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letra de des années - shtar academy

[paroles de “des années” ft. plk, ryan & perkiz]

[intro : plk]
skenawin music
eh, eh, eh, eh (ouh, oui)

[refrain : plk]
j’suis dans les rues d’paris, j’fais partie de ceux qu’ont un vécu d’taré
c’est mes frères, mes amis, on s’connaît depuis de nombreuses années
si c’est bon, on prend que des plavons, que des gros montants
que des peines de shtar, j’t’allume ta mère et j’rentre pour longtemps
[post-refrain : plk]
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des retours, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller (oh)
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des retours, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller (ouais, ouais)

[couplet 1 : plk]
c’est pas des blagues, c’est pas des histoires (nan), j’ai caché l’bigo, ‘phone, derrière le p-ssoir (brr)
j’me suis fait éclater devant un p’tit square avec un ient-cli qui écoutait du p-square (eh-eh-eh)
faut mailler comme mado, j’les aime bien comme ma go, j’suis puissant comme ma gov’ (j’suis puissant comme ma caisse)
comme nurmagomedov, j’souris pas sur la to-ph’, on est six dans la golf (-bruit de voiture-)
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des allers, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller (tu connais, tu connais)
des ients-cli, des camés, la recharge est calée, j’suis bon qu’à racailler
le cayenne dans la calle, frérot, faut pas bailler si tu rêves de tailler

[pré-refrain : ryan & plk]
si t’as des bonnes touches, mon gros, ramène, [bosse dur vraiment à la reçue des morts ?]
j’prends des risques depuis pour ma monnaie, si ça chauffe, le fusil qui m’épaule
que du liquide, que du liquide, oh la daoya, qu’est-ce qu’elle est bonne
sur tout bériz, ient-cli en raffole, compliqué de pas finir en taule (ouh, oui)

[refrain : plk]
j’suis dans les rues d’paris, j’fais partie de ceux qu’ont un vécu d’taré
c’est mes frères, mes amis, on s’connaît depuis de nombreuses années
si c’est bon, on prend que des plavons, que des gros montants
que des peines de shtar, j’t’allume ta mère et j’rentre pour longtemps (ouh, oui)
[post-refrain : plk]
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des retours, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller (oh)
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des retours, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller

[couplet 2 : ryan]
comme tous les tits-pe, les glands ont regardé, comme tous les tits-pe, on commence par barber
embrouille de quartier, faut vous écarter, j’sors le tard-pé, prêt, feu, partez
plus on grandi, plus faut palper, faut palper, donc sur l’terrain, encore plus speed qu’mbappé
j’lui dis mon num’ vu qu’c’est la peugeuh après, il est fidélisé, fait que de rappeler
charbonner des années, des années, des années, des missiles, des missions, des retours, des allers
trop d’cond-mnations, la juge : une salope, alors l’addition est salée, est salée
j’pars pour des années, prétoire, salle d’attente et tard-mi
t’as vu m-rs-ille, la mala dans les habits mais dis-moi, où sont passés tous mes amis ? mais où sont-ils passés ?

[refrain : plk]
j’suis dans les rues d’paris, j’fais partie de ceux qu’ont un vécu d’taré
c’est mes frères, mes amis, on s’connaît depuis de nombreuses années
si c’est bon, on prend que des plavons, que des gros montants
que des peines de shtar, j’t’allume ta mère et j’rentre pour longtemps (ouh, oui)
[post-refrain : plk]
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des retours, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller (oh)
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des retours, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller (ouais, ouais)

[couplet 3 : perkiz]
j’suis au fond d’la promenade, j’suis au fond du gaulé
masta, tu nous connais, nous passe pas la pommade
les idées n’sont pas claires, [?]
j’remets mon jogo, j’déboule en un éclair
on a les clés du golf et d’la cellule
la liberté s’étend, la coke, c’est pas une pilule
au moment, t’as pilé, tu finis à fresnes
tu la fais tapiner, tu tombes love à terme (pah, pah)
faut qu’t’assures le parlu, pas b’soin d’trop parler
j’perds mon temps, me3lich, [?]
on juge personne, même pas la tantine, bâtard
j’me blesse sur l’terrain ou faire des années d’placard ?
j’ai pas l’temps d’lire, j’ai l’temps d’compter
j’sais qu’ils vont v’nir quand j’vais ronfler
moi, j’suis trop gang mais la 3esses, elle kiffe perkiz, merci polak

[post-refrain : plk]
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des retours, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller (oh)
des années, des années, t’as perdu des années, des retours, des allers (des retours, des allers)
et les peines sont salées comme les larmes d’la daronne qui s’est laissée aller

- shtar academy

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