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letra de hs (version planète rap vald #v) - vald

[couplet 1 : vald]

tu vas t’habituer à jouer les malins
tu vas t’habituer à fourrer des tapins
tu vas t’habituer à rouler dès le matin
tu vas t’habituer à douter des câlins
souper, décalé, couper des cahiers
découper et tailler
pas de nouveaux copains
tes nouveaux copains, c’est les nouveaux blèmes
tu connais le thème, pas besoin d’détailler
oui tu voulais nous faire oui mais voilà
quand la magie opère, tu la vois pas
tu t’vois pas possédé par ta guapa
tu crois encore que jafar repartage
t’y crois pas mais tu mets leurs reportagеs
tu prends le micro pour rien dirе de dément
tu mérites les avertiss-m-nts de bavardage
t’es chaud toute la nuit
pour t’élucide, c’est qui lassui ?
est-ce qu’il est juste ahuri ?
est-ce qu’il m’fais jouir ? ah oui
j’fais des rimes, c’est ma lubie
quand frédéric débat du vide
j’crois tout le temps j’ai que des mégas tueries
heureus-m-nt j’ai l’équipe qui m’évalue vite
tous les jours c’est halloween
j’suis un joueur de hockey dans ta cuisine
j’peux tout faire, sauf retourner à l’usine
en ce lundi, booty shake en legging
en ce mardi, booty shake en fishnet
tu t’en fiches tu t’en fiches mais t’es fiche s
avant de te tuer, ils vont tuer ton business
avant de te tuer, ils vont tuer ton business
j’crois qu’on a trop parlé d’oseille
ils ont cru ça suffit de mal rapper, qu’ils en veulent
ou bien de faire genre qu’ils en ont
des flows de plus en plus zemel
[?] anneaux, rempli zeubi, on dirait leur [?] gazé
j’leur parle comme une maman quand j’leur dis qu’il faut s’écarter
[couplet 2 : charles bdl]
le rap m’a lobotomisé, pas de propos lissé, je ne produirai jamais de propolis
shichibukai, s/o crocodile, caucasien besoin d’coloniser
si rokhaya m’voit elle va pâlir comme les bourgeois qui tapent la coke au lycée
24 piges et j’ai déjà passé la moitié d’ma ie-v alcoolisé
avec ma tête de branleur, j’éjacule à la face du monde
je vis de lumière comme l’ombre, je dicte l’heure comme londres
j’suis celui qu’il fallait détruire, aka cqfd, j’sors des hécatombes
j’fais du pe-ra qui marque, vous, du reggaeton, on est chez adidas, vous chez décathlon
on f-ck tout comme eren, j’écoute plus, je chante “le chant des sirènes”
dans l’antre d’irène au sommet du babylone, la version bleuno de l’asylum
j’te-sau dans l’arène depuis l’callejón, echelon, l’antenne logo papillonne
c’est les-char donc appelle moi pas guillaume, peu franc, ce que je lance, je vous shaquillone
air ball, rebond, j’atterris dans airpods
mc périssent sous mes air force, près de l’ennemi comme reiner et bertolt
ma psychologie violence apologie, watcha la weskot
nique la physionomie, dieu a inventé le headshot

[refrain : charles bdl, rafal, yonidas]
headshot, headshot, je prends ta b-tch et je surfe
headshot, headshot, headshot
headshot, headshot, j’rends les kichtas si j’meurs
headshot, headshot, headshot

[couplet 3 : yonidas]
j’t’appelle quand je suis bien arrivé
il est taillé donc le dos j’ai tourné
trop tard pour m’filer des prods
long bras comme yoka, c’est plié
j’te recrute pour rouler mes doubies
j’dors plus, j’download les tueries
une fois gé-char à bloc
j’retranscris, ils perdent foi en l’inspi’
j’te rappelle à l’ordre, oublie pas qu’j’suis le das
on s’rémunère propre et fait joujou plus tard
ma parole se transmet, s’refile
j’ai le r zéro d’un boug sans le masque
respect s’fait moins en moins petit
quand tu portes c’qu’il y a dans ton froc
en dm, guides touristiques m’invitent
et j’sais pas elles ont quoi les ex de mes potes
elles me textotent
que des “vu”, le meilleur trophée serait une fiche s
casquette pour pas voir un faux ciel
nos ze-bla effaceront tout l’reste
tous mes morts guettent attentivement
je cherche en moi la richesse
qu’elle se manifeste physiquement
dragon noir aux yeux rouges
veut pas manger au crous
il peut changer tes goûts
si cordes vocales s’coupent
et te fait redevenir boue
mais comme the d.o.c toucherait quand même des sous
j’m’adapte comme un verre photochromique
opaque aux lumières, plus qu’une bastille
bastos arrive sans fil, faut savoir que c’est nous la bonne psychotronique
[refrain : charles bdl, rafal, yonidas]
headshot, headshot, je prends ta b-tch et je surfe
headshot, headshot, headshot
headshot, headshot, j’rends les kichtas si j’meurs
headshot, headshot, headshot

[pont : rafal]
j’vais dans l’sens inverse des flèches
et le commissaire se fâche
mes copains exploitent les brèches
tennessee whiskey dans le flash
mac-eleven pour les fachos
jette les opposants dans le cachot
fais sortir ces putes de leur cachette

[couplet 4 : rafal]
c’est le manque d’oseille qui nous handicape, j’ai des taches rouges sur le sweat
daddy cali cal, shoote le body cam vu le poltergeist qui me suit
oh, ici, y a pas d’adversaire, c’est easy
j’démonte les prods de seezy, c’est pour ça qu’elles veulent toutes mon zizi
avec le casque de magneto et les mêmes pistolets que bayonetta
j’ferme les yeux et je vise son cameltoe, les enfants du jukai sont des kamikazes
on trouve le one piece, on finit hokage, vous ne ressortez vainqueurs en aucun cas
ton rappeur favori dans un bukkake, je combine la verte et le bon taga
rejoue la sonate, point sur le sonar, les novices jouent la zone
l’enfer c’est moi, pas les autres, tu parles mal et tu sautes
on fait la course contre sonic, mojo fait fondre les solides
personne ne sèche les larmes du soleil, un jeune qui vient d’en bas vise le sommet

- vald

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