitard comme iniesta, xavi (toujours)
mature depuis l’échographie, économe, autour des euros, on gravite (ouh-ouh)

[refrain : nahir & veerus]
le boulot, on fait (on fait), un corps, un fer (un fer)
les autres sont faibles (sont faibles), pour les euros, on fait tout
le boulot, on fait (on fait), un corps, un fer (un fer)
les autres sont faibles (sont faibles), pour les euros, on fait tout
[couplet 2 : nahir]
zéro-zéro, j’lève la foule en arrêt d’jeu, la frappe à r. carlos en lu’-lu’
pur produit d’la banlieue, celui qui t’rackette la brique de jus suivi d’tes princes de lu (hi-hi)
j’sais toujours c’que j’vais prendre, j’regarde jamais l’menu
j’fais jamais d’mané-ci, j’les enclenche à mains nues
mieux vaut pas s’pointer si t’sais qu’y a aucune raison qui fait qu’tu sois venu
j’te l’ai dit : j’suis d’passage comme si j’étais au mcdrive
comme si j’sortais d’une pipe après un massage thaï
laisse-les dans l’audi, j’les rattrape en qashqai
tu m’vois sans voix, rico, j’ai l’habitude des cache-cache
j’ai l’état d’santé couci-couça, mon cousin
fils de pute de covid me suit jusqu’au coussin
j’suis déter’ depuis ma première nuit dans l’couffin
j’fais une passe avant d’finir au stud’ à 2.20 (nion)
j’suis dans la ‘sique et la zeb, et la zip’ sur un zip
on refile la mort à toute heure, le pilon qui colle la paume qui t’abîme le crâne
à l’occasion, on ne fait pas de chrome (ouh-ouh)
on est cramés de ‘dam à paname, on ramène la drogue

- veerus

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