letra de novembre - rezinsky
[couplet 1: pepso]
mec, j’l’aime pure quand je traîne tard
les fruits d’la p-ssion n’ont pas dilué son nectar
au fond d’elle-même, puisqu’elle courbe l’échine
se distille telle quelle, soudain tout s’réfléchit
j’vis dans les bars louches accouchant du diable
où j’alourdis les pages composant mes verres de rouge
j’ai en oim une lesbienne peu farouche
y a des femmes en chacun d’nous, la mienne se touche
au fil du temps, il me semble bien répandre
l’encre en tumeur quand mes humeurs sont novembre
rien n’en redescend, paris danse sous les gyrophares
certaines lumières nous rapprochent des années noires
sans vertige, les gens vivent comme ils chuchotent
et supportent les invectives des journées qui les affligent
comme prisonniers de leurs finances inhérentes
j’vis pour ma part dans un silence éloquent
le nombre d’or flotte, tout au nord d’ma feuille
comme les tchadors t’accueillent, j’porte le deuil quand tout l’monde dort
j’accueille une mort aveugle à tous points d’vue
de la nuit, ferme pas l’œil, qu’on se toise aux coins d’rue de ma ville
des allers-retours d’un trottoir à l’autre
j’pars m’émouvoir de l’aube qui n’se compte qu’à rebours
et j’tourne en rond quand le sens est direct
on pense tous être le centre d’un cercle
[refrain]
la vie et ses secrets que peu d’nous gardent en abysse
en état d’stress, j’pars prendre ma retraite vers un véritable asile
car j’préfère quand les lumières d’la ville s’éteignent
quand seules les ombres se guettent l’atmosphère est plus respirable ainsi
quand mes cernes s’affirment à contre-jour de l’aurore
et qu’tout l’monde dort pour pouvoir discerner c’qu’elles cachent sous leur rondeur
voilà pourquoi j’aime les bars sans fond sonore
accoudé au zinc j’en oublie presque que mes états d’âme n’ont pas d’odeur
[couplet 2: safirius]
car à c’t heure la seule fille à qui j’raconte ma vie
n’est qu’une bouteille de gin qui se vide de toute sa fatigue
elle en a marre d’m’écouter chialer sur une bougie
ou que j’la flatte tel un xxx quand plus rien n’la fait rougir
s’en fout que j’lui raconte mes problèmes de gonzesse
s’contente de remplir mon verre d’une indifférente politesse
elle en a vu défiler mille des pauvres types androgynes
grise mine, vomissant leurs conneries en pensant qu’ils cogitent
j’continue d’geindre tant qu’elle m’filera pas l’tournis
un singe en hiver qui cherche l’ivresse ou tout simplement l’oubli
tellement d’regrets, rêve de m’envoler pour madrid
rejoindre un amour de jeunesse qui a refait sa vie
essaye de quitter son reflet dans un verre de bombay sapphire
dur de voir clair l’esprit embrumé par la nostalgie
celle que j’déteste tant, qui pointe son nez à chaque goulée
et m’réveille tremblant devant des pages qui refusent de s’tourner
[refrain]
la vie et ses secrets que peu d’nous gardent en abysse
en état d’stress, j’pars prendre ma retraite vers un véritable asile
car j’préfère quand les lumières d’la ville s’éteignent
quand seules les ombres se guettent l’atmosphère est plus respirable ainsi
quand mes cernes s’affirment à contre-jour de l’aurore
et qu’tout l’monde dort pour pouvoir discerner c’qu’elles cachent sous leur rondeur
voilà pourquoi j’aime les bars sans fond sonore
accoudé au zinc j’en oublie presque que mes états d’âme n’ont pas d’odeur2015
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