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letra de haterville - pmpdj

[entek]
je crache sur ta corvette, le corps mec de ta femme juste h.s
ma kalash’ dans la chatte, hardcore s-x
orchestre mes attaques et mes balles pour que ta mort reste
au sommet de mon art et que retentisse la grosse caisse
grosse frappe qui t’arrache la bouche mets des prothèses
ma colère me rends fou et j’prends des coups et je les protège
c’est moi le prophète, pet-t blagueur t’as des grosses fesses
t’es pas dans le game, alors dégage et laisse les pros faire
t’oses faire le faux toaster qu’il faut tester, t’as fauté
tu prends le roadster, t’as trop jacté
et là, j’ai l’air moqueur il faut raquer
à toi l’honneur, fair-play j’suis devant je te laisse p-sser

[starlion]:
ici les langues se délient, oui les gens sont pénibles
tension aigrie, mes prétentions débiles
j’écris des chansons délires car les temps sont terribles
je sens qu’on m’épie quand nous dansons chérie
le grand co-hérite, l’élite sent bon terry
d’autres aux champs périssent pour le deux cent des riches
canson épique je veux la rançon
tu ternis ton intégrité par un mensonge et mytho
peu sont bénis, [plan son bernie??], mention merdique, pension zer-mi
torsion-hernie, scorpion-[et-oui??], délibère mineur puis les [yo-vermine??]
guet à pens ton vélib’, trace des haters, des ici les jeunes sont terry, tomasi, perry
les ieuv’ sont séniles, mec et tout ton génie
j’suis le nouveau ervy, t’es la nouvelle purk

[grems] :
h-llo les sales gwers, tous en penfield
pendant que d’autres galèrent pour des chesterfield
le salaire de la mère pour le meilleur fils, l’intellectuel
moi je leur pète leur pifs, leur enlève leurs bifs
leur baise leurs meufs, même leurs soeur disent que j’ai la meilleur bite
j’aime leurs seufs, tête leur t-ts, lèche leurs teuch pendant seize heure dix
il est qu’seize heure six, tu joues les testeurs mais t’es qu’un skater qui vient de haterville
be-verly-hills, c’est leur style d’être nerd, belle gueule avec les meilleurs tifs
dégueulis de père en fils, on leur fait leur lit
on leur lave leur sapes, hop après l’artiste
on leur paye l’archi et toi paye leur smic
excès de zèle et mais ouais zeubi! t’es de-spee
c’est que c’est le speed ou la c0ke que tu payes keus dix
bien plus ! qu’est-ce que je dis, mes ler-dea te refont l’-n-s
et leur victimes, c’est leurs filets t’es né avec mickey, j’suis un seigneur sith
fils de droite, c’est leur vie :
juger les gens aux shoes et au meilleur jean
waouh, c’est dirty ! ça m’écœure, oui, me donne l’envie des les shooter avec un desert eagle (paw!)
pose leur team qui vaut un centime, c’est un c-cktail fait avec un shaker vide
cap-ferret, arcachon, pet-te mèche avec un air de fille
j’baise vos mères, brûle vos châteaux
je ne fais pas de cadeaux, j’suis un mec de street de street
crois le contraire, je te laisse le dire
trop de fausses cailleras, j’suis un père j’veux te dire
un humain et je ne le sais qu’depuis
je m’enferme dans la verte, les rêves et le papersneal

[entek]:
vas y mim, t’es chaud pour balancer un seize ou quoi ?
ouais, sisi

[instrumental]

hater, hater, ha-hater, bienvenue à haterville ! (x2)

- pmpdj

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