letra de laisse-moi parler - ridsa
une feuille, un stylo, juston, blasta, laisse-moi parler
prend ton mal, fais le patienter
trinque avec les traitres dis tchin mais pas santé
le créateur m’a vu pleurer, muet
comme mes soeurs musulmanes j’parle sans m’dévoiler
le sourire du daron, la force de la madre
on reconnait l’arbre à ses fruits
la famille encadrée
on attend les malaises pour qu’au sol sois le front
c’est quand on a plus pied, que l’on touche vraiment le fond
tellement de rêve en tête que mon esprit se perd
insomniaque les yeux ouverts j’attend que mes plaies se referment
j’lutte contre moi-meme et les epreuves de la vie
comme un huissier devant ta porte ; je fais le vide
le bonheur comme l’essence, tu paies pour faire le pleins
réfugié dans la croyance, la prière comme tremplin
les yeux vers le ciel j’vois ma soeur briller
le sourire aux lèvres, on se l’ai juré
au lieu d’essuyer des larmes
les faites pas couler
des mots blessant comme une arme
t’as qu’à dire désolé
a chaque fois qu’on remonte la pente on va la haine débouler
t’avais bâti un empire tu l’a vu s’écrouler
mariage par facebook, rupture par texto
bague virtuelle, on oublie les restos
a la cam il y a ton boule, mets toi à la page
impression écran, clique sur j’aime, partage
tu veux la vie en rose, prend ton pq torche toi
du luxe, un gamos, rêve pas, rendors toi
on sait qu’ça attire l’oeil quand ça brille
mais on sait qu’tu seras seul quand tout partira en vrille
génération taré, padoré(??) pense qu’à l’argent
ton bolide les collent au siège, elles trouvent ça attachant
micthos et gratteuses, toutes en manque d’affection
aujourd’hui on cherche plus l’erreur mais l’exception
quelques trahisons, 4 ou 5 mensonges
on s’ment à nous meme pour ensuite p-sser l’éponge
cache les miettes, les pigeons n’sont pas loin
survoles les ragots, reste calme quand t’es pas bien
moi, quand j’vais mal, j’me place devant l’miroir
mon reflet me dit quoi faire de mon désespoir
j’fais plus confiance ni aux femmes, ni aux hommes
depuis qu’l’amitié côtoie le buzz et les sommes
n’attend pas qu’ton heure sonne, n’attend pas qu’la roue tourne
on a besoin d’personne, si t’es debout c’est l’mektoub
avec une clef d’sol, jferme mon coeur à double tours
la musique m’envole, elle a su venir à mon secours
chut! langage de sourd quand on m’parle d’amour
pour le vrai y’a peu d’chance, comme au loto à qui l’tour?
pour apprendre la souffrance y’a pas besoin de cours
j’pioche dans mon p-ssé qui me guide nuit et jour
des fois je serre, des fois j’observe
des fois je saigne, des fois j’encaisse
des fois j’pète les plombs, j’pèse le pour et l’contre
fais les comptes
etre un homme c’est -ssumer, quand on a fait le con
on dort, on se lève, tous des élèves
demande à un sourd, le bonheur se li, sur le bout des lèvres
marche ou crève, taf ou traine
tu le sais y’a qu’un pas, entre l’réel et le rêve
les amis s’comptent sur le bout des doigts
la preuve qu’il faut compter sur soi-meme et surtout pas sur moi
j’accélère moi je roule, j’arrive pas à m’poser
c’est ceux pour qui tu t’mouilles qui viendront t’arroser
donnes sans recevoir, laisse-les te décevoir
j’serai sur répondeur quand tu m’dira “faut s’revoir”
faire un pas d’travers, c’est pas commettre une erreur
mais bon faire deux fois la meme, supprime mon number
j’ai besoin d’m’isoler, d’me refaire au soleil
ici jtrouve plus l’sommeil, j’vois tout mes rêves s’envoler
ouais la mif désolé, j’devais profiter d’vous mais j’pensais qu’à zoner
le love m’a rendu fou, j’ai tout laisser tomber
dans ma tête tout est flou, j’sais plus sur qui compter
dans ma life, le tonnerre gronde
tazé par l’amour, j’appréhende où la foudre tombe
les connaissances font des vas et viens
tandis qu’les vrais amis, ne seront jamais loin
ne seront jamais bien, quand toi t’auras mal
on donne on s’doit rien, pour nous c’est normal
laisse ton empreinte dans les coeurs pas dans les têtes
a toi de rester simple, les valeurs sont dans les cheques
on reste debout, on reste solide
et trop souvent à bout, en fait j’m’endurcie
j’me demande si j’ai tord, je perd la raison
pour être quelqu’un d’fort, pas besoin d’musculation
et si l’bonheur coute un bras, je ferais jamais la manche
j’vais bien, j’touche du bois, j’lacherai jamais ma branche
j’me remonte les bretelles plus d’un tour dans mon sac
sur un coup d’poker, je serai pleins aux as
y’a la garde à vue pour consommer à l’oeil
on s’en fou d’tes tunes, investis dans un cerceuil
un jour on fera l’deuil, un jour on ira mieux
depuis tout pt-t jsuis seul, un jour on sera deux
en vrai j’dois faire le point, la vie m’a mis des claques
au fond l’mal nous fais du bien, car le bien on le fait mal
m’en veux pas j’suis maladroit, trop d’cicatrices
meuf dis-moi “je t’aime”, j’répond “sisi l’actrice”
la parole s’envole, les écrits reste
jpaye pas d’mine mais regarde mes textes
triste i-ve car tout l’monde se guette
même pieds nus, on m’lache pas les baskets
la conscience tranquille, je sais qui je suis
dis avec qui tu traine, j’te dirais qui te fuis
me mène pas en bateau j’suis un iceberg
c’que tu vois de moi, les dix pour-cents de c’que j’renferme khey
c’est la merde frère, faut qu’j’parte loin d’ici j’ai besoin d’air frais
les deux pieds sur la terre ferme, j’ai toujours pas changé j’suis resté l’même
j’évite de trop m’ouvrir et j’me renferme
on vise le paradis, on frôle l’enfer
j’ai du mal à vous dire que je vous aimes
car ceux sur qui je mise me l’on mise à l’envers
j’fais pas les choses à moitié, je suis quelqu’un d’entier
meme si j’ai l’coeur hanté j’ai encore beaucoup à donner
accepte moi comme je suis, n’essaie pas d’me changer
on m’invente tellement d’vies, qu’je m’prend pour un étranger
et si jamais je die, woho
surtout ne pleurs ap, woho
je veillerai sur oit, woho
garde le meilleur de oim, woho
je prend c’que dieu m’offre, j’le rend en double
quand j’donne, je donne tout, chez moi c’est quitte ou double
parles sur moi, tes part-tions j’les entends
j’ai l’oreille musicale, elle siffle tout l’temps
où t’étais tout c’temps ? j’t’aime en t’detestant
c’que j’apprécie est loin, comprend que j’sois distant
y’a pas de dispense, mon esprit se disperse
j’ai mal ça fait dix ans, jamais d’feu de détresse
j’ai retrouvé mon père, donc retrouvé mes repères
tout c’temps qu’on perd frère, ça m’a fais d’la peine
il m’a pris dans ses bras, mes larmes m’ont appris à m’taire
mes sentiments m’jouent des tour, comme d’hab moi j’me renferme
merde, on a qu’une vie, qu’un sang, qu’une voix, qu’un coeur, qu’une chance
j’ai souvent le coeur ailleurs, mais l’corps en france
grand ami du silence tu n’sauras pas c’que je pense
j’vous porte comme un trophée, mi familia
et si j’me regarde le nombril c’est que j’pense à la mama
dis moi, qui t’as éduqué, qui t’as écouté
et qui, qui t’as soutenus, qui t’as pardonné
tu le sais quand tu saigne, tu sèmes, elle récolte
comprend qu’si tu l’a blesse direct j’me révolte
j’fais pas semblant quand j’aime, j’t’en donne m’a parole
comprend qu’si tu m’délaisse direct je m’envole
reste seul, n’ai pas l’seum, j’m’opère seul
une victoire t’as pleins d’frère, une défaite t’as personne
l’amour quoi, demande à un muet de te l’épeler
t’as besoin d’aide, demande à un manchot de t’épauler
toujours célibataire, ce même coeur de pierre
veut coeur de diamant acceptant les blessures de guerres
c’est pas l’amour qui fait mal, c’est les regrets
bon vent, bonne vie, on s’retrouvera si on doit s’retrouver…
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