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letra de 2.4.6 - robdbloc

[paroles de “2.4.6”]

[couplet unique]
j’ai rien inventé, b-n-l en vrai, c’en est d’jà navrant
squatte à l’entrée, j’vais pas m’lamenter sur mes choix d’avant
si ça va monter, bref, déjà lancé sans mettre à la vente
rap à l’ancienne, trap, grime, rien à branler, je sais pas d’avance, ouais
saoulé seulement par ton approche, tu fais l’patron, ça bloque
l’acceptation d’un ordre à l’aveugle, je sais pas, j’me suis jamais r’trouvé devant l’canon d’un glock
parlons d’abord humain : qui t’importune ? qu’apportes-tu ? ouais
aucun plavon qui apporte thunes, on va p’t-être leur prouver qu’entre bavons, ça bosse
tous associés ou chefs, on l’fait nous-même, grossier ou p’t-être pas
si j’te remets pas, c’est qu’tu peux dev’nir une mauvaise nouvelle donc dossier ouvert, ouais
j’suis refait, tout baigne, avec ma go, on est bizarres, on passe à table
on passe l’éponge, on met l’couvert puis on remet l’couvert, ouais
pas d’plan financier, t’étouffes quand t’es en chien
club des 27 mais j’déboule sans faire l’ancien
j’pensais pas m’élancer, j’me r’trouve dans tes enceintes
ouais, pour l’instant, j’touche ma paie au rabais
rien d’mémorable, ni d’vraiment rageant et puis ça plait aux rattes, ouais
tes balivernes, j’m’en passerais bien comme le froid d’l’hiver
si tu fais l’taff, j’suis fier, si tu fais l’max, prière
si tu fais l’mac, civière, eh, débrouillard en çais-fran, j’fais l’mac gyver
ler-par en verlan depuis l’bac à ble-sa
blessé par la ppe-fra depuis l’parc du lycée, j’écoute b.i.g., be-fa, mon r’gard est plissé
depuis des taffs divers, j’passe au suivant en deux-quatre-six-eh
quand j’trouve pas ma ce-pla, j’m’y prends pas à deux fois
sans m’déguiser, une plume à aiguiser
y a qu’ça qu’j’ai visé dans ma life à ce stade
j’ai pas mal révisé, j’suis grave à la ge-pa, sans tout r’mettre à l’endroit dans mon crâne mais j’plane, pas de frappes dévissées, ouais
un fidèle insatisfait par mes perf’ ou mes meufs
de vagues souvenirs de quand elles m’trouvaient cheum
moins discret mais j’ai pas l’goût du seum, nan
qui t’a dit d’m’aider, ouais, je sais m’nourrir seul
pas l’mis-per mais je sais courir, vieux
gâterie faite, elle a moins l’sourire jaune
batterie faible, ouais, j’devrais mourir jeune

- robdbloc

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