letra de poésie moderne - vald
[intro]
v.a.l., finies les lumières, les demi-philosophes
place à la poésie moderne
[couplet unique]
virtuel, j’connais qu’l’amour pixel
c’est réciproque, on s’dit “je t’aime” seulement si j’te ken
correctement, guette comment l’artiste fait
guette nos tristes têtes quand ça boit d’la tise de merde
j’ai la flemme de m’accrocher donc dis-moi si j’te gène
gros, tu voulais des câlins mais le vice te serre
déjà dans ses bras, maintenant c’est le sh-t qui t’berce
y’a pas que les bites qui percent, j’regarde les vils-ci qu’errent
vie d’smicard, les putes sucent en ville si tard
marre d’idylles mirages, en attendant mille miracles
et sur des deals minables, philosophie d’misérable
j’rêve de maille, certains simplement d’eau minérale
c’est pas d’hier, les ches-lâ imitent les braves
j’me plains, certains gardent espoir sur les mines d’irak
mais à quoi bon ler-par, la jeunesse si vite s’égare
si ça part en commérage, faudra que t’évites mes gars
vite dégage, à l’occas’ évite les balles
j’ai mes ‘blèmes, rien à foutre de ta vie d’pédale
j’fais pas des phases, j’décris l’ambiance générale
j’préfère m’enterrer àl que d’traîner à châtelet – les halles
ça met des coups d’shl-ss partout ça s’croit dans zelda
ça parle de touzes-par, cabouches ou de beretta,
génération d’tarlouzes, ça s’shoot au velleda
et ça rigole une fois dans les vapes, et tourne une fois dans les caves
plongé dans l’vice, y’a pas d’pause d’évêque
j’suis dingue des putes, à la manière d’un proxénète
viens voir mon pote, c’est net, couz’ arrête la prose, t’es guez
on s’fait iech, ramène le zeb qu’on s’explose les nerfs
ok, j’expose l’effet, guette ta vie en rose ténèbres
t’es tout seul dans la pénombre, même plus qu’ton buzz qu’éclaire
mon daron bosse vénère, mes res-frè enchaînent les vers
mec, j’suis trop déter’, la flemme de finir prolétaire
la tête en l’air, j’suis pas né juste pour frôler terre
anglais-français partout pareil, c’est la holy merde
car l’amitié est dérisoire devant une paire de jolies fesses
t’es dégoûté mais lève ton verre et laisse la folie faire
et laisse la politesse aux mythos qu’ils s’y perdent
j’veux pas d’tes restes de sympathie donc moi gros, j’hiberne
t’façon, j’suis d’jà marié, c’est juste que ma dulcinée erre
mes vers ne sont qu’nos vies en feat avec lucifer
j’hallucine et erre dans des ambiances linéaires
l’ambition d’carter hurricane en rimes aux effluves urinaires
j’hallucine et erre dans des ambiances linéaires
l’ambition d’carter hurricane en rimes aux effluves urinaires
ster-pi des talons, ter-pelo des tétons a tâtons
en te-boî, deux couches de d’teint fond
t’es toute impatiente de t’la prendre
apprécie l’talent éclaté dans tes tympans
et nique sa grand-mère d’être galant, j’ai trouvé l’temps long à t’attendre
[outro]
eh ouais mon gars : vulgaire à point, ironique à souhait, sensé dans la bonne mesure. un super mix de tout ça, c’est v.a.l.d. gaffé à ta moustache. cace-déd’ à gcc. “hmm, hmm, oh ouais tu vas pas l’faire”. wesh, wesh l’oreille, cesse de faire la sourde
letras aleatórias
- letra de nuage - luv resval
- letra de задыхаюсь (zadyhayus') - hammali & navai
- letra de suspicious minds - divingstation95
- letra de sure of myself - cleo sol
- letra de cascade - y-bros
- letra de che colpa abbiamo noi - the rokes
- letra de lost and sound - sacred snow music
- letra de luigi's lament - hugh davies
- letra de who will it be - john valenti
- letra de no sirves más - verónica ávila