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letra de welcome - res turner

[paroles de “welcome”]

[refrain]
welcome to my hood, derrière le bif’, l’escale accourt
pas là pour parler d’caillasses ou kalach’, kalach’ lourdes
dès l’premier quart-temps, lyrics fat et pas tendres
quoi, c’est navrant ? attends, j’t’en d’mandais pas tant

[couplet 1]
passe le mot : lyricalement, j’suis pas l’genre de malade à faire l’apologie des armes
et j’suis armé de balles lyricales dans le crâne, prêt à faire feu sur l’rap, il le faut
non, pas trop à faire le faux, élever mon art pour écraser les autres
plutôt le genre de mec qui te parle de cause animale, supprimer la chasse et terrasser les zoos
ah, là, j’ai les crocs, ramène-moi mes ennemis, qu’ils fassent les beaux
j’frappe de té-cô’, je leur froisse les côtes, ouais, j’pourrais même les noyer dans une flaque d’ego
j’suis coupable, les défouraille, les coups partent tout-par’, c’est [?]
j'[?], tu m’trouves bad ? c’était l’étirement, j’faisais que leur craquer le dos
oui, craquer le dos, au fait, j’fais ça au détriment d’mes faux frères
maniement d’un flow frais, n’avance pas de trop près car j’ai bien peur de glacer les mots
ok, rien d’un prophète mais j’crochète les grosses têtes avec mes proverbes
les proses [?], j’ose, frère, croire que tu as capté les autres
moins indécis, j’ai des combats à défendre, pas besoin d’faire de dessin du premier mois à décembre
j’ai des classes à descendre, selon la masse d’imbéciles : des tracks et des phases indécentes
t’inquiète, ils la ferment quand, sur l’beat, le gaillard frappe
j’rappe sur du dirty et c’est mes ennemis qui passent à la trappe
[refrain]
welcome to my hood, derrière le bif’, l’escale accourt
pas là pour parler d’caillasses ou kalach’, kalach’ lourdes
dès l’premier quart-temps, lyrics fat et pas tendres
quoi, c’est navrant ? attends, j’t’en d’mandais pas tant

[pont]
où sont mes gars ? ouais ! où sont mes gars ? ouais
où sont mes gars ? oui… où sont mes gars ? présent…
où sont… où sont mes gars ?
hmm… euh, ok…

[couplet 2]
j’avance sans mes gars ou avec, je n’ai pas de grosse équipe, non, je vais pas vous la mettre
pas besoin de venir à dix mille pour s’froisser la tête ; champion du monde : ça, faut l’admettre
j’taffe la tech’ pour qu’les gars bougent la tête, ils rappent tous comme kaaris sur la trap, c’est lasse-dég’
le rap s’amuse, on m’invite pas à la fête, pas d’porte ouverte donc j’ai cassé la f’nêtre
ca-ca-ca-cassé la f’nêtre, qu’à c’la n’tienne, charge, j’attaque net
[?] mon rap à base de fat line, pas d’blabla, j’m’adapte mais j’t’avoue, là, mec
j’vais pas kicker pour rien éperdument et perdre du temps avec des mc
qui parlent de c’qui m’répugne le plus clair du temps, j’ai plus de flow qu’eux même en éternuant
a-a-atchoum, ils n’ont vraiment pas d’choune, faites place pour l’casse-couille
quand j’clash, boom, en compétition, les gars, j’goume, j’casse tout, j’veux plus de victoires que [?]
et, là, j’tourne, la rime en [?], là, j’commence [?]
non, j’lâche trop d’flow, ma tech’ renvoie ces rappeurs chercher du taf dans les pages jaunes
passons ces [?], des mythos finis parlant que d’bastons et d’keufs
rabaissent la femme, ingrats sont ces reufs, f-ck ta misogynie, beaucoup d’mes gars sont des meufs
où sont mes gars ? nulle part et partout et, refré, dis-toi
qu’t’as pu t’sentir visé mais y’a qu’la mpc ici qu’est montrée du doigt
[refrain]
welcome to my hood, derrière le bif’, l’escale accourt
pas là pour parler d’caillasses ou kalach’, kalach’ lourdes
dès l’premier quart-temps, lyrics fat et pas tendres
quoi, c’est navrant ? attends, j’t’en d’mandais pas tant

- res turner

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