a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de rock lee - tristim

[couplet 1]
attends, je prends mon médicament, (lean)
tu vas te manger des drunken fists, (brrr)
ou une reppû, je vais scinder tes ligaments
ça m’fait gerber de voir que ces cucks existent
j’me classe pas dans vos prédicaments
immortel, elle est sans fin ma bucket list
j’rappe intelligemment, mais impertinemment
j’les terrifie sciemment, les cadavres j’enterre efficiemment

peau érubescente sur chair en ébullition
dans le cerveau l’érudition
et dans le glock les munitions
petite pute j’t’étudie l’fion
le lord cala pas ces stupides pions
j’retire les poids sur les jambes et j’accélère
j’te frappe vénère
j’suis grave déter, comme futur roi des mers
j’vois l’éther, sale mégère, crois, espère
nique un faux reuf qui exploite ses frères, je veux pas ce-per
y a corrélation entre gloire et guerre !
on vient foutre un grand dawa
j’vous soulève comme si j’étais un pandawa
pourquoi tu t’en prends à moi
des histoires à raconter comme dans un clan sawa

gonflé à bloc, mais les joues s’creusent
j’suis pas dans vos émissions télés douteuses
j’lui donne r même si elle m’fait les doux yeuz
car la passion qui m’appelle est coûteuse

pas de bushin no jutsu, c’est la vraie vie
on est mortels, ils veulent que j’apprécie ?!
la vie c’est la mort qui la préside
l’échéance est proche et je la précise

[refrain]
fous l’camp
tous leurs bails sont violents
c’est un ouragan, où l’on pleure les cerfs-volants
outrant, sous leurs pieds c’est croulant
trop d’inhibition, j’vais exploser comme un volcan
fous l’camp
tous leurs bails sont violents
c’est un ouragan, où l’on pleure les cerfs-volants
outrant, sous leurs pieds c’est croulant
trop d’inhibition, j’vais exploser comme un volcan
[couplet 2]
j’déverrouille les chakras d’ta sœur
si t’as pas capté, c’est des trucs s-xuels
je lui fait grimper au grand arbre et cette pute fait qu’suer
c’est moi l’draugr que les valkyries drapent
je suis dans des bails conceptuels
c’est pas un m-n-scrit d’rap
nan c’est une hécatombe textuelle

j’aimerais te dire vis, fuis, vas, cours
mais tous les jours on graille les même ramens à ichiraku
j’graille tes cauchemars ainsi j’amplifie baku
pas de justicier, on vole les ouvriers, on enrichit la cour

c’est l’heure de la liquidation
j’me met en garde, et clame ikimasho
sanguinolent comme un viking macho
hachimon et je les liquide à chaud

sérieux au travail, j’récupère la maille
dans le système c’est moi la faille
qu’est-c’que t’as caraï
tu veux la paix il te faut faire la bataille
t’as la folie des grandeurs, mais t’es pas d’taille

les opps sont assaillis
des options mal choisies
mais mes hommes m’ont pas trahi
ça devient sérieux j’ai pas d’loisir
c’est que des gals oisives
moi j’me vois mal moisir
ça caille mais j’suis chaud, je marche dans les pas d’gaï, (senseï)
nos vies c’est des huis clos
et à tous mes démons je vous donne à graille
[refrain]
fous l’camp
tous leurs bails sont violents
c’est un ouragan, où l’on pleure les cerfs-volants
outrant, sous leurs pieds c’est croulant
trop d’inhibition, j’vais exploser comme un volcan
fous l’camp
tous leurs bails sont violents
c’est un ouragan, où l’on pleure les cerfs-volants
outrant, sous leurs pieds c’est croulant
trop d’inhibition, j’vais exploser comme un volcan

- tristim

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