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letra de freestyle booska nqnt 2 - vald

qui sont-ils? que font-ils? qui compose la comptine
les repas d’la cantine?
l’ascension consiste à saucissonner ton âme sensible à ceci
cela, après “ça va, ça va, ça va”
même si couci-couça mais ça va, mes savates sont là-bas
et mes pieds sont ici, les cadavres font peur
mais on reprend les gimmicks

remplis l’-ssiette, dispose l’argenterie
suce ma bite, sois gentille
tu vas ter-sau si ça part en vrille
les marmots niquent tout c’qu’ils peuvent, les parents crient
croque-les comme dépouille à l’autopsie
débrouillard, j’vais être au top
et j’transperce les brouillards, j’encourage luhia (allez luhia!)
quand j’aime, je baise, quand j’aime pas, j’baise aussi
heureus-m-nt qu’dieu nous aime!
le feu danse sous le ciel, ça fout le zbeul
je prends la grosse tête et les miettes
je n’laisse que l’squelette
je n’ai que c’que j’mérite et tu es
mais j’sais pas ce que c’est
j’ai la tête sur les épaules et dans l’étau
trouve-moi, trouve-moi dans tous mes états lorsqu’il est tôt
j’ai mis les voiles depuis longtemps, nuage de fumée virevoltant
j’oublie un temps qu’mes pilotants
et puis l’otan détruit, on danse
et puis on danse et tente de trouver d’l’or
ou prouver qu’leur existence vaudrait plus que celle des porcs
on ouvre des culs, ferme des portes
trouve des puces vers des corps
quel décor où même les morts nous détestent et jettent des sorts
moi, j’reste dehors pour le reste de fiole
et j’perds forme après en pleine forme (en pleine forme)
tête de corbeau à chaque coin d’rue, derrière chaque putain d’sourire se cachent plein d’machins pointus
j’guette le bord, c’est d’jà l’début d’un souci
j’peux dave-bé jusqu’au suicide
on fera des livres sur sully pour qu’j’ressuscite
j’tire les cheveux, cire mes pompes, vire les pet-ts
je vise les trompes, tout c’t’oseille qu’arrive en trombe
tout l’pavillon tremble, toute la vie on semble, toute la vie ensemble
toute la vie on mange sans blé, toute la vie nos anges sanglés
toute la violence à cause d’enfances pointées, tout paris en sang
des écailles, des écailles, sully ch-sse les lézards
j’effrite l’herbe comme link des zelda, des zelda
t’es chimique mais baisable, pardonnez nos zens visant
les étoiles, les étoiles, les étoiles
j’les téma du quai d’en face, ces putes sont mal éduquées
ils s’croient dans la place mais, quand l’rer p-sse, j’insulte les mamans, dis-moi, qu’est-ce qu’ils vont faire?
j’suis plus chaud qu’avant, avant, j’étais du-per, j’disais: “qu’est-ce qu’ils vont faire?”
maintenant, j’suis certain, gros, qu’est-ce qu’ils vont faire?
sortir le uzi, nous rafaler dessus?
tu travailles à l’usine, ta meuf est stupide et velue
t’es venu, t’as rien vu
la queue dans un cul, ton âme consumée comme l’indu
le lundi au soleil au sommet des marches de la sécu’
quand j’ouvre un œil, je cherche une issue, à l’horizon, que des murs, c’est gore
ils ont fait des pubs afin d’cloisonner l’eden, empoisonner nos visions
la faim nourrit les rêves, et ma main rougit tes lèvres
l’25 est funéraire, nos vies sont hardcores
nos visions arborent des lunettes pour cacher nos reflets
fonce-dé comme sur booska-p mon re-frè

grand pilon à ma droite, grand pilon à ma gauche
j’suis au kilimandjaro!

friend black, j’rentre sur la prod, tu c-sses que la nuque
mes amis me protègent de la foule, j’suis l’olive dans l’alu’
souhaitez-moi bonne année, amour, gloire et santé
le bolide dans l’allée
nqnt 2

- vald

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