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letra de le reflet (prod itam) - sentin'l

les années p-ssent sans savoir ce qu’on va donner
paré à vivre sans jamais recevoir
les minutes courent et l’espoir tombe à côté
là j’ai que la zik en reflet dans le miroir

j’veux retrouver cet époque
des grosses maquettes que je tapais dans mon casque
les pensées pleines on s’est dit que le malheur c’est que des fois on s’en p-sse, et…
perdu, j’ai pas la vie de street qu’ils ont pensés
et puis je regrette le nombre de pire mine qu’ils vont me plomber
les conséquences je les voient
car mon sourire a disparu ouais quitte à faire de la merde, j’écris des textes donc dis moi si j’abuse
perdu, devant mon rêve et ces connards qui le gâchent
des grosses injures depuis que c’est les problèmes et les tracas qui me taclent
et pour bien faire, faudrait l’oseille pour ça
donc je serai riche quand
j’aurai la gloire et réussite du son que ces rappeurs chérissent tant
et pour le reste j’essaye de tenir dans cet ambiance électrique
la tendance elle est pire, chaque jour c’est tentant de faire les pitres
ah ouais dis moi, j’ai bien changé depuis la cour d’école
je veux faire mon chemin solo, fini saoulé depuis que l’amour me désole
plus rien à foutre couz, j’ai vu que mon cœur c’est barré loin
humeur irrémédiable, je me dis que faire du mal ça parait bien
je veux pas mentir au crom’, je veux pas qu’on me graisse la patte
celui qui baisse la garde se p-sse au tir en [pôle?]
tout seul et je vois les heures filer
je remplis mes paragraphes
on p-ssera par la trappe
a une étoile jai bien trop peur de briller
tout le reste à disparu, je suis dans un mauvais film
un gosse gentil mais pour mes proches je crois bien que j’oserai le pire
en plus de ça, je rêve dans mon coin mais je dors quasiment pas
là c’est la fin, personne ne vient, j’attend la bise m’en l-sse

les années p-ssent sans savoir ce qu’on va donner
paré à vivre sans jamais recevoir
les minutes courent et l’espoir tombe à côté
là j’ai que la zik en reflet dans le miroir

sans le stylo j’ai, la déprime au max
quand je crois que j’innove
on est quinze à le faire les quatorze autres pensent innover
la liberté j’y crois tellement qu’elle m’a emprisonnée
persévérant je continue même quand le bilan dit stopper
eh ouais je ferais ce que j’aime, incapable de mettre l’envie de côté
on change et un homme qui change reste le même
marre d’être à bord du train sans piloter
je veux que ça bouge, le futur semble ankyloser
et trimbale son regard fourbe, sincère dans la course et sans regrets
que j’y vais, je fais plus confiance même les mensonges manquent de vérité
de la peine à fermer l’œil, malgré des pet-ts coups de morphée
c’est en le soir le verre est vide ou corsé
peu familial bientôt je serai ce fréro trentenaire
la communication avec ma mère augmente, je veut plaire aux gens que j’aime
ecrire notre recette, faudrait que les rivaux perdent le jeux
heureux, nan l’important en amour c’est qu’il faut être deux
on nous agresse et on encaisse avec plaisir
je crois que le manque de jugeote ça rend la faiblesse pire
du mal avec l’administration, les délais c’est bête mais le respect ca facilite l’action
les autres ne semblent pas prêt au changement
c’est pas que je m’énerve nan mais la c’est dead yo
j’accélère trop lentement
la haine sans ça j’espère vivre
me permets-tu d’être fou vivre
en énergumène en, perpétuel doute

- sentinl

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