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letra de freestyle dvm* - saïf (fra)

[paroles de “freestyle dvm”]

[intro]
certains perdent la vie au cœur de leurs jeunesse

[couplet unique]
certains perdent la vie au cœur de leurs jeunesse
j’ai rien crée moi, tout a été noté avant qu’je naisse
son père a un chalet à genève
il est dans dans l’rap car il a rien à faire
j’suis né avec une plume dans la main, pour conter c’que c’est la guerre
des frère qui donne pour tes affaires
tu t’fais doubler quand t’es sincère
le deuil c’est un sentiment en lui-même, c’est pas que l’goût amer
mais dis-moi qu’est-c’qu’ils gagnèrent ?
le respect c’est cool, est-c’que ça vaut l’fait de porter l’poids d’tes péchés sur tes épaules
on a l’vent en poupe, écouté même par la bourgeoisie
sa mère me regarde mal, mais elle connaît par cœur “l’hiver” sa fille
la mental à kaddafi, mais nous on s’fera jamais baiser
c’est le frère qui gère les projets, normal qu’on leur mette des crochets
chez nous l’mal peu t’approcher, une sten tah la guerre des tranché
bienvenue là où pour sa propre sécurité il questionne l’étranger
il y a du sang a épongé, tellement profond qu’j’pourrais plonger
la mort, la vie, l’hospite, l’asile, tellement d’épreuves l’ont éprouvé
ici, plus rien n’m’étonne, elle est bonne mais qu’est-c’qu’elle est conne
normal qu’elle s’fasse des tales sales trou du cul, car c’est toi la méthode
il a mis la mire sur la aug, [?] pour revendre la drogue ?
on est plus loin d’la création du monde que de gog et magog
qui est la balance dans les apôtres
les fous on les a compté
tu les baises, jusqu’à c’qu’ils t’plaque devant ta daronne, les condés
le plan a c’est l’plan b
au fond j’suis comme la pâte, le passé brise, l’avenir épate
tu sais c’est comme ça dans le 84
[pré-refrain]
t’as pas compris kho rembobine
le malheur me ramène ses p’tites copines
rien d’angoissant d’vendre d’la zip au zig
j’peux plus m’attacher, j’manque d’ocytocine
t’as pas compris kho rembobine
le malheur me ramène ses p’tites copines
rien d’angoissant d’vendre d’la zip au zig
j’peux plus m’attacher, j’manque d’ocytocine

[refrain]
il fait peur aux méchants d’la ville
des vies comme lui il y en a une sur mille
petit frère tu peux t’rendormir
j’écrirai ce texte dans mon insomnie
5h35, ri kan door f lil
je rencontre le fou et son alcoolisme
il m’dit : “saïf souvent j’entends sa voix, j’pardonnerai pas celui qui a pris mon fils”

[outro]
84 c’est city, 84 c’est city les frères

- saif fra

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