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letra de rival - taï z (y&w)

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[paroles de “rival”]

[intro]
sk, yah
c’est le taï z

[couplet unique]
yah, j’suis le rival de personne (nan), j’ai rien à voir avec aucun d’ces imposteurs (nan)
derrière quelques millions d’vues, ils ont l’air en pleine forme
un jour, ils vont décrocher comme mes anciens posters
“faut s’faire à l’idée” (faut s’y faire), dites ça aux acharnés
qui oublient un peu trop qu’le succès n’tombe pas du ciel (nan)
qui posent encore sur des instru’ “rap lourd” avec le même baggy et la casquettе en bas du ze-n
les tеmps changent, des fois, j’oublie qu’à la base, on faisait pas ça pour l’argent, nan
les minutes et les heures nous feront défaut, j’vous le dis
hier, y avait iam, maintenant, demain c’est aujourd’hui
et ainsi d’suite (ainsi d’suite), depuis les 90’s, sur le grand public s’agrandit l’impact de cet art si cru
héritier d’ceux qui ont crié devant un ramassis d’sourds
le rap n’est pas mort, biggie small s’était juste assis dessus
ah, si seulement c’était facile de s’adapter (sale époque)
bientôt, la vie des artistes sera datée
les modes changent comme la direction du vent
les médias n’hésiteront pas à te cher-lâ si demain, tu n’fais plus d’ventes
paraît qu’c’est dur d’être crédible si t’es pas du tieks (pas du tieks)
si dans ton clip, y a pas des flics, y a pas du cash (eh)
mais nique les codes, gars, t’façon c’est provisoire
vide ton colgate, t’auras plus d’dents quand ton p’tit t’corrigera
ouais, ça passe vite (ça passe vite), ça t’rend ouf (ça t’rend ouf)
le rap prend le pouvoir, on veut tous trouver un moyen pour s’en sortir (on veut tous)
certains n’ont pas trouvé d’lumière au bout de leur couloir
les pieds dedans, tu t’rends compte que l’milieu est zarre-bi
on t’baise avec le sourire, pas d’confiance, c’est ça le problème (han)
alors, avec ou sans l’succès, tes anciens amis sont là (sont là)
vaut mieux s’laisser zapper que d’y laisser sa peau
mec, j’ai lâché leurs codes, j’me suis fait plein d’ennemis
appris à voir le ciel à force de regarder le vide
pas si différent, comme tous les humains, j’ai le vice (ouais)
sauf que j’me vois pas m’ruiner pour d’la belve’
slow baby (slow baby), faut qu’j’médite, j’me pose, j’me dis qu’c’est ma faute
2000 hématomes plus tard, c’est toujours pas là que j’arrête (nan, nan)
j’suis de fer comme staline ou margaret
ils ont porté l’œil, aujourd’hui, on s’en alimente (ouais)
rentre et ferme la porte à clé en arrivant (ferme)
comme toi, tous tes potes et tes amis mentent
évite les confidences, les habitudes et les alliances
trace au départ et tu rampes à l’arrivée (la roue tourne)
on est sûr de nous, on n’a plus besoin d’parier
le jeton manquant sur le damier, la septième bastos du barillet
on peut t’prouver qu’on n’est pas de ce monde, seulement avec un ceau-mor (hein)
j’rappais devant trois gars qui écoutaient pendant qu’15 se marrent
j’en ai un peu marre de m’perdre à parler sur ma vie
je veux un parloir avec le passé, juste pour cracher sur la vitre
attraper l’présent pour le tuer à son anniv’ (hein), dire au futur qu’j’attends pas son avis
que c’est des sabres que j’ai dans l’dos, pas des poissons d’avril
baiser l’monde pour lui rappeler que j’suis pas son ami (j’suis pas son ami)
en vrai, j’pense qu’au fond, tous mes soucis m’aident (ouais)
c’est bien mais j’aimerais que les sous s’y mettent
ça nous arrive d’être dans le doute mais on peut apprendre à ton briquet à faire du feu avec des bouts d’silex
on t’retourne la tête à t’en faire quicher dans l’seau, la vérité est dure quand tu t’es kiffé dans l’faux
on a toujours pied même dans les grandes eaux (toujours)
c’est le lendemain à l’aube, que je rentre tôt
ok, ok, p’tite ‘tasse, b-tch ass, tu n’es pas de mon équipage
parle pas, laisse-moi dans ma trix-ma (laisse)
en partant, t’as laissé une p’tite flaque, j’crois qu’en vrai, j’préfère que tu m’kiffes as-p
[outro]
taï z, y&w
21.12.20-20

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