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letra de la lune (moonlight) - t.i.s

[paroles de “la lune (moonlight)”]

[intro]
yeah, soleil et lune, vie et mort
sœurs jumelles, yeah

[refrain]
venez pas tester mes limites (tester mes limites)
petites pestes féminines (pestes féminines)
tout ou presque s’illumine (presque s’illumine)
dans le ciel mais, c’qui domine, c’est bien la tristesse
venez pas tеster nos limites (testеr nos limites)
petites pestes féminines (pestes féminines)
tout ou presque s’illumine (presque s’illumine)
dans le ciel mais, c’qui domine, c’est bien la tristesse
[couplet 1]
rien n’est éternel : souvent, la vie nous l’rappelle
pourtant, la nuit sera belle, ce soir, et sûrement toute pleine d’espoir
lève les yeux au ciel, verse la bière, une bonne bouteille
pense aux personnes, jeunes ou vieilles, parties la veille sans même dire au revoir
que des sales nouvelles, pourtant, j’continue de vivre et vibrer
j’continue de livrer l’idée qu’il faut kiffer avant qu’on ne l’paye
j’ai une vraie fidélité pour cette fille fine et métissée
qui va finir par m’épuiser, mais j’n’ai pas oublié sa jumelle
celle qui nous approche en souriant, celle qui prend nos proches
celle pour qui on sonne les cloches, concubine de l’hémoglobine
sale et moche, elle n’est pas ma copine, donc j’rembobine
pas d’éloge, paraît qu’le sommeil est sa proche cousine
donc j’ai grave des poches et des cernes sous les yeux, j’veux pas qu’on s’aime
tous les deux, en c’qui m’concerne, je serai mieux loin de la scène
de ces lieux où on enferme nos précieux gens que l’on perd
dans les cieux ou sous la terre, tout est éphémère

[pont 1]
et j’pense aux potes pas morts de vieillesse
(hun)
ouais, j’pense à mes potes pas morts de vieillesse
(hun, jahman)

[refrain]
venez pas tester nos limites (tester nos limites)
petites pestes féminines (pestes féminines)
tout ou presque s’illumine (presque s’illumine)
dans le ciel mais, c’qui domine, c’est bien la tristesse
[couplet 2]
on aime le soleil mais pas la lune, même quand elle est blonde ou brune
même quand elle est ronde ou d’une autre forme car j’sépare la brume
pour la voir, j’ai dû traîner tard sur le trottoir car j’assume
certains tisent et certains fument, moi, j’aiguise une nouvelle plume
venez pas tester nos limites car on s’irrite, parfois rude
attitude de gotham city, paris sud, l’habitude
de plus en plus d’être endeuillés et même noyés par l’écume
de la vague de tristesse ou bien d’amertume, là, j’résume
la mort rôde comme death note, personne n’fraude ou escroque
quand la douleur t’escorte ou que ton cœur a fait stop
verse la bière adelscott, lève ton verre aux sœurs ou frères
qui s’exportent vers un autre univers, c’est pas qu’des ex potes
ils seront toujours présents dans nos vers et nos anecdotes
moonlight, hood fight, good vibe et vieille époque
sang qui coule ou ketchup, gentils, cool ou mecs hot
gens qui saoulent et exhortent, j’en ai de toutes les sortes

[pont 2]
et c’est trop, et c’est trop, et c’est trop (yeah)
on avait d’jà mal et on a perdu jahman
(jahman, yeah, ouais)
on avait d’jà mal et on a perdu jahman (ouais)

[refrain]
venez pas tester nos limites (tester nos limites)
petites pestes féminines (pestes féminines)
tout ou presque s’illumine (presque s’illumine)
dans le ciel mais, c’qui domine, c’est bien la tristesse
[outro]
yes, t.i.s, kaer mks
dari, skr, ksl, yeah
original sound, diamant 7, 917
jahman, on est ensembles, yeah, on est ensembles

- t i s

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