letra de all shtar - shtar academy
[paroles de “all shtar” ft. le rat luciano, lino, zkr, sicario, miaouss, zikxo, norsacce, zeguerre, hayce lemsi, rousnam, larry, ryan, perkiz, nonô & blur]
[intro : le rat luciano]
katrina squad
hey, lrl, shtar ac’
des baumettes à fresnes, trop d’larmes sur les pommettes et plus rien qui freinent
c’n’est plus c’que c’était
rien à fêter, toujours rien à fêter mais rien à fêter, rien à r’gretter
[couplet 1 : le rat luciano]
entre temps, trop d’mandats en provision, que dans leur vision, faut s’faire une raison
l’avenir, un présent, aucune prévision, pas b’soin de c’qu’ils ont, j’ai ce qu’il te faut
dealer, livraison, là pour en faire à foison, tout еst bon, tout est poison
j’sais qui sont les faux, les k!llеrs, les vrais hommes et c’qu’il s’dit derrière les cloisons
1.3, la favel’ internationale, quelques verres d’javel dans l’confessionnal
tout pour le papel, [?] nationale, sa mère la retraite, police nationale
jamais dans la norme, toujours dans la lutte
la vie est une pute, viens pas faire la nonne, qui paierait la note ? la leur ou la nôtre ?
j’leur braquerai la lune, passerai dans la note, j’ai plus rien à fêter, y a plus d’corazón, nan, pas l’coup du sort
si tu t’la racontes, ça va dans l’appart’ et puis, ça t’la sort
qu’est-ce que tu racontes ? t’es avec moi ou contre ?
chacun sa part d’ombre, que dieu me pardonne
toujours loin du compte, le reste, c’est des cons
que faut faire du gaz, dioxyde de carbone
[couplet 2 : blur]
on est vrais comme le sang sur les murs, y a des règles, c’est pour pas s’faire l’amour (c’est pour pas s’faire l’amour)
mes res-frè, comme leurs produits, sont durs, fume la frappe du pays d’wijnaldum
si t’es faux comme tes codes, ça s’ra dur, en promenade, faudra pas faire la moue (faudra pas faire la moue)
gros, si t’as des trucs à dire, évite-les, viens plutôt l’dire à nous
y a les paros aux barres de pole dance, vu les taros, toute la colle danse
la nuit porte conseil quand t’as pas d’punaise, deux cons vont s’la mettre si l’ambiance est mauvaise
pas un bon conseil si ton affaire est chaude comme la braise
et si tu les baises, fais leur la bise, dis-leur : “labess”, j’fume cannabis
assis en cour, j’attends la cour d’assise, blur
[couplet 3 : zkr]
encore un matin où la serrure dérange mes rêves
j’lève mon pied pour l’appel, dès qu’on sort d’ici, on change les règles (on change les règles), eh
parce qu’elles sont pas faites pour nous arranger
j’sors du parlu, j’passe à la fouille, il est même pas fichu d’trouver mon vingt g’
il est même pas fichu, j’l’ai bien caché, obligé comme les produits ménagers
assis-toi, mon frère, tu peux manger par terre, bloqué au mitard, c’est la cité carter
et y a l’autre enfoiré qu’a bossé sur les tons, demain, en promenade, va y avoir un feuilleton (nan, sale)
quelle réinsertion, entre les fesses, j’ai d’la cons’ et des biftons
des cantines en masse, ouais, y a plusieurs packs, eux, ils vendent leur âme et ont plusieurs pactes
laisse-nous en cellule, le jour où j’sors et j’reprends le volant du audi sport
[couplet 4 : zikxo]
j’ai connu les dépôts, [?], shtar academy pour les frères au ballon
les zonzons de france, c’est un repaire de talents, retrait sur une fuite et ressorti le bras long
t’inquiète, dehors, on n’est pas loin, on protège les mifs et les darons
ça cuisine, fils de pute, la fumée du joint sort à travers les barreaux
ils visser des peines de meurtriers, c’est nous dans leur viseur, ils allument les primaires
ça parle en années les épisodes, ils vont pas regarder les trajets d’ta daronne
les prisons pour femmes et les prisons pour mineurs apportent la douleur à la parole
défaut d’mis-per à la carotte, les res-frè aussi dans la cavale
j’reçois des snap’ sur mes “temps” en cellule, libérez bourbier, faites-le l’matin, c’est mieux
mes reufs sont branchés ce matin aussi, il suffit d’une perm’ pour que j’relance ces putes
apprendre la nouvelle, c’est l’pire moment, c’est dur, on s’tape pas la tête, celui qui arrête, c’est dieu
dedans, dehors, faut qu’on ramasse les thunes, nique sa grand-mère les —, j’leur pénave
[couplet 5 : ryan]
et j’suis très souvent aigri (très souvent aigri), j’rugis en cage (eh, eh)
ça changera never, personne f’ra autant qu’toi-même le taf
[?], t’as maigri (oui), en tête, tout est noir (noir, noir)
ouais, on peut s’les faires, ces putains, ils prient pour jamais nous r’voir (ils prient)
et ces p’tites tapettes qui, dans ces couloirs, ont du pouvoir
de partout, “fu-, fu-“, le parloir, une passoir
j’passe à la fouille, fouille mais j’le savais comme d’hab’
j’ouvre sereinement ma braguette, c’est pas moi qui remonte la plaquette
[couplet 6 : lino]
un cercueil s’ferme, une cellule s’ouvre, une seule atmosphère, odeur de souffre
le noir cliché mange plein d’hot wings, mon blase affiché, l’nouveau point godwin
le mal, j’l’emmène, le monde, j’le mords, pourvu qu’ils m’aiment comme un rappeur mort
pas de macklemore, cache les écoliers, y a un poil pubien sur la langue de molière
che guevara, gaviria, on est passé, c’est un virage à cent quatre-vingt degrés
c’rap est viral, j’rime en 3d, j’fais des films pour aveugle, [tu leur diras ?]
changer la donne, pas inverser les rôles, au sommet, les [?] bien après les [roses ?]
là, c’est zéro, zéro, zéro, jeunesse passée dans un bloc, arrachée par l’héro’
mes s’melles ont cramé dans ces rues brûlantes, j’veux mourir comme mes idées mais de mort lente
la gloire des bâtiments, c’est [?], des rivières de ciment aux frères qu’on incarcère
le diable fait son wess-wess, ses messes basses, la nature n’aime pas l’vide, j’remplis l’esp-ce
mauvaise extase, son des messes [?], niquer l’système, il a l’air d’aimer ça
[couplet 7 : perkiz]
on s’voilait la tempe, quand on fait du biz, j’vais pas t’le cacher, j’veux pas qu’tu m’fasses la bise
ouais, les bails sont propres, ouais, on fait la diff’, je n’compte pas les gros que font la mif
on d’vait tous faire parties d’konami (ouais), pétasse, t’es bien bonne, j’suis pas ton ami
repars surveiller l’bifton qu’on a mis, garde-à-v’, prison, t’es dans la merde
on a fini sous barbelés, on a commencé sous barbelés
pars en évitant d’être interpellé, un black ne laisse pas un frère black pleurer
j’repars au combat, mes blessures n’ont pas cicatrisé
j’veux passer du d2 au détroit d’gibraltar dans un 4×4 climatisé, ah
tu connais nos lifes, en promenade, j’ai d’l’espèce
j’suis frais mais j’veux être free, j’suis trop thug, d’mande aux 3esses
on s’respecte les consignes quand il n’y a pas de règles comme un implant dans le bras de ta re-m’
c’est ta patata qui donne le go et entend “ra-ta-ta-ta” dans ta ruelle
[couplet 8 : rousnam]
ce matin, j’me réveille, promenade, deuxième tour, c’t’après-m’, je reçois le colis
d’la viande, un bigot, deux plaquettes, d’la patata pour les broly
bientôt, j’fais mon paquetage, le co, c’est un bon donc je partage, j’appelle le poto, j’fais passer l’temps
tous la même bataille, j’ai chunku pour m’refaire, si j’suis là, c’est que j’ai raté l’plan
c’est la shtar academy, c’est le mitard, j’m’endors au bruit des rats, pas des guitares
on mange toujours les mêmes plats, gros, c’est ris-pa
on garde les bons souvenirs mais dedans, tu ris pas
une teisseire, j’suis refait, soirée poker, quand y a parlu, j’peux pas laisser le tél’ en cellule
c’trou du cul s’prend pour ton père, les nerfs quand ils referment à double tour la cellule, pah
[couplet 9 : norsacce]
la prison, c’est dur et la sortie, c’est sûr mais y a rien d’plus certain que la mort
avec mes voyous, j’ai des désaccords, bien avant l’argent, la famille d’abord
l’insalubrité, les [?] quand ça cesse, au bled, on entasse les corps
81 : ils abolissent la chaise mais combien d’autres ont fini sous la corde ?
hein, pas d’équité, dieu leur rendra la monnaie d’la pièce
ils ont tous peur de satan que d’la braise, l’heure d’la promenade écourtera la sieste
c’est pour ceux qu’ont jamais r’tourné la veste (nan), même si elle est sans puche-ca
pule-cra, chez nous, on adule pas, afrique de l’ouest mais la rafale est bulgare
ceci n’est qu’une épreuve, le très-haut [?] dans l’cœur
pardonne l’erreur, s’en fout des preuves
hein, tu crois qu’on joue, c’est pas beer pong
pour tous mes frérots, sache que la haine monte
et l’hiver arrive très vite quand la peine tombe (pah, pah, pah, pah)
[couplet 10 : zeguerre]
déferré, j’pointe à la barre, menotté, dans les [?], bizarre qu’j’nie même pas les faits
sous mandat d’dépôt, j’déboule, je le fais, j’connais le quart du shtar, en balle, j’me refais
et j’pense que j’en aurai au moins pour cinq piges, [?], pied gauche, j’tartine
en promenade, on voit que les rats m’visent, enfoncer notre grosse lame dans les douches à [bade ?]
h-llo, h-llo, ça prépare des po’-po’, mieux qu’au tel-hô (ouais, ouais)
paro, paro, on enchaîne kush sur kush, aqua d’pélo (ouais, ouais)
tar-mi inévitable, on en a vu une trentaine péter des câbles (ouh)
c’est le 6.9, purge et c’est délicat (eh), force aux détenus enfermés, faut la mentale (ouais)
[couplet 11 : nonô]
spartacus est dans l’arène, en face, là, ça grimpe aux grillages
politique, “brr”, quelques immigrés qu’ont du pillage
pâtes au thon et des matons, mauvais endroit, mauvais moment
lourd est l’poids des mots des balances, que prendre la potence, que d’une romance
surveille ta cage comme mandanda (ouh), y a qu’des boucans, ouais, et des lettres
le nom des frérots dans les mandats, j’ai [?] et j’ai fait couler pipelettes
garage, garage, on s’débarrasse, j’aurais pu sortir, f-ck la paperasse
moi, j’demande à dieu, pas b’soin d’leur grâce, moi, j’demande à dieu, pas b’soin d’leur grâce
[couplet 12 : larry]
une taffe, deux taffes, trois taffes, quatre baffes dans ta tête de con, ta tête de con
t’as ni les bons plav’, t’es ni à la page, [?], ça tache quand ça s’passe
si mon teh rend fou la catin, c’est qu’tu parles mal de la bouche (grr, pah)
c’est ta maman qui débite et qui va t’charger balles de .12
[?], donne un rouge pour un — (pah, pah)
un bleu pour un vingt, tu peux la payer sans invit’
voleur, voleur je suis car j’ai voulu, moula, nougat, quelques fois, c’est d’l’olive
coups d’batte, coupable, pas là pour rigoler, c’est à fresnes que j’ai écris ce couplet
les frères qui [?], c’est l’mektoub, j’ai ma conscience en doute, j’viens des eaux troubles
éduqué à la dure, j’connais pas l’souple, j’vais lui casser ses dents, il boit qu’d’la soupe
[couplet 13 : miaouss]
c’est pas les menaces qui nous font perdre le latin
t’es dans le terrier quand ça tire comme les lapins
on n’a jamais eu peur dans l’noir, les mauvais sont dans la lumière
la procureur veut rien savoir, elle est rancunière
ils ont soulevé le labo, pas d’cadeau, la zone est carbo’
ils ont plongé, y a pas d’radeau, cultiver l’savoir : un pavot
pasta, pasta comme va piano, deux-trois garages, j’fais un mécano
j’suis avec mouloud et nonô, tout l’monde a plongé, tout tombe à l’eau
[couplet 14 : hayce lemsi]
10:30 : j’me réveille, j’suis dans les p’tits ménages
j’laisse toujours le lit du haut pour le bikow qu’emménage
trois-cent points pour avoir la gamelle, cinquantaine de paquets d’camel
mets ta baguette, on est mardi, l’auxi’ passe pour le linge
j’écris dans mes jours de rage, j’récupère ma consolation, tue la barre
j’cours un peu histoire de réduire la consommation d’mes rapaces
j’récupère un colis dans la promenade, j’fais la passe à mon co, j’me fais crever par le gradé, j’ai la poisse
à mon tour au mitard, dès que j’sors, j’la recoupe au bigard
j’ai accord de guitare, effiloche un oligarque, les gars mobilisent une équipe, on y va (rah)
rdv 15:30 avec amore mia, j’lui fais l’amour, elle prend des risques pour moi
ma peine s’écourte chaque fois qu’elle vient twerk pour moi
dès qu’j’sors, j’l’emmène à dubaï et à atlanta
tu parles mal à la f’nêtre, demain, j’te fais ta fête
laisse mon pénave à la nounou pour un tête-à-tête
y aura pas d’représailles si j’te laisse par terre, sale pute, si j’te laisse un gros cratère
le 3esses a des airs de raciste, y a qu’la mif et les vrais qui m’assistent
j’suis comme bloqué dans la chrysalide, c’est la crise, on a l’habitude, c’est la street, mon ami
[pont : hayce lemsi & sicario]
j’suis en cellule comme dans l’binks
tenir la cellule ou la promenade ?
promenade, parlu, première presse
j’attends que la drogue remonte du parloir
j’attends plus des pcs, maison d’arrêt : mon adresse
j’suis en cellule comme dans l’binks
le surveillant n’a plus aucun pouvoir
j’suis en cellule comme dans l’binks
tenir la cellule ou la promenade ?
promenade, parlu, première presse
j’attends que la drogue remonte du parloir
j’attends plus des pcs, maison d’arrêt : mon adresse
j’suis en cellule comme dans l’binks
le surveillant n’a plus aucun pouvoir
[couplet 15 : sicario]
zéro dans l’pécule, j’vais tous les hagar, bloc de sh-t entre les fesses, j’m’en sors en racaille
[?], ici, pas d’rafale, ça t’patate en promenade quand ça baise ta femme
j’ai pas vu d’rappeur, l’aumône nie, j’lui fais des rappels
poto, tu t’rappelles ? c’est nous les rapaces, on contrôle la pièce
tu nous verras pas, la routine, j’suis à l’aise là où les rats passent
j’attends mon parrain, enculé, ramasse, ça t’arrache ta place comme des piranhas
écroué, j’m’affranchis de leur pyramide, tyrannie d’la promenade, t’auras plus nada
et par albator, l’avocat m’adore, le front sur le sol, j’attends qu’on m’libère
crois pas qu’on hiberne, que des maudits, frère, la rage au parloir, c’est ça nos vies d’merde
maison d’arrêt, cd, j’pourrai jamais céder, la prison, c’est dur car la prison, c’est nous
t’arrêtes pas quand on tourne, un regard et c’est bon
on parle avec les jnouns, on graille avec les loups
la grâce de dieu t’a donné la vie, la crasse des lieux peut t’donner la mort
elle vend qu’en cellule, pense à ton avenir, 92i, drapeau noir, ils sont dans la merde (dans la merde, dans la merde)
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