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letra de [don't skip] the rapper's intro - sole the jazzy rapper

mesdames & messieurs
cachez donc les seniors, les enfants
voici le son qui enflamme les enceintes
avec la vibe le bon son
demandez à kalif le bonsonnist
de son lyon’s cigar d’allumer de l’encens
de ces technics, de scratcher comme avant
pour les futures victimes, ce sera
trash et sanglant, j’en suis conscient
je m’esquinte les quintaux sans cesse à éviter le sac de sable et cogner sans gants
près du boxeur, loin des glands – disent-ils
j’ai fait comme foreman, au début décocher des crochets, un couplet distille
rainbow recherche le ko, forza
comme des frappes, moi mes phrases déforment l’âme
pourtant plutôt du clan des hommes forts et calmes
peu impressionné, par l’art d’aujourd’hui car trop imprécis
hasta siempre, chargé de perpétuer « paroliers et caste »
aucune frayeur des mots, je les domptes sans complexe
depuis ma tendre enfance, même cirque
le rap aura mon existence dans une sphère oblique
ma tâche oblige attention, je taxe dur
me bonifie avec le temps symbole que je taffe dur
mic check 1, 2 à chaque texte je donne tout
guerrier à la plume, parolier bantou
parti comme tous pour étudier la science des babtous
puis revenu pour élever le niveau, élever les jeunes khos
en faire des caids, j’ai hérité de muammar le sceptre du guide
leur apprendre l’art de la forme sans texte vide, attends j’t’explique
l’art de faire lever les bras, levez la foule, car la vibe est là
et si pour çà il faut que je martèle sans relâche, aucun souci al hamdou lillah
chaque jour que dieu m’y autorise, j’écris de nouvelles pages
apprenti sénior dans le biz, j’ai les 2 visages
two faced god : sol’e seul, et çà commence très fort
les sceptiques commentent très fort
je les entends à peine
pourtant j’ai la force. mais bombe très peu de torse
j’ai l’approche. merci pour vos compliments en inbox
activiste du hip hop en 7/24/365
180°, je suis dans une cl-sse distincte
détenteur d’une arme chrome et zinc
un micro behringer paumé le beat je flingue
sur ce son en 4 temps, un flow en 4 tons
rimes du tonnerre tonnent, dans l’ouie puis les gars tombent
tu crois que c’est fini… hin hin
c’est l’effet amer, c’est l’hécatombe, c’est ça comme, ça claque à fond
puis laisse des hématomes aux stéréophones
sol’ – en initiales – bon rappeur, secret de polichinelle
au mic c’est sauvage
je garde les pieds sur la terre ferme, la tête dans les nuages
ma carrière vogue entre pluie et beau temps
j’en ai vu des vertes et de toutes les couleurs
c’est pour çà que j’ai levé la tête et y ai vu ce que je vous donne l’arc-en-ciel

- sole the jazzy rapper

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