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letra de funérarium - stick

[paroles de “funérarium”]

[intro]
satanas, satanas, satanas, satanas

[couplet 1]
où suis-je ? tout est noir ; j’rentre chez moi, j’venais d’enregistrer
coup d’fil, trou d’mémoire, l’alcool et la zeb ont du m’rendre givré
routine, j’bouffe des pattes, me tape que des tafs que j’ai pas mérité
bout d’sh-t, tour des bars, je dépense le peu qu’j’ai juste pour le p-sser
bullsh-t ou [?], point à la ligne, mes potes vont le sniffer
j’me bousille, au départ j’crois qu’j’voulais juste me sentir exister
mourir, j’nous prépare, on y passera tous, c’est la seule vérité
j’dégoupille, tourne mal à m’en cogner la tête comme dans hérédité
ils ont l’air terrifiés et ça m’file la gaule moi le p’tit de la classe qui mangeait des torgnoles
tu me traites de tafiole mais ta fille la folle prend ma bite et la place pour branlette espagnole
ma vie n’était pas drôle, j’en ai fait une blague, chacune de tes paroles j’en ai fait une dague
le rap me drague puis le rap me nargue, puis le rap voudrait que j’lui file une bague
puis le rap me largue et me traite de schlague, mais on a l’habitude
babtou sans attitude qu’a jamais fait de grandes études
ils veulent des thunes et des putes, on en veut aussi mais pas pareil
on a pas les mêmes buts, macarel, ils m’prennent pour machiavel

[refrain]
bienvenue dans mon funérarium, aaawaaaw
bienvenue dans mon funérarium, waaawaaaw
[couplet 2]
j’ai la témérité descendant d’un sans-dents, des sangs d’encre
on fait pas d’la zumba, d’temps en temps j’les entends
j’suis meilleur, mais cent ventes ça mérite une sentence
faut qu’j’en parle à [?]
on compare à toubab fils de directeur
on m’compare à toubab bibliothécaire
ils suffisent que j’dise ça, j’passe pour pire hater
petit j’voyais les gens bibi au ter-ter
j’ai pas connu tout ça, j’viens d’un peu tout-par, hey
j’entends vos sons et ils sont tous pareil
j’étais en dépression, j’ai tombé toute la teille
mais bouffon devient roi quand il épouse la reine
écoute la rime (et bouffe ma pine), j’ai toute la haine d’une génération
qui étouffe sa peine dans la célébration et qui trouve la paix par défenestration
double pénétration, j’ai ma bite et mon couteau
est-ce le diable qui m’invite quand je kick sur mon outro ?
ta clique [?] outrée, dis qu’j’suis [?] de trop
et j’me demande où t’es mais j’devrais m’en douter
encore dans les chiottes de la salle de concert à taper de la trace
l’milieu m’a dégoûté et c’est moi que l’on pointe du doigt quand je chante la crasse
wesh la con de ta race, j’fais du son de white trash, puis j’ai quelques valeurs
eux ils chantent le malheur mais s’comportent en violeur comme le pote de … nan
nan, comme au comico je donnerai pas de nom
mais j’ai écris le leur dans le death note et le mien dans l’nécronomicon
[refrain]
bienvenue dans mon funérarium, aaawaaaw
bienvenue dans mon funérarium, waaawaaaw
bienvenue dans mon funérarium, aaawaaaw
bienvenue dans mon funérarium, waaawaaaw

- stick

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