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letra de café - t.i.s

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[paroles de “café”]

[intro]
yeah
hm-hm
entre city pop et style hip-hop
yeah, city pop, hun-hun
citadins, citadines
on parle de c’qui va bien et c’qui abîme
yeah
hun-hun, yeah

[couplet 1]
je m’pose dans un café pour écrire
je m’impose une vraie pause pour vous parler et m’ouvrir
quand la vie était plus rose, d’après mes plus beaux souvenirs
et que c’était autre chose quand elle est venue me sourire
la fille était plus que lasse, juste en face, pleine de soupirs
et un regard plus tenace que menaçant, mais j’dois dire
elle m’impressionnait de grâce et sa façon d’rebondir
la manière dont elle s’déplace et sa façon d’se conduire était classe
elle prend ma commande et passe vite au suivant
mais j’me suis senti vivant car son style est enivrant
se faufile entre les bancs parmi les p’tits et les grands
débarrasse, fait d’la place avec des gestes élégants
moi, j’écoutais ma musique
et c’est comme si, par une magie, elle en suivait la rythmique
j’avais mon cahier, mon bic, lors d’une soirée magnifique
j’avais mon thé et j’ai noté, sans arrêter d’la regarder, ce gimmick
[refrain]
partout où j’foule, partout où j’traîne (je l’imagine)
partout où j’roule, partout où j’freine (je la devine)
partout où j’coule, partout où j’peine (je vois sa mine)
j’parlerai toujours d’amour suprême (comme choix ultime)
partout où j’foule, partout où j’traîne (je l’imagine)
partout où j’roule, partout où j’freine (je la devine)
partout où j’coule, partout où j’peine (je vois sa mine)
j’parlerai toujours d’amour suprême

[couplet 2]
j’y suis retourné plus souvent, les jours et les mois suivants
l’amour n’est pas, soi-disant, le choix le plus séduisant
mais, pour moi, c’est évident, c’est écrit dans mes trépidants
morceaux où la ville est berceau de tout spectacle vivant
j’ai écrit “minuit pile dans la ville” comme un film vibrant
où cette fille était la vedette, et j’m’en veux d’être aussi lent
à lui proposer mes maquettes, pour elle, j’suis qu’un bon client
mais, pour moi, elle est ma conquête et blondinette qui m’attend
(yeah) elle est cette fille en taxi
qui s’enfuit la nuit, la maraudeuse qui chante sous un parapluie
la fille qui danse avec moi et crée un immense paradis
elle est la chance de ma vie, du genre prudence ou phoebe
une magicienne qu’a disparu d’la scène, de mon circuit
d’une manière aussi soudaine que sans un bruit
tu comprendras pourquoi je traîne toute ma peine dans l’infini
du macadam de paname, soit dans l’infâme gotham city (c’est trop chaud)
je cours après la fille, parcours ma ville comme dans un shōjo
enchaîne thés et mi-chocos, et les morceaux riches en flow
y’a pas de triche ou de fiche dans l’dos
par contre, y’a des b-tchs en lots, du genre choristes qui chantent faux
[?] comme dans samurai champloo
j’ai la voiture et l’talent pur de lando, plus l’écriture de [?]
c’est coolie high sans rires ou sanglots
mais j’aimerais retrouver cette fille car elle me manque trop
[refrain]
partout où j’foule, partout où j’traîne (je l’imagine)
partout où j’roule, partout où j’freine (je la devine)
partout où j’coule, partout où j’peine (je vois sa mine)
j’parlerai toujours d’amour suprême (comme choix ultime)
partout où j’foule, partout où j’traîne (je l’imagine)
partout où j’roule, partout où j’freine (je la devine)
partout où j’coule, partout où j’peine (je vois sa mine)
j’parlerai toujours d’amour suprême

[outro]
je l’imagine, je la devine
je vois sa mine, comme choix ultime
je l’imagine, je la devine
je vois sa mine, comme choix ultime

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