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letra de raid def jam - svinkels

[intro: gerard baste & mr xavier]
c’est le svink bébé
à l’ancienne sur celle là

[pont: gerard baste, nikus pokus, mr xavier] x2
partouze old-chool
swimming-pool party

[refrain: gerard baste, nikus pokus, mr xavier] x2
mets ton pattes d’eph’
quand le groupe raid def jam
j’paye mon hommage, au micro j’fais des dommages
remets ton pattes d’eph’
quand le groupe raid def jam
(so def, so def, it’s a def jam)

[couplet 1: nikus pokus]
je jamme sur des defs et tape des bœufs, des fakes, des f-cks
pas d’keuf, non, y’a funky stuff
cour de récré, smurf, défis
parie comme au turf
woofers, grattes trash et beats bien ruff

[couplet 2: gerard baste]
du funk, dans un esprit punk
mes rimes s’abattent, sur un vieux riff de black sabbath
electro, des graffs pourris sur les métros, mes racines
comme muggs, j’me saoule et j’-ss-ssine
j’te b-ssine, et direct t’es croque
mais qu’est-ce qui t’choque ? 15 kilos d’chaînes en toc, une boucle de hard-rock
un son live, de mon b-boy’s band
non mais là, faut trop qu’j’me pécho un survet’ 3 bandes
un mc, avec une collec’ d’adidas run-dmc
bout en plastique, j’les astiquent, pour qu’elles restent bien élastiques
j’imprime un flow fantastique, un futur cl-ssique

[couplet 3: nikus pokus]
vieux sac us usé, logo ac/dc
premier tag posé sur table d’écolier
fan des hardos d’époque, je sniffe de la colle uhu
avec mon nez cléopâtre
84, collec’ de badges, groupes trop violents pour mon âge
v’la mon école des fans dont j’fais l’hommage
10 ans plus tard, j’comprend c’qu’est une guitare saturée
un lyrics raturé, un beat old-chool trituré

[couplet 4: gerard baste]
retour aux seventies
c’est pire que seven quand j’tise
comme patrick topaloff, dis-moi où est ma ch’mise grise
j’m’agite comme un electron, 78, console vectron
rompu, aux exercices phalliques
le svink revient, dans un style plus métallique qu’un solo d’slash
mon crew s’lâche, dj clash, je r’pars en grand”baster” flash

[couplet 5: mr xavier]
j’en lâche une pour les vieux d’la vieille, les lascars qu’on retourné paris
ceux qu’étaient au globo dans les party
j’y étais pas, j’étais trop p’t-t
mais putain, circulait tellement d’histoires
qu’j’ai voulu faire la même tous les soirs
avec mes potes en cl-sse, on bitait rien à l’anglais
mais on chantait quand même, ça nous plaisait
même si on captait pas encore, l’message d’the message
l’feeling p-ssait déjà à notre âge
“don’t push me, yeah yo, come on, ’cause i’m close”
tout ça, c’est tout a fait c’que j’suis
j’renierais pas, et y’a eu d’autres choses aussi
mais j’les placent loin derrière, et fais d’ma zique, ma mère nourricière
pour l’caractère, les émotions, les sentiments
j’remercie mes pairs, très sincèrement
et pour la old-school, qu’est-ce qui coule ?
c’est du papa xanax !

[couplet 6: gerard baste]
j’ai trop d’styles, donc j’en fous un, fussent-ils bourrins
j’reste subtil, rutile, “no sleep till brooklyn”
d’new-york à paris
la source est jamais tarie, juste branche l’atari
je-je-ne-ne-veux-veux-pas-pas, de textes nazes alors laisse faire les parappa
la bite moulée dans un survet’ kappa, flight jacket j-pa
et même si t’as pas, toutes les références
inclines-toi d’vant la old-school, fais ta révérence
ma préférence à moi c’est ???, 3 accords d’gratte hardcore
j’m’en gratte si t’es pas d’accord

[couplet 7: nikus pokus]
j'”electric boogie”, avec les bons tuyaux d’huggy
l’beat lourd et l’jean velours à la starsky
zulu, afrika bambaataa, look bâtard, shoes bata
???
j’écoute “street dance” sur mon mange-disque, orange, année 70
hit break machine année 80
le samedi soir d’vant s-x machine
comme philippe, j’ manœuvre, je cherche le chef-d’oeuvre
du cl-ssique rock, kick d’herbie hanc-ck, j’m’abreuve, j’oeuvre pour mes voisins
un scorpions enchaîné avec un beastie “br-ss monkey”
sur mes aéro”stan”smith, j’me r’fait l’clip “walk this way”

(so def, so def, it’s a def jam) x4

(so def, so def, it’s a def jam) (and we don’t stop) x8

- svinkels

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