letra de onu - san-nom
[introduction]
je t’ai pris de surprise
comme si j’étais l’fils du christ et qu’j’rafalais au dîner du crif
bouche-toi les oreilles comme le cri avant que comme ton cul ton visage ne se crispe
ta sale face d’heureux triste n’a plus d’intérêt comme un chanteur de reprise
la plus belle chose qui te soit arrivée, c’est que je te méprise
[couplet 1]
je veux les prix de ta douce mère
je n’en suis pas épris mais ta douleur
m’provoque des crises d’euphorie, il n’y a que deux folies
celles qui poussent à s’enfermer et celles qui poussent à tout faire
regarde-moi rire à t’en étouffer, j’ai l’étoffe d’un métaphysicien
je suis mon propre dieu depuis qu’j’n’attends plus aucun signe divin
mais tu es là si vilain te bavant dessus, tu finiras dessous bien avant reçu
n’inversons pas les choses, imagine une femme qui rencontre un homme mais avant le suce
montre donc tes gros bras, moi tout ce que je vois, c’est qu’tu n’as pas de fut’
si j’avais un marteau, j’te cognerai la face, donc ne joue pas le juge ou bien sur toi je jute
ou bien sur toi je jure que je suis plein d’amour, si j’te baise il n’y aura point d’accouchement
doucement mon cochon, à la cool, sinon de ton corps je fais douze tranches à la coupe
tu m’cries “allez vous-en marabouts”, les gens d’viennent aveugles sans abajour
tu finiras dans l’acajou, tu m’glisses un p’tit “douce france!” mais bien à vous
mais rien à foutre de ta souffrance, qu’les pintades te bouffent à outrance
quand à 12 ans, en bonne tantouze, te découvrant, qu’ta lâcheté pouvait devenir un atout
ah, il suffit d’être cravaté, avoir d’la merde plein la bouche
tu pointes du doigt les grabataires qui se nourrissent à la louche
[couplet 2]
j’aime pas les gens comme toi, et j’aime pas forcément les gens qui n’aiment pas les gens comme toi
mais j’aime bien les gens qui te voient dans une mare de sang
mais te laissant l’corps froid dans ton indécent costard
même une chambre à gaz aurait laissé tes mains encore sales
j’te souhaite les roues d’une opel corsa, ou les couilles en torsade
qu’on t’habille comme une pute et qu’tu t’étouffes dans ton corsage
j’te souhaite des coliques néphrétiques ou comme aux hérétiques le torchage
sur du penderecki, faudrait oser l’éthique avant que je n’effrite tes organes
ah ah, oui j’organise la mort d’ton organisme, dehors, un organiste sublime mon orgasme
de voir ton regard vide, l’ambiance est organique, ton corps n’est plus qu’origami, suffit qu’on s’orga-
nise, là on se regarde vivre et on s’égare vite, ça ne me suffit plus ces infractions punies
donc on est parti, on se les farcit tous ces sales types, faut qu’on écarquille leurs
corps qui respirent encore trop, les corbeaux boufferont le reste des nations unies
[outro]
les nations unies
ah ! ah !
les nations unies
(murmures des paroles du début)
je t’ai pris de surprise
comme si j’étais l’fils du christ et qu’j’rafalais au dîner du crif
bouche-toi les oreilles comme le cri avant que comme ton cul ton visage ne se crispe
ta sale face d’heureux triste n’a plus d’intérêt comme un chanteur de reprise
la plus belle chose qui te soit arrivée, c’est que je te méprise
letras aleatórias
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