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letra de j'pète quand j'crache - svinkels

[couplet 1]
pas la peine pour le s.w.n.k.l.s, de parler de leur haleine
qui t’stresse et t’laisse le goût de la haine
d’un spliff noyé dans dans une vieille 16
quand on pète, c’est l’odeur de bouddha qui te malaise
le lait fraise, c’est balaise, le lait merguez, malsain
cl-ssé parasite numéro un par les médecins
les bactéries s’y développent, téma donc dans mon slop
mon zguègue n’est pas -ssez propre, allez hop hop suce salope
il faut le nettoyer mais laisse la lessive
n’amène pas de savon, ce s’ra parfait avec la salive
attarde-toi par ci, attarde-toi par là
prends-le dans ta main, bouge de haut en bas
de bas en haut, de haut en bas
(pfuiiit!) gaffe, tout part dans ton nez
tu peux plus avaler mais tu peux toujours renifler
ce rail de sperme qui va te monter au cerveau
traumatiser ton ego, détraquer ta libido
et voilà maint’nant, plus jamais j’me bouge
puisque tu m’fais livrer liqueur de framboise rose-rouge
et les plus belles orchidées, t’es croque
depuis qu’j’me suis vidé, que j’t’ai déridée
(pff!) moi j’m’en tape, pauvre tache
avec moi y’a pas d'”tu simules” même si j’kiffe le catch
j’ai mis ma bite dans ta chatte et t’as sorti la balle de match
vainqueur gérard baste, en jeu, pète et trash

[refrain]
(yeah!) car j’pète quand j’crache
(pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)
j’me lâche quand j’me relâche
biatch !
ouais j’pète quand j’crache
j’me lâche quand j’me relâche
et (pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)
(yeah!) ouais j’pète quand j’crache
(ouh!) ouais j’pète quand j’crache
j’me lâche quand j’me relâche
et (pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)

“mais alors, dites-moi exactement comment se manifestent ces troubles…”

[couplet 2]
j’coince du boule quand j’me défoule
je r’foule quand j’déferle
j’pète quand j’crache
quand j’crache une huître, j’lâche une perle
‘plus, tu comprends quand t’es tout nu d’vant la glace
il te faudra de l’argent pour ressembler à gérard baste
une opération du pénis afin de l’hypertrophier
une autre paire de tennis, des litres dans le gosier
tu t’mets tout nu devant la glace et alors là tu comprends
que ressembler à gérard baste est un concept dément
“articules quand tu pètes” me répètent souvent mes copains
j’trombine ta trompette et tu pleures le lendemain
deux mains, dix doigts et un outil perfectionné
dis-toi qu’ces dix doigts s’infiltrent en toi
t’rendent cinglée
qu’ce joujou extra
qui ne fait pas “crac boum hu” !
est indirectement rattaché à mon trou du cul
tes draps tous tachés ont une odeur proche du goulasch
et c’est pour ça qu’j’t’explique que j’pète quand j’crache

[refrain]
(yeah!) car j’pète quand j’crache
(pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)
j’me lâche quand j’me relâche
biatch !
ouais j’pète quand j’crache
j’me lâche quand j’me relâche
et (pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)
(ouh!) ouais j’pète quand j’crache
(ouh!) ouais j’pète quand j’crache
j’me lâche quand j’me relâche
et (pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)

[couplet 3]
pet sonore, inodore, pet discret sent l’exta
tu rajustes ton pince-nez quand j’balance la purée dans ta teucha
éjaculation égal évacuation
attention : dispersion ! manifestation de ma digestion
ma m-st-rbation d’mande des dispositions
sur l’blair, j’ai besoin d’un filtre à air
et dans l’derrière, un pet-t bouchon
mais pas anti-prout, juste pour faire un joli pop
quand je décharge mon foutre
oups ! j’crois qu’j’ai fait une bourde
quand j’vide ma gourde, faut que j’lourde
heureus-m-nt qu’t’es sourde
j’pète quand j’crache nouvelle saveur
j’te fais à la fois la vieille blague
du verre baveur et celle du coussin péteur
ça cogne quand j’me pogne
y’a plus d’eau d’cologne
on évoque la vie s-xuelle de baste et greta jusqu’en pologne
quel homme ! quelle virilité !
voilà la vérité qui sous tes yeux a éclaté
car j’ai découvert ton point g
tel christophe colomb posant l’pied sur l’amérique
moi c’est dans le grand colon que sont mes contrées fantastiques
en 1492 je n’étais pas encore né
1664 j’étais déjà réincarné
j’me lâcherai, j’m’relâcherai et l’jour où j’f’rai r’lâche
rendez-vous sur la tombe de baste au père-lach’
même quand j’s’rai embaumé, j’viendrai tout embaumer
quand j’serai cané, dans l’cimetière, les fleurs vont faner

[refrain]
(ouais!) car j’pète quand j’crache
(pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)
j’me lâche quand j’me relâche
biatch !
ouais j’pète quand j’crache
j’me lâche quand j’me relâche
et (pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)
(euh!) ouais j’pète quand j’crache
(ouh!) ouais j’pète quand j’crache
j’me lâche quand j’me relâche
et (pfuiiit!) (pfuiiit!) (pfuiiit!) (prout!)

[couplet 4: greta]
tu crois qu’t’existes ?
et s’il te vide comme un kyste
reste pas chaste
faites place à l’énorme braquemart
braqué par gérard baste, le mec cl-sse qui s’p-sse de d’publicités
qui est champion dans la lubricité

[outro: frédéric lansac]
nouvelle apparition d’frédéric lansac
r’n’b instru pour “j’pète quand j’crache”
gérard baste en équipe avec do b-ss
olà qué tàl ? les deux queutards du s-w
c’est pourtant facile de n’pas s’tromper
pète et crache, sur tes fesses, ???
perverse (mmmh) j’espère qu’t’as déjà joué à doom
prend mon joystick, essaie de jouer mon style percusif
mécanique s-xuelle, pour les belles
bienvenue dans les tourelles du château ???
mécanique s-xuelle, mécanique rythmée
lobotomotiv’
tchou tchou ouh ouh

- svinkels

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