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letra de intro (lsye) - swan (odp)

[paroles de “intro (lsye)”]

[intro]
hey, hey, yeah

[couplet 1]
j’me lève à l’heure et je cours après l’invisible
assez d’folies pour me barrer loin d’ici
j’écris sur tout c’qui me parait [?]
j’réécoute les sons sur le chemin et je prend mon temps avant d’cracher le venin
j’pense à l’avenir mais c’est plus loin que demain
demain on y pensera demain, hey
j’ai confiance en moi tant qu’j’suis du bon côté du vide
j’regarde autour, j’ai un rеuf à côté du vide
moi j’regarde la bеauté du vide
le décor se fige, un frérot me dit : “c’est comment?”
flex dans la tchop, je ne vois que le volant
on s’remplit d’images pour oublier les moments
gros, j’tourne en rond comme ma [?]
je n’fais que roder des heures, j’suis dans ta ge-gor comme le seum
j’respire en concert loin des hommes et t’façon j’préfère recompter seul
j’ai tellement gratté, j’sais même plus qui j’suis
j’suis toujours très haut dans ma tête, tout me paraît faisable vu d’ici

[pré-refrain 1]
[?] dans 24 heures, j’attend la 25ème
des souvenirs j’en ai bien moins qu’hier
et j’me rend compte que quand les miens s’inquiètent
j’avais des rêves à l’ancienne mais j’suis toujours là sans y être
prend l’cro-mi comme un canon scié
à la mort, à la vie, mes gars sont liés
[refrain]
tout les jours se ressemblent, j’attend plus le jour de paye
tout est bre-som, j’suis bien trop loin pour me perdre
j’suis toujours dans mes dièzes quand je vois le soleil se lever
et j’vois mon reflet dans rre-ve, le reste, j’m’en rappelle à peine

[couplet 2]
on parle de tout et de rien, pas là pour jouer des rôles
j’peux pas dire que tout était rose mais j’ai jamais douté d’mes khos
maintenant on est présent sur tout les terrains
j’ai mis la nitro, j’ai troué tes reins
tu peux essayer d’me prouver des choses, longtemps que j’m’en bat les couilles des terriens
est-c’qu’on va bâtir un empire ou est-c’qu’on va quitter les lieux?
on en reparle vite, j’tire deux barres de viss- et j’regarde le vide dans les yeux
j’suis jamais vraiment présent dans la pièce
j’suis jamais vraiment présent dans la pièce
un reuf m’appelle et j’descend dans la caisse
mais j’suis jamais vraiment présent dans la pièce
j’arrive regard en biais, j’tire deux barres en riant
regard fuyant si tu me parles en billets, surgit de l’ombre et je repars en brillant
toujours les mêmes frères, la même rage dans les yeux depuis l’embryon
je vis en vrillant, j’regarde autour mais bon y a rien d’attrayant

[pré-refrain 2]
j’suis toujours là sans y être
j’suis toujours là sans y être
deux heures du mat’, j’vois l’cadran briller
et j’recompte les ratures sur l’calendrier
j’suis toujours là sans y être
j’suis toujours là sans y être
j’avais des rêves à l’ancienne mais j’suis toujours là sans y être
[refrain]
tout les jours se ressemblent, j’attend plus le jour de paye
tout est bre-som, j’suis bien trop loin pour me perdre
j’suis toujours dans mes dièzes quand je vois le soleil se lever
et j’vois mon reflet dans rre-ve, le reste, j’m’en rappelle à peine
tout les jours se ressemblent, j’attend plus le jour de paye
tout est bre-som, j’suis bien trop loin pour me perdre
j’suis toujours dans mes dièzes quand je vois le soleil se lever
et j’vois mon reflet dans rre-ve, le reste, j’m’en rappelle à peine

- swan odp

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