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letra de xamax - sirius amc

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[intro]
le temps est venu
dieu vous a ramené des babylone pour le servir mais vous l’avez trahi
maintenant que vous êtes avertis, fuyez !

[couplet 1]
je refuse vos merdes et c’est ainsi
regarde les cieux j’attends un signe
pop-pop charles feront comme à st-cyr
tu balbuties, rappe comme un sims
oh bangs, ça alors
ca rêve du benz et du benzo’
téma ta team on se croirait dans un zoo
que des clowns, des krusty, des bozo
je prend ni de lean ni de ligne
fils de druide, mon sang est fluide
moi y en a compris que toi y en a trop pris
dans mon ventre le démon ichibi n’a pas besoin d’être fermé en cage
j’ai la conscience et le jiminy, le criquet sur l’épaule pour rester sage
t’as des goûts de chiottes et ton gucci te donnes pas le style du duce
t’as ni la présence à poutine ni la paire de couille du [?]
quand je trouve un sample tout frais je retourne la pièce comme douchez
hein gars l’instru je veux toucher, taper un [?] et retourner me coucher
il te faut du fric, faut que tu flex, pour qu’elle se laisse faire où tu le sais
tu perd du pèze et du flair, j’ai jamais payé pour du s-xe
qu’est-ce qui a ? fais pas la course si tu roules en kia
f-ck un califat comme mia, fait ton aaliyah comme [?]

[pont]
t’as une mission dans ce monde, des haines, des [?] tu t’allumes au xanax
je touche le fond eux remontent tel neuchâtel xamax
je taff le truc comme un sédentaire, je rap d’enfer et je sais chanter
j’ai tant de rêves et des ennemis par centaine, on arrête de plaisanter

[couplet 2]
que des instrus du label, l’industrie d’en face pue la merde
leurs masters n’ont pas la qualité d’une maquette, ce sont, ces monts tu la gerbes
que du brun-que du brun, ma consommation est fractale
peu de joint, le mal est quotidien, sur l’instrumentale j’enchaîne les p-sses d’armes
j’arrive comme anakin chez les hommes des sables
aucune de ces bêtes ne m’est tolérable
fait des incendies, cf odessa, bordel
j’attends la prochaine guerre dans la décennie, -n-lyse des signaux faibles
je reste calmé, roule un céleri, le temps s’accélère et tu dépéris
je te regarde de loin comme un sélénite, purifiée par le feu sera l’hérésie
et t’hésites une deuxième fois à te tirer d’ici
this is the end l’ami, à tes risques et périls
est-ce que tu piges ? je suis très heureux loin de paris
cette ville du diable où certains pratiquent la magie noire et ses multiples rites en place publique
dans le maquis je me sens comme vikernes, quand vient l’hiver j’hiberne
je vous laisse en ville dans vos vies de merde, vos clapiers c’est la misère bordel
je fume des palais, je ne suis pas net, on veut les dates qui défraient lourd
la pluie s’-ssèche plus que jamais, on s’enfume plus qu’à wewelsburg
j’allie le fond, la forme, l’ampoule à faucheuse
obi-wan kilo de sh-t, obi-wan kilo de beu

[outro]
grand trou, au jamais cuck [?]

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