letra de deux frères - pnl
[couplet 1 : ademo]
on a grandi comme les princes de la ville
fous comme prince de bel-air
flow corvette, ford mustang, dans la légende
la police tue à six étoiles, à toujours se dire belek
trop gentil comme cody, sentiments dans la salle du temps
il était une fois deux frères, deux fauves, deux trous dans l’cerveau
poto, deux paires
conditionnés au fond d’un hall sur une chaise
emprisonnés, des rêves qui brisent plus d’une chaîne
esprit de gosse caché derrière le v
pris d’ambition en stagnant devant l.v
salaire de bacqueux chaque soir dans les nike
bénéf’ de la beuh qui part dans le mic’
on a grandi comme les princes de la ville
les rois du hall, dans l’ciel, pas plus d’une étoile
en face du trône, des grammes, des kil’s de peine, même dans le ben’
deux frères, deux fauves, le m
[refrain]
deux frères, deux frères, deux frères, deux frères
deux frères (m, m, m), deux frères, deux frères (m, m, m), deux frères
bat les couilles d’ces fils de pute, j’suis pas là pour être aimé, faudra t’y faire à l’idée
rien à foutre que ces catins déboîtent sur rap de merde, ou de qui t’aura validé
même plus besoin de visser de la qualité d’après vé-her
d’la force au calme, au kaïô-ken, allez c’est l’heure
[couplet 2 : n.o.s]
j’ai grandi dans le zoo, j’suivais les cris dans la jungle les pas de grand frère
papa nous a cogné tête contre tête, nous a dit : “j’veux un amour en fer
j’veux personne entre vous, même pas moi, même pas les anges de l’enfer” (les anges de l’enfer)
j’ai aimé mon frère plus que ma vie, comme me l’a appris mon père
chaque rêve, chaque cauchemar, chaque ennemi, chaque euros : partagés
et à part le nombre de cicatrices, rien ne va changer
dans le même, dans le même miroir, on s’est regardés
dans les mêmes, dans les mêmes trous noirs, on s’est égarés
quand on était pet-ts, on avait les mêmes sapes, plus grands, les mêmes armes
même niaks, même terrain, igo, les mêmes schlags
jamais les mêmes femmes : moi, c’était les belles blondes
lui les vénézuéliennes, moi dehors, lui qui tombe
rien ne nous sépar’ra, même pas nos b-tchs
tout c’que je prends, j’te le donne, un peu comme ma vie
y’a qu’toi qui sais c’que je vis, que moi qui sais c’que tu vis
on s’est dit, c’est l’heure d’les baiser si on fusionnait, chi
[refrain]
deux frères, deux frères, deux frères, deux frères
deux frères (m, m, m), deux frères, deux frères (m, m, m), deux frères
bat les couilles d’ces fils de pute, j’suis pas là pour être aimé, faudra t’y faire à l’idée
rien à foutre que ces catins déboîtent sur rap de merde, ou de qui t’aura validé
même plus besoin de visser de la qualité d’après vé-her
d’la force au calme, au kaïô-ken, allez c’est l’heure
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