letra de freestyle session - poetiq & mcee davinci
[verse 1: poetiq]
i see a lot of n-gg-s stealing my flow
before i came in game
blow up and show up, you should give me applause
tell me who f-ck with the douchebags, i’m dragging a new flag
not a peace sign shit, i’ve paid enough cause i’m too black
i’m black as a durag
that’s what they saying
that’s what they claiming on the tv screen even on sunday
f-ck that shit, i thought that was a jesus day
now i can see it clearer that’s why i pull out the trigger
let this rage out
let this rage out
tell a motherf-cker bow down, do not lock my shit out
i’m about this, og rap tricks plus my own sk!lls
raised of 50cent , rnb wasn’t has been
what’s going on ?
everybody just going crazy, taking selfies all the time
man that’s a hobbit
don’t get upset, live your life
don’t be afraid, of the society
hide your spirit and be the man
[verse 2: poetiq]
being broke is not a option
somehow the mirror told me you gon’ need reaction
embrace the game and stop making all for the fame
unless you get checks cause you be rapping insane
not doing the same
like this n-gg-s
like this rappers
rhyming on that trap shit, forgetting the legacy and pac’s hit
when i say pac i mean 2pac, of course i got a dream like martin luther king
and i believe my mamma
raised me the best way, in a nice place, no ashtray in pap’s place
but i be getting lit on the sofa, burning spliff like i’m sosa
you know what i’m saying, take another hit to the head and
blow sum
[verse 3: mcee davinci]
je ne vise plus le suicide, je suscite le succès
j’use de ma rime comme carabine, je touche dans le mille quel succès
mais qui est ce marginal?
ce flow est-il bien provincial?
caresse nos joues d’un froid glacial, amène la paix à toutes ces âmes
place à la 1ère personne, davinci le leader
pause!
je crois que the don me bipe sur mon biper
je finis ma liqueur et partie de flipper
je rallume un blunt et fait preuve de vigueur
j’appelle une pét-sse rencontré de peu sur tinder
dépose moi à la gare, fais vite je suis pas d’humeur
merde, elle me prend la tête telle une putain de tumeur
plus chiant que ça tu meurs, j’suis pas loin de devenir tueur
ok ok c’est cool, j’suis pas cool cette fois-ci
ok ok ça roule, dépose moi vers roissy
ok ok c’est cool, on se rappelle c’est promis
elle sait que j’suis qu’un tho-my
je suis pas ses compromis
j’vois des flashs, des pauses
des icônes et fausses causes
yo j’allume mon gare-ci, le davinci s’impose
interview pour la presse, j’vais surtout pas hésiter
le journaliste m’agresse, finit par me féliciter
[verse 4: mcee davinci]
nos vies sont tracées, suis ma voix sur le pavé
j’me laisserai pas entraver, mais ne me laisse pas m’égarer
mais choix ne sont pas les bons, souvent je me comporte comme un con
je me doute bien que c’est le comble, en proie à mon côté sombre
mes frères, mes sœurs, mes alliés, ne me laissez pas divaguer
dériver vers l’absurde, nager ou je n’ai pas pied
je marche aveugler, pensant que mes idées sont les bonnes
j’aimerais que l’on me retienne car trop souvent je déconne
borné oui je déconne, faites vite rappelez moi à l’ordre
je me bats contre moi même et ne suis plus aucune norme
égoïste, égocentrique me définis -ssez bien
je m’isole et réfléchis, j’aimerai être présent pour les miens
je parle trop, merde il faut plutôt des actes
c’est pas faute de le dire mais où me mèneront tous ces tracks
je ne fais qu’écrire, rêver et idéaliser en attendant que le bonheur vienne
je vois l’espoir arrivé
[verse 5: mcee davinci]
ok, surp-sses les instincts primaires
rien avoir avec ces primates
leurs sons lèg, sans thème sont duèg
il y a de quoi me laisser des stigmates
mystique mais je demeure sain, je constate les faits, en effet
je ne fais plus d’essais mais je donne de l’effet
de travail je m’-ssomme en somme, je m’empresse de prendre les sommes
écoutes ma voix qui raisonne, savoure la clarté des consonnes
ils rêvent tous de mon prestige, leur parcours des vestiges
ils se présentent à moi et sont pris de vertiges
des sons insensés, aucune avancé
le game en léthargie gise sur le sol français
que des opportunistes maîtrisant la langue du vice
irritant si jamais tu glisses, méprisant si jamais tu risques
ils m’ont tous l-ssés, ne sachant où me placer
je vise direct les cimes, les hauteurs m’ont dép-ssé
doucement immiscé, j’ai mes fidèles initiés, j’suis le nouvel héritier
l’élu de légende, tant cité
[verse 6: poetiq]
they want me to leave but there’s nowhere to go
still looking for this place fitting perfectly the flow
this earth is a dome so who can escape?
my n-gg- mcee told me he’s ready for splitting the cake
i mean it when i say it cause all i know was already wrote
fake hugs fake thugs and stories on that
stand for the minorities and i gotta say this
keep silent if you know this, they’ll make you pay this
but that’s enough for your soul, so keep grinding for the fam
be the ceo of your own glory like jermaine cole
this is my favorite rapper and i bet you felt the influence the way i’m rapping
i got no role models and i’m here now
can somebody wake me up for the deal
man you so funny you a dummy that’s a contradiction
that’s what they say to me, i better find the clue missing
i’m on a mission, i’m in it till i past the way
reflection of the mirror telling me to keep this way
[verse 7: mcee davinci]
les négros matent de vers-tra
croient que j’ai fourré leurs sœurs
mais c’est bien dans mes projets ils ont raison d’avoir peur
ok en fait j’ai omis de retranscrire, mes vers
en fait j’ai émis des messages fluides
une bière une fusée au bec je rêve d’un avenir
serein, très calme mais je m’attends au pire
vois moi comme un ovni, j’suis sorti de nul part b-tch
ne stresses pas, putain mais restes là
ma vie un trip que tu regrettes vite
faut avoir dans les tripes où les épreuves te k!ll
bang bang résonne le tonnerre, qui s’abat sur mes terres
serait-ce un signe du ciel qui me dit de bien me tenir
nos vies sont ternes, donc on savoure les sourires
rire est un luxe dont bien souvent on se prive
triste sont nos visages rêve d’autre paysage
ma rage parcourra les ages l’héritage
poetiq- un joli switch lifté
je gère les placements, les déplacements
besoin que d’un quartant pour enculer la concu
les nerfs d’un battant, les flammes dans les yeux dans le cœur d’un manant
[verse 8: mcee davinci]
frère restes tranquille, on est bien loin de l’époque des tiges
mon esprit égaré partait en vrille la haine comme complice
c’est la merde sur terre, l’homme perdu, perdure
oui c’est dure, pour me consoler
james carter , james brown
jusqu’à pas d’heure
chéri, ne blâme pas mes silences
mon cœur panse une plaie évidente
je marche en ville, je chill
une mouvance spéciale avec des gars de confiance
les regards fusent, sur le fessier de ma muse
bordel elle est trop fresh elle abuse
elle sait faire du blé faire du bon pain
comme je la fais rêver sur mes refrains
le jour se lève les feuilles virevoltent
je m’en vais flinguer tout ce merdier, la fin du rap jeu
le game est plié, old school flow voyage en négrier
les ossements de mes ancêtres sont au fond de la mer
sa mère …
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