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letra de mr. punchline - sinik

[intro]
vas-y c’est bon
mets-moi un peu plus de basse s’te plait
yeah
s.i.n.i.k., mr. punchline
blah!
gros beat, grosses phases
yeah

[couplet 1]
mon mal de tête est du aux bails de tèç’
aux toxicos qui veulent se faire des paris-lyon mais sur des rails de cess’
une rime à chaque boulette, une belle brochette de branleurs
mais comprends-les, le pôle emploi chez nous c’est chatroulette
tu parles de gang de quoi ? de qui ?
tu suces la pine à pinocchio tellement ta zik fait de la langue de bois
le son du frigo, super dur
pour que tu fasses la couverture faudra qu’t’apprennes à faire du tricot
t’façon y’a plus de modèle
ils ont retrouvé de l’adn présidentiel au fond du cul de faudel
je nage dans la merde, pourtant j’ai pas d’bouée
ce genre de tas d’prouesses, street comme des nike trouées
le fléau d’té-ci, le truc de barge
j’te mens pas, la pute d’en bas fais plus de passes que leo messi
dirigé vers le peuple, époque de dégonflés
gros dans les embrouilles j’en ai vu trop se la jouer paire de pump
tu fais l’fier poto, t’as même la mèche blonde wesh
là d’où tu viens, les bonhommes partent lorsque la neige fond
chacun son tour de fauter
en furie comme dsk faisant jury dans un concours de beauté
yeah ! tous ces morceaux de gravier, dans la gorge font mon accent
je suis la gov qui roule à 100, tu es françois-xavier
ici on s’inquiète, et soudainement ça pue l’échec
voler une caisse c’est la chance d’aller en cinquième

[refrain]
redouté comme la peste, comme une arme, comme un fusil
mon premier c’est la tess, mon deuxième de la musique
bouillant comme la braise, comme la plume que je cultive
écouté par les jeunes, par les flics, par les buildings
redouté par les frères comme un glock, comme un fléau
connu de toutes les taules, tous les blocks, tous les préaux
ici y a pas d’sous-titres, les dialogues sont en v.o
cousin je pue la street, le bitume est mon déo’

[couplet 2]
j’ai traîné dans les squares d’ici à voltaire
amaigri, la rue m’a rien donné à graille ça nourrit pas de prendre un bol d’air
des couilles en or brut, pour que la foule boite
chef permettez moi de faire un chèque avec ma boule droite
violent comme bruce lee…
quand c’est l’aïd, faut jamais jouer à saute-moutons avec des muslims
les flics te cuisinent, sache-le
un coup d’botin sur le visage et les pages jaunes te font des tâches bleues
ma france plane, ça roule des cônes de cow-boy
le calumet pour l’allumer j’ai b’soin d’un lance-flammes
tu t’es cru fort malin, un seul renfort suffira
on sera deux moi et moussa alias grand corps malien
t’es comme le uc d’une chienne
tu rases les murs comme ce connard dans la pub du gel
ici preuve à l’appui
a la vente si tu payes pas tu feras un tour de paravente avec un parapluie
elles couchent à 12 piges, fini les p’tits lu
un jour, dans pas longtemps, h-llo kitty fera des pilules
on en veut pas des taffs de lèche-boules
demande aux p’tits, pour prendre des ailes il suffit pas d’un pack de redbull
le drame est proche mais il faut l’éviter
on est si tristes, y’a autant de came dans les cyclistes que dans les cités
le son d’un parpaing, c’est des angoisses
quand la malchance colle à la peau c’est la poisse que devient ton parfum

[outro]
redouté comme la peste, comme une arme, comme un fusil
mon premier c’est la tess, mon deuxième de la musique
bouillant comme la braise, comme la plume que je cultive
écouté par les jeunes, par les flics, par les buildings
redouté par les frères comme un glock, comme un fléau
connu de toutes les taules, tous les blocks, tous les préaux

- sinik

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