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letra de memory - so'clock & negann

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[intro : so’clock]
j’suis dans un cauchemar éveillé, cauchemar éveillé
j’suis dans un cauchemar éveillé
j’dormais sur le banc et le coach m’a réveillé

[couplet 1 : so’clock]
j’suis dans un cauchemar éveillé, frangin mes rêves dorment
on veut laisse une empreinte terrestre d’homme
mais pour l’argent on enfreint des règles d’or
ce monde tournera encore quand je le quitterai
j’ai si peur de perdre le peu qui m’reste
j’vois si peu de paix, j’ai que ce p’t-t rêve
trop d’journées dans les larmes pensant qu’dieu me guiderait
j’rapperai jusqu’à mon dernier souffle, j’rapperai jusqu’à mon dernier soupir
fini d’faire le sourd, j’claquerai jusqu’à mon dernier sou
j’craquerai jusqu’à ma dernière goupille
ah non j’craque, saleté d’futur, mon gars, l’temps p-sse
ramène du pur, on l’a dans l’crane
avec du recul, on n’avance pas, yeah
mais ce recul sert d’élan, je me centre sur mon saut
frérot, pour me cadencer j’ai juste mon seum
j’en ai marre de me lamenter sur mon sort
y’a trop d’épreuves de la vie qui se surmontent seul
j’ai peur de c’que l’avenir me réserve
sur ma vie que j’essaye
d’aller vers l’avant avant qu’arrive le décès
j’suis qu’un grain d’sable sur la dune et j’admire le désert
la vérité s’cache
je vais devoir lever le voile du mystère
nul ne peut deviner c’que tu vas devenir
si tu vas mériter l’cash ou être la proie du système
on a tout à donner, rien à perdre
prêt à croire que par donner vient la paix
rien n’apaise pourtant tes rêves quand vient la peine
seul le diable tient la pelle pour t’enterrer

[refrain]
j’me rappelle à peine du p-ssé, j’ai la mémoire en fragments
mes souvenirs forment un puzzle
j’peux rapper ma peine sur la scène mais l’âme est noire et sans calmant
j’souris quand j’ai un peu d’zeub
j’ai trop couru après l’bonheur, maintenant j’vais l’attendre sagement
la routine rend un peu seul
une fois la nuit tombée, il arrive que l’espoir manque salement
mais j’oublie dans moins d’deux heures

[couplet 2 : negann]
j’aurais tant voulu prendre soin d’elle
tu m’dis : “quand elle partira ?”, s’te plait parle pas d’malheur
les yeux rouges et le seum mamen
j’fais ma vie, peu importe où la route m’amène
premier dans des leurres, dans les mirages
c’est vrai, tu pouvais tout, y’avait pas d’malaise
nan je n’ai jamais cru aux miracles
est-ce que j’ai bien fait ? est-ce que tu l’valais ?
donnant donnant, peu importe si la vie m’balaie
j’me pose des questions mais pourquoi le vice m’esquive pas ?
sur le moment je pensais faire ce qu’il fallait
j’écris dans des états seconds, c’en est presque vital
pourquoi tu t’estimes pas ?
peu importe le regard des gens, je file à l’aise
c’est depuis pet-te que tu veilles si tard
renfermé dans tes pensées, dans ton mal-être
entre les démons c’est la lumière qui m’porte
tu rétrogrades, faut qu’tu pètes une porte
j’me lève avec les mêmes ressentis qu’la veille
rien qu’tu crois les toucher mais c’est ta vie qu’tu torches
on n’a pas voulu tout jeter, on m’a mis sur l’bord
on est plongé dans des peines à le recherche de la paix
tu l’as vue la vie la belle, personne avec elle fait la paire
ouais, la guerre renforce nos blessures d’hommes
seul dans mes pensées, dans mes rêves fréquentiels, j’vole à travers la map
toi quand c’est l’heure de l’éveil, gros t’as peur de t’lever ou affronter la vie qu’t’as pas
j’tombe dans l’vice à la vitesse de la foudre, frappe dans l’mille avant qu’il m’tab-sse
j’crois personne maintenant, c’est la base
tu grailles le sale avant le [piktapa ?]
on n’a jamais vu la paix, on a grandi dans des cages
on a regardé la terre, on s’était dit qu’on va décale
a trop vouloir le faire, on s’est égaré par mégarde
ils ont commencé l’jeu sans avoir mélangé les cartes
j’me souviens
c’était un soir d’hiver, la lune éclairait ton visage
nos avis diffèrent, on avait toute la vie devant nous
mais pour aller de l’avant faudra traverser le blizzard

[refrain]
j’me rappelle à peine du p-ssé, j’ai la mémoire en fragments
mes souvenirs forment un puzzle
j’peux rapper ma peine sur la scène mais l’âme est noire et sans calmant
j’souris quand j’ai un peu d’zeub
j’ai trop couru après l’bonheur, maintenant j’vais l’attendre sagement
la routine rend un peu seul
une fois la nuit tombée, il arrive que l’espoir manque salement
mais j’oublie dans moins d’deux heures

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