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letra de reconnaissance - stone-k

une teille à la main
et du ter dans la poche
j’te regarde de loin
et le spliff qui s’amoche
dans ma main
tu me vois, désarrois
et en moi c’est l’effroi
décevoir, ne plus voir
ton regard se poser sur moi
si je continue comme ça
demain voudras-tu de moi?
non c’est pas fini
oui j’y crois encore
non c’est l’incendie
dans mon coeur qui dort
j’ai perce comme l’or
cachez les carnivores
pourquoi, pourquoi
je crache ma prose
voila la question que je me pose
tu dois, tu dois
obligatoirement
me voir maintenant comme metamorphose
je n’ai pas changé
j’suis resté le même
toi qui m’ensorcelle
me donne des ailes
si je trace ma route
tu ne me suivras pas
car je te déroute
quand je te regarde
c’n’est plus comme avant
tout est devenu blanc
ca m’écorche et je tend
je contemple le temps
qui m’a rendu voyant
message de manigance
j’attrape le verre et le vent

mais que faire, on s’est test
mais que faire, tu m’deteste x2

soirée qui s’annonce
je n’ai rien a mettre mettre
je voudrais lui plaire
qu’as t-elle dans la tête tête
noir et blanc, et j’encoche
paquet de clopes dans la poche
tu t’-ssoies, ecarte les moches
si tu rode je frémit et me fige dans la roche
j’ai muté je conjure
j’arrive plus à juger
l’allure, a laquelle mon coeur lancé
carbure, sensibiliser les murs
sentir les brûlures bruler les gros purs
et sa parle du futur
des mots et des choses murmure
pour baisser la pression
mignons regard malhabiles qui perdurent
et font monter la tension
quand tu pose tes yeux
sur les miens je peux
comprendre l’effet j’t-ssure
d’une flèche de cupidon
qui traverse mes mesures
putain de merde
je suis à terre
la soirée s’p-sse
et j’enchaines verres
sur verres
gros spliff d’herbe
dans le vocer
roule un gros zdeh
ca plait pas
a la diva
qui s’en va
et je repart
seul comme un putain d’ chat
sans gratter une chatte
ma bite n’y crois pas
et je devient fou
défoncé de toi

j’suis tombé love.. mais c’est impossible
une maladresse, manière implausible
on s’en fout de moi, c’est trop inaudible
quand je t’apercois, je pète un fusible

dès le matin, tout va trop vite
on -ssemble vocer et trop d’sh-t
tu peux nous croiser le soir
dans les squares
zoner avec le squad
on sera surement peté regarde pas nos doigts
tu pourras y voir tes pires cauchemars
sur les banc des sans-abris
un gros spliff nous abrite
et tenebres sevissent
tu nous as vu, j’suis paralytique
si t’es bonne t’es pour tout le monde
si t’es bien j’te garde pour moi
et f-ck le reste
qu’est ce que tu crois
j’conserve pas les immonde
que les naturelles bombes
qui se tap-ssent dans l’ombre
si j’te trouve..
tu me trompe
si j’te garde
tu me sonde
si je t’oublie
tu me pompes pompes pompes
je ne peux plus souffrir le martyre
lorsque le regard sévit
sa s’envenime quand y a des piques
sur le rrain-té de la vie
si la mif s’en va
mes peurs s’libèrent
j’en perd la raison
j’replonge dans le verre
les teilles s’enchainent
tel gucci mane
j’aspire le pollen
son odeur m’enchaine
j’entre en vie j’suis t-tulaire
j’ai déconnécté l’avatar
la faucheuse sonne il se fait tard
retire une barre roule un pétard
c’est surprenant quand un pet-t blanc
lache un freestyle impressionant
ca devient normal quand un grand noir
se fait matraquer violemment
j’suis pas mc juste itashi et j’te detruit
si ya rc
pas d’mysogine pas de raciste fait p-sser
le message a marine

- stone k

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