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letra de buddy - tedax max

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[paroles de “buddy”]

[intro]
– j’me sens vieux
je suis là-dedans depuis que j’ai 13 ans
je me suis jamais planté dans les comptes, j’ai jamais chourré un paquet, j’ai même jamais fait le moindre truc sans qu’on m’ait dit de le faire
j’ai été réglo
et qu’est-ce qu’on récolte ? parce que tu crois que si un jour j’ai des emmerdes ils seront là ?
les dés sont pipés mec
on est comme des petits soldats sur l’échiquier, des pions
je ferai ce que je dois faire, j’en ai rien à foutre, mais faut pas me demander de vivre à genoux tu vois
– t’es un soldat buddy
– ouais tu l’as dit

[couplet 1]
mi homme, mi armure, j’ai un goût amer quand elle m’appelle “mi amor” (salope)
j’ai l-stré mes requin, range tes dior
je les attends le pe-pom sous le peignoir
au point mort je leur mets des parpaings comme holyfield (une, deux)
ils veulent un feat, je vais les horrifier (dégage)
ils parlent de qui ? de quoi ? je les ai pas vu venir
mais c’est bien leurs corps au fond de la rivière (oh)
je suis sur ma rive, prêt pour la rixe
elle dévoile sa plastique, donc je suis dans manix (sauf hier)
je passe les vers sous l’avirex c’est des chats noirs ils ont l’haleine qui sent la litière
je cherche mes intérêts comme un luthor
à part mes appuis, je n’ai pas d’appuis comme un lutteur
loser en lousdé comme gallas ou splinter
violence urbaine comme lim et zeleer
[pont]
transaction dans un sac margiela zébré
ils pensaient que c’était la récré
20-21 on va crever l’écran

[couplet 2]
la crinière et les crocs, comme un vrai lyonnais
le level, obligé de monter d’un cran
à propos des règles comme les membres d’un clan (c’est des clowns)
on leur met des distances et des crampes
au premier poteau comme overmars pour bergkamp
ils sont pépites, je suis la mine d’or
ils ont pas fini le son, demandent quand le prochain sort
mais de quel trou du cul ils sortent ?
la vie c’est des coups, quand tu tombes y’a pas de piste d’atterrissage
monotonie sur nos visages
on a mal tourné, prit le mauvais virage
on fait tourner le joint comme richard virenque
les raccourcis de la vie mènent à un labyrinthe
dites aux frères et sœurs se repentir c’est laborieux
on sait que c’est les keufs au bruit des portières
et que quand ils sortent vaut mieux pas tomber sur eux

[refrain]
je me sens comme buddy dans les rues de baltimore
je suis un soldat, mais tout change en bas de chez moi
je me sens comme petit face au monde en bas de chez moi
mais je suis un soldat descendant des grands de chez moi
je me sens comme buddy dans les rues de baltimore
je suis un soldat, mais tout change en bas de chez moi
je me sens comme petit face au monde en bas de chez moi
mais je suis un soldat descendant des grands de chez moi

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