a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de 1:02 - seizur

couplet 1 :

je sais bien qu’avec ma musique
je pourrais pas changer le monde
que quelques lignes suffiront pas
pour supprimer ce mal profond
gros, celui qui me ronge
et qui parfois me rends dépressif
je suis pas précis dans mes propos
car j’apprécie les quiproquos
ca laisse penser que je suis mystérieux
alors qu’en fait je suis juste perdu
on me l’avait dis mais je pensais pas que s’en sortir serait aussi dur
je te jure je suis pris de l-ssitude
tout ce qui m’entoure paraît nocif
et puis je repense à ceux qui vivent un génocide
bah ouais c’est chaud mais c’est la vie
a croire qu’on peut rien y changer
en vrai on pourrait tout changer mais on est tous trop égoïste
on court derrière un bout de papier
ca devient limite une raison de vivre
on a tous un jour envier
celui qui avait les moyens de fuir
souvent on fait avec c’qu’on a
t’façon tu sais avec ce qu’on gagne
mais quand j’en parle je me sens coupable
je sais que y’a toujours bien pire que soi
et ce dans quoi que ce soit
a la fin de l’histoire on partira sans accessoires
peu importe le prix du costard

refrain :

et j’me dis que le temps c’est précieux
qu’il faut savoir l’investir
parcequ’en moins d’une minute deux
tu peux voir ta vie qui défile
et j’me dis que le temps c’est précieux
qu’il faut savoir l’investir
parcequ’en moins d’une minute deux
tu peux voir ta vie qui défile

couplet 2 :

a l’école j’étais pas doué
je te l’ai déjà dis
je rêvais d’une autre vie
loin, de la drogue et de la tise
2k19 je vais fair la dif’
j’ai des mc’s sur ma liste
2,3 bastos dans le chargeur
nique sa mère j’ai dû prendre des risques
c’est pour ceux qui font tourner le disque
en bas du bloc c’est la crise
le million c’est l’objectif
devant le micro je suis décisif
numéro 16 pour les intimes gros
j’fume la beuh toute la nuit trop
défoncé dans la ville
j’les vois s’en mettre plein les narines
l’oseille on l’a fait nous mêmes
moi je suis pas un phénomène
faire ce qui faut pour quitter la merde
qui reste collé à nos semelles
et quand j’y pense j’ai tout perdu
j’ai croisé quelques ordures
avec le temps on s’habitue
depuis l’époque de l’abribus

refrain :

outro

- seizur

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