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letra de echelon vv5 - vald

[paroles de « echelon feestyle”]

[couplet 1 : vald]
bang, bang j’ai besoin d’aucune sec
extrême, j’ai besoin d’aucune secte
nan j’suis bizi ouais, j’vais te bilf elf
j’jouie si être en 2007, (woaw)
tu parles bizness, j’fais une fixette
j’crois que la bête deviens discrète
j’ai trop d’flow, on dirait une mixtape, (bang bang)
j’cascade, on dirait ewi sep
sous sh-t, c’est mon seul anti-stress
soucis, c’est qu’tu sens la tigresse
mourir ça me traumatiserai
trente mise, va dans ta dicerte
j’reviens mystérieux ousbek, ousbek
j’reviens laver toutes ces bouches, bacs, (bouche bacs)
j’suis comme la vérité, tout part
j’tire pas j’vérifie qu’le coup parte
j’suis trop pâle, pour ne pas être coupable
j’vois le dél’ dans un picasso pablo
j’vois l’coffre aussi, derrière le tableau
j’vois tout, comme la voix d’bois vodka bleu
j’largue tout, pour un dernier salto, dans le mercato
tant qu’on fait ça, (comble)
ca compte pas toi, quand tu le fais sale con, bleu
c’est le confinement, cette année sale con
j’apprend, je rassemble des amo, (amo)
j’la prend, je la venge des salops, (salops)
j’suis au dessus je charge le allo (allo)
(j’suis au dessus je charge le allo)
j’apprend, je rassemble des amo, (amo)
j’la prend, je la venge des salops, (salops)
j’suis au dessus je charge le allo (allo)
(j’suis au dessus je charge le allo)
[couplet 2 : yonidas]
j’ai pas de 3ieme oeil c’est clair
mais guette après les bombes nucléaires
j’ai l’allonge de l’arché dans le désert
elle s’allonge elle s’est prise pour le dessert
le rap au fond de l’enclave j’suis l’dernier rempart chez les sédentaires
j’me crame pas avec tes gens crades, ma troupe de gendarmes tire sur les enfer
mon ame elle est chère tu peux pas te l’offrir
bricrave des formations, t’as peur de dormir
mon art il est frais tu veux pas te l’sortir
mon charme il opère je vais pas te maudire
pass out dès la première partie
echelon ma biche, echelon l’affiche
y’a pas d’zarlé, que des ovnis
j’viens pas parler j’pousse dans les orties

on s’capte à la gare, on retourne la nation
tous à la table, pense à la façon aux toux qu’on aggrave, ouvre la boisson
trou qui s’aggrave, louche la passion
que le biff, comme la fondation
pour le coeur je prolonge les contractions
j’suis hostile donc soit un bon garçon
insomnie j’empire dans mon salon
j’suis dans l’polar pas dans l’cauchmar
les dandys et les ex tolar valident l’oracle, on bosse tard
j’frotte mes deux yeux jusqu’aux cocards
j’suis un bozard, un bozard
quand j’le tecla ils sont trauma
j’tema trop mal, j’suis autre part
j’frotte mes deux yeux jusqu’aux cocards
[couplet 3 : rafal]
(oh, oh)
a chaque nouveau stat, ça s’gâte
entre eux et tout ces moi, ça s’tape
j’vise la tête, et je vise un stack
j’ai les basses qui remplissent un stade
elles sont cheum, sans les filtres insta
nous sans sh-t, on est vide instable
yo, pourquoi tu veux rogne mon style ?
j’allume un koffi, j’allume un stick
met du respect, si t’es refait
les petits en bas, seront tes ravisseurs
j’suis pas un start, j’suis un arnisteur
temps additionnel, on mène au score, (headshot, no scop, no sheet, no k)
je la soulève, j’suis pas judoka
wesh, petit frère, tu loupes des occasions, (wesh petit frère)
et le médaillon, frotte mon pénis
tout ces jeunes blancs fanatiques
qui veulent être moi, c’est du pain béni
tu peux pas flex, en laténie
d’après mes calculs, un plus un, égale onze-mille
je contrôle les frappes, comme ozile
avant qu’on arrivee, c’était gozile

ce truc froid sur ton gozchit, c’est pas un joujou
je trip-hard pour toujours
je sauve la, dans le donjon
on baise le monde, mais en chanson, (ouais)
la vérité, c’est un mensonge, (ouais)
le mal traverse, les dimensions
j’vais tout fait attention
[couplet 4 : charles bdl]
ecoute mon rap, il est conscient
les capotes, c’est moins cher que les pensions
bosser, fait le bonheur des grands
mais, selon les chômeurs en sweat champion
les riches que je connaissent, se branlent la queue
j’en ai marre de bosser, j’pourrai vendre la beuh
je n’ai pas le profil, que présente l’un d’eux
j’pourrai cacher l’profit, a ces cancres, (la beuh)
jamais, j’ai les bras immobiles
insolent, comme ibrahimovic
et violent, comme un paris – l’om
j’ai des idées de papy, comme un kie loren
j’joue sur les marionnettes
j’viens de la ou s’fabriquent les bayonnetes
c’est pas des le-bron, que le chariot lève
elles chantent bertrand, elles ont le charie aux lèvres

je viens d’une planète rouge
j’arrive, tu t’sens élever l’pouce
j’vis parmis, les moutons, avec un stand, de loup
j’ai pas peur des titans, suffit de viser l’coup
ouais, j’suis méchant comme les group
j’suis défoncé tout l’temps, comme les modes de l’ecrout
pendant qu’ces péder se triturent le trou
j’suis debout, j’ai les pieds sur la figure de trou
nous c’est echelon crew, quelques mesures, pour justifier le coup
ca devait être plus cher, mais j’ai pitié de vous
cache les benef, avant clichet le troue, ouh
j’viens pour fracasser tout, ouh
j’viens pour ramasser l’flouz
rien qu’j’en parle avec vous, y’a aucun moyen qu’j’partage avec tous

[couplet 5 : suikon blaz ad]
j’arrive comme dans une
relation bébé maman, passe le blé (din) un homme
faut qu’j’sors de ma bécane, tout le monde est dans la place
faut qu’j’en bénisse la place, j’en ai rien a péter
d’leur histoire de permis, gros, j’suis premier d’la classe
j’ai pas vendu d’la cam, je vais vendre ma cam
je les frappe dans la mâchoire, pas sur la taille
pourquoi tu t’attaches, ça complique la tache
gringe, la complique et la cache
y’a poussière sur l’matelas, y’a du sang sur l’matelas, (y’a des roses sur l’matelas)
on rêve du matelas
sont sortis de sa case réalité matelas
ella va tuer par ci, elle va tuer par la
elle va t’donner a boire, elle va t’donner à graille
elle va t’cogner à gauche, elle va cogner à droite
elle posera la morale, et drop la foie
tu croques dans la pomme, elle est bonne la part ?
quand les forces s’assoient, c’est l’répit du savoir
quand le diable te parle, t’es séduit de savoir
invisible, comme le gaz toxique de la salle
tu a vendu ton corps, pour le prix d’une salade
et t’as vendu ton âme, pour le prix d’une carotte
tu t’es pris une carotte, racontes pas tes salades
oui, le destin attrape, c’est l’heure d’passer à table
on vas couper la faim, a tout ceux qu’ont la dalle

echelon musique

- vald

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