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letra de équipe solide - sicario

[paroles de “équipe solide”]

[couplet 1]
amis nous n’serons pas, non
un serrage de main peut devenir le go
permettre l’accolade, se faire planter le dos
tue moi dans le un, je reviens dans le deux
combien de soucis par mois ?
les mains sur la tête qui s’écrase sur le sol, devant des affaires pas à moi
sur écoute, apparemment
la survie dans la parano
au moindre au doute, je caresse la gâchette du savoir
équipe solide qui taffe avec les ongles, condé retrouve tes ongles et ne veut rien savoir
on choisit quand sa vie, on choisit quand sa meurt
c’est la dalle qui domine, avant d’manger tes morts, on choisit la saveur

[pré-refrain]
déjà tout perdu, que veux-tu m’enlever ?
en vrai c’est baiser, j’ai même plus d’envie (ouais)
une corde à ta nuque, les deux pieds dans l’vide (ouais)
si j’te raconte la fin de c’qui est écrit dans l’film (ouais)
tu mets des faux plans car j’t’encule en feat
j’entends les humains s’dire : “c’est qui en fait ?” (ouais, ouais)
c’est pas l’album qui circule en fuite (ouais)
ils vont rien comprendre quand sonnera la fête
[refrain]
j’parle au fer en l’câlinant, pour m’refaire, j’ai pas dit non
aucune chance à saisir, donc on pense à sévir
flash de ben au arrivant, quand j’les sers à la mi-temps
on fait pas ça par plaisir (non, non, non, non, donc on pense à sévir)
savoir se taire quand ça flanche (savoir se taire quand ça flanche)
devoir le faire quand sa fâche (devoir le faire quand sa fâche)
sortir le fer quand sa tâche
(savoir se taire quand ça flanche)
(devoir le faire quand sa fâche)
(sortir le fer quand sa tâche, quand sa tâche)

[couplet 2]
la terre, c’est dur (c’est dur)
soit sûr de toi si tu t’engages (oh)
mourir dehors (hors)
tenir le hall, soit vivre en cage
la daronne attends pension d’la rentrée
c’est l’argent d’dehors qui nous fait rentrer (ouais)
six heures moins cinq, ils sont devant l’entrée
et tant que j’suis dedans, qui gère les entrées ?
la mort ou l’tchitchi, nous on fera les deux
t’écraser ton crâne ou t’baiser d’abord (ouais)
avant d’parler sur moi, toi tu m’parlais d’eux
maintenant tu parles chinois, ton âme s’évapore
j’ai pas l’temps, j’te rappelle à l’occas’ d’un décès d’tes proches
j’t’ai appris à prier, tu m’veux faire le prêche ?
le paradis, c’est tout droit, tu peux suivre les flèches
mais fils de salope, si j’t’appelle, décroche
[pré-refrain]
déjà tout perdu, que veux-tu m’enlever ?
en vrai c’est baiser, j’ai même plus d’envie
une corde à ta nuque, les deux pieds dans l’vide
si j’te raconte la fin de c’qui est écrit dans l’film
tu mets des faux plans car j’t’encule en feat
j’entends les humains s’dire : “c’est qui en fait ?”
c’est pas l’album qui circule en fuite
ils vont rien comprendre quand sonnera la fête

[refrain]
j’parle au fer en l’câlinant, pour m’refaire, j’ai pas dit non (non, non)
aucune chance à saisir, donc on pense à sévir
flash de ben au arrivant, quand j’les sers à la mi-temps
on fait pas ça par plaisir (non, non, non, non, donc on pense à sévir)
savoir se taire quand ça flanche (savoir se taire quand ça flanche)
devoir le faire quand sa fâche (devoir le faire quand sa fâche)
sortir le fer quand sa tâche
(savoir se taire quand ça flanche)
(devoir le faire quand sa fâche)
(sortir le fer quand sa tâche, quand sa tâche)

- sicario

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