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letra de entrak 1 - triptik

[couplet 1 : black boul’]
ok décollage immédiat, black boul’ et dabaaz, diables
tous tes potes qu’ici se la pètent, par lettre ou multimédia
quand triptik sort du cellophane, et que tous les faux fanent
nique les pseudos fans et les nymphos pseudo-femmes
au micro, j’suis pas rapace, mais quand je rappe les faux [s’carapacent ? scars-la p-ssent ?]
se carapatent, à deux ou à quatre pattes jusque dans les carpates
j’ai le flow hémorragique, pour eux c’est tragique
magique de voir comment de ma bouche, les phases giclent
faut que ça pète au niveau du beat
et même si ça speed, faut pas sortir de phrases stupides
peu importe le temps, il faut l’idée, eureka !
là je rappe, mais avant j’ai trimé pendant une heure et quart
car faut jamais abusé du gîte et du couvert
pareil, pour ce qui est du sh-t et des bouteilles ouvertes
comme ça, han han, black boul’ au mic

[couplet 2 : dabaaz]
dabaaz, ahah, dj damage, comme ça
j’me lève, comme d’hab, grosso modo midi comme d’hab
attrape un slip qui traîne, comme d’hab
j’frime comme d’hab, baggy, jean, c’est [?] comme d’hab
j’taille comme d’hab, dans le trom, c’est la pagaille comme d’hab
ca sent che-lou, j’crois qu’un chard-clo s’est chié dessus
un couple bras dessous, bras dessus
d’autres mendient mais j’ai pas de sous
ça se [?] à la barbare
esquive les ‘leurs, [?] dare-dare
et graille un burger, leur bacon en guise de lard-lard
j’ai drixxxé, mixant, matant un bon x, en dique-sa
sacré drixxxé !
t’as pas une clope s’t’plait, j’me charge du café
j’crois qu’on a bien taffé, donc je rentre au bercail
dans la cave, damage pousse le pitch quand il scratche
[?] black boul’ et oim, jamais on triche quand on tchatche
on brille quand on rappe

- triptik

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