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letra de medley - stupeflip

[intro]
– “bizarre…”

– “tu voulais me voir lisa ?” (stupeflip)
– “oui, j’ai à te parler de quelque chose…”
– “tu sais bien que tu peux tout dire à ton confident. que se passe-t-il ?”
– “c’est au sujet de [logan].”
– “logan ? je ne comprends pas. et qu’est-ce qu’il a fait ce [logan] ?”
– “il n’a rien fait…” (ha)
“j’ai une impression curieuse… je ne sais pas pourquoi j’ai mal dans la gorge quand nous sommes ensemble, ni pourquoi j’ai des frissons quand nos mains se touchent.”
– “mal de gorge ? frissons ? toi tu nous couvres un rhume.”
– “mais je n’couvres rien du tout. et tu n’entends rien à rien ! tu n’es qu’une machine idiote et je ne sais pas pourquoi je discute avec toi !”

[couplet 1]
yah !
stupeflip
crou crou
ah !

je suis assis dans un café, j’attends le café
parce que sans lui j’peux pas écrire ce texte et la combinaison café-clope
c’est super
j’aurais pas dû prendre ce sandwich saucisson
le pain est trop dur et j’avais d’mandé des cornichons, pas grave
je vois les gens et c’est plus science-fiction que la guerre des étoiles
à côté d’moi y’a un pigeon
je m’demande co- s- comment son tient sur ses petites pattes si fines
mais finalement j’m’en fous
tout est tellement dingue que j’cherche même p’us à comprendre
la génération des p’tites meufs
elles sont toutes si fines, elles ont toutes des p’tites bottes courtes
et leur mec c’est un peu moi
car ils ont les mêmes fringues que moi, genre des blousons zara
pa’ce-que j’y passe mon temps à zara, place d’it’ depuis la fin d’stupeflip
tu sais, ces p’tits blousons près du corps
j’ai passé toute ma vie à les chercher et maintenant n’importe quel connard l’a
alors que dans les années qua- quatre-vingt-dix, ils avaient que des gros blousons d’merde
[couplet 2]
yaaaah
ce morceau s’adresse à tous les tristes sirs lâches et racistes
planqués derrière leur ordi’
(houss !)
ils sont comme des serpents, ils p-ssent sur mes sentiments
incroyables cons et dans mon cou ils plantent leurs dents
de quoi dev’nir paranoïde
pauv’ naz’, z’ont la haine, font chier, bourrés sous stéroïdes
arrogants
ils s’la jouent testostérone
va falloir lâcher l’affaire
ha ! ha !
ils sont jaloux
ils observent leur voisin
z’ont pas envie d’le voir heureux, cette seule vision les rend zinzins
ça les renvoie à leur triste réalité
vie d’merde, taff de merde, du cervelas dans l’cervelet
z’ont du flanby dans l’slop
bande de salopes
faut qu’i’ restent tranquille ou je les découpe

[outro]
stupeflip c’est pas n’importe quoi
ça fout l’feu
ça t’handicape quand tu l’as pas
c’t’une construction mathématique
un truc pataphysique qui t’pique comme un aspic
stupeflip c’est pas n’importe quoi
ça fout l’feu
ça t’handicape quand tu l’as pas
c’t’une construction mathématique
un truc pataphysique qui t’pique comme un aspic

stupeflip c’est pas n’importe quoi
ça fout l’feu, fais l’fou
ça t’handicape quand tu l’as pas
c’t’une construction mathématique
un truc pataphysique qui t’pique comme un aspic

stupeflip c’est pas n’importe quoi
stupeflip c’est pas n’importe quoi
stupeflip c’est pas n’importe quoi
stupeflip c’est pas n’importe quoi
stupeflip c’est pas n’importe quoi
stupeflip c’est pas n’importe quoi
stupeflip c’est pas n’importe quoi
stupeflip c’est pas n’importe quoi…

- stupeflip

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