a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de walter white - sper-k

[couplet 1]
j’suis comme walter white quand il met son chapeau, dis à tes rappeurs qu’ils f’raient mieux d’s’échapper
moi, j’aime pas trop les boîtes, j’aime pas trop les physio’ car le physio’ n’aime pas trop comment j’suis sapé
j’viens des ruelles où les gamins s’perdent, j’sais pas si c’est bien mais ça m’inspire
si tu réfléchis, t’auras moins d’frères, tu parles dans mon dos, moi, j’te dépanne un stick
j’suis bien trop carré pour me comparer, du nord au sud, j’les vois tous, ils sont pareils
ils font les bandits mais que dans l’carré, en bas d’la tour, y a heja, ils disparaissent
j’vois mon succès comme une fatalité, tellement j’ai souffert, j’ai c-n-lisé
comme cr7, faut qu’tu t’f-sses à l’idée, quand je nique tout, c’est qu’une b-n-lité
j’ai perdu un proche, j’ai pas pu lui dire “adios”, traumatisé, j’regarde souvent vers là-haut
la vie, c’est comme une bagarre, faut du cardio et même si t’es plus fort, tu peux t’prendre un k.o
j’ai tourné en 50 dans le val-de-marne, mineur, même par un euro pour acheter à boire
mais j’ai toujours eu un cœur en or, ma gueule, j’serai jamais d’ceux qui confondent être et avoir
dis-leur [?], on prend les paris, un coup d’bigo, le tmax arrive
on sait qui c’est qui fournit mais chh, prends trois kilos, il baisse le tarif
des fois, j’me fais peur dans le miroir, derrière la fumée, difficile d’y voir
faut avoir les couilles quand c’est dur de le faire et la foi quand c’est difficile d’y croire

[refrain]
ils nous ressemblent pas (pas), j’ai appris sur l’tas (tas)
le bonheur m’appelle mais y a pas d’réseau, j’suis bloqué en bas (bas, bas, bas)
tu l’as ressentis (’tis) ? j’aime pas trop les blancs (blancs)
et j’allume mon teh en visant la lune quand j’suis sous khapta (‘ta)
j’connais les nuits d’galère, la gàv, l’opj, l’palais
bonhomme pas bandit, poto, c’est sur moi qu’j’ai pris quand il le fallait
j’connais les nuits d’galère, la gàv, l’opj, l’palais
bonhomme pas bandit, poto, c’est sur moi qu’j’ai pris quand il le fallait

[couplet 2]
t’as pris des grosses sommes, ça t’a pas suffit, gros, t’as pris du sursis
l’amitié, la vraie, ça vaut plus qu’une fille, gros, mon cœur s’endurcit
j’prendrai ma place, j’l’aurai pas volée, j’prends les sous, j’te laisse les abonnés
c’est ton équipe qu’on va -ssommer, c’est nos daronnes qu’on va affoler
réaction disproportionnée, mon poto, pour un cent mmes-g’, tu peux perdre 21 grammes
tu t’fais péter mais t’es vite remplacé, les bosseurs ne manquent pas, le terrain, c’est ingrat
et fais bien bellek au mondéo gris, ils descendent ceux qui veulent monter en grade
comment faire autre chose que des dingueries quand t’apprends à nager dans un océan crade ?
c’est pas du rap conscient, c’est du bon sens, tu fais l’fou, t’es vidé d’ton sang, ça, j’y consens
j’pourrais pas taffer pour 1100 donc j’me concentre, je mets les buts et khaled fait les bons centres
j’me dois d’les pousser dans le fossé pour les crosser, bosser dur
chez les animaux, c’est pas de procès, pas de vice de procédure
ne manque pas d’ambition, mon frère, rien qu’on enchaîne les missions, on serre
sentiments dans la m-ssa aussi, vodka ou sh-t dans le veau-cer
que pour les miens, j’ai d’l’empathie, t’es inhumain ? ouais, en partie
car les gens sont mauvais, te souhaitent que du mal et commencent à t’aimer quand t’es déjà parti

- sper k

letras aleatórias

MAIS ACESSADOS