letra de tamura [kafka sur le rivage] - tengo john
[couplet unique]
jeune tamura kafka sur le rivage
un ange passe j’peux lire l’angoisse sur leur visage
l’existence passe tel un mirage
tu t’fracasses si tu frênes pas dans les virages
du mal a m’relever j’dois faire des bénéfices
trouver l’épée qui pourra tuer nemesis
dans le noir le regard d’un ténéfix
j’arrive en volant sur le dragon d’daenerys
ca fait longtemps qu’ils m’ont vénère
la lumièrе me pénètre
une étincеlle au milieu des ténèbres
désormais tristement célèbre
j’aimerai que l’on s’élève
entrevoir la lueur au bout du tunnel
dans le cycle éternel j’perpétue la fin
aveuglé par l’étoile du matin
héritier du grec et du latin
belec a pas tomber dans le terrier du lapin
j’fais le l’job depuis l’époque skellington
et j’bois tellement d’pesticides grace a lipton
j’ai la vitesse de lewis hamilton
les rappeurs ont moins d’neurones que paris hilton
le choc est frontal
y’a plus que mon seum qui m’accompagne
j’suis bon qu’a combattre rasalghul m’entraîne au sommet d’la montagne
quoi d’neuf depuis les maquettes sur soundcloud
de l’eau a couler sous les ponts et sous les pipelines
y’a beaucoup plus malheureux que moi j’ai pas à m’plaindre
survole toujours la concurrence en deltaplane
j’erre tel un fantômes
très loin du luxe de place vandome
l’esprit endommagé
j’veux que le ciel soit clément comme chantôme
la parole circule entre les colonnes
l’esprit vaut mieux que la force d’un colosse
j’suis rorschach mon ennemi c’est moloch
dans mon esprit c’est pire qu’une peinture de pollock
ce avec qui le diable pactise
veulent nous maintenir dans la matrice
j’recherche les morceaux de mon cœur
dans des tp radioactifs
j’connais les metaux
j’viens pas du ghetto
merci yves grevet d’avoir écris “méto”
si tu veux m’soulever faudra s’lever tot
ils ont meme pas l’brevet j’amène [?] chez l’veto
j’fais monter l’applaudimètre
j’fais gonfler l’audimat
j’veux tous ces maudits maîtres
meme dans l’anonymat
ce que tu vois t’y crois toi
tout passe comme au détroit d’gibraltar
sous l’œil qui voit tout du grand architecte
ou le mensonge nous plonge dans l’illusion
le magicien se planque dans le labyrinthe de pan
tu dois sûrement savoir a quoi j’fais allusion
j’essaie d’garder ma fierté
j’surplombe paris tel le genie d’la liberté
gagnant est l’tiercé
j’écoute pas tous ces débiles ni ces illettrés
j’observe les choses infimes
seul au milieu d’une eau limpide
ce qui sort d’ma cage thoracique c’est pas leur feu d’paille c’est la flamme olympique
ma vie un long film de tim burton
j’prend mon destin en main j’veux plus qu’ils m’le redonne
viseur holographique j’vise leur torses
l’école sonne dans shining quand j’brise leur corps
carreaux noir et blanc damier maçonnique
j’suis un mélange entre shadow et sonic
bientôt l’être humain sera bionique
dans mon crâne résonne des mélodies symphoniques
jeune tamura kafka sur le rivage
un ange passe j’peux lire l’angoisse sur leur visage
l’existence passe tel un mirage
tu t’fracasses si tu frênes pas dans les virages
parmi les masques les maquillages
les cicatrices et les pillages
œil byakugan apres la pluie poussent les sakura jeune tamura jeune samouraï
jeune tamura jeune samouraï après la pluie poussent les sakura
jeune samouraï œil byakugan après la pluie poussent les sakura
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