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letra de cauchemar - pistol bronson

[paroles de ‘’cauchemar’’]

[couplet unique]
j’ai du vrai sirops mais aux p’tits j’leurs vends du frucci
c’est pour acheter des armes, bats-les couilles d’un ensemble gucci
deux aiguilles: une pour planter, une pour écrire un poème
il fait que d’me zieuter, wesh poto c’est quoi ton problème?
j’aime tellement la codéine, j’pourrais la boire à la paille
dehors j’suis jamais inquiet, j’ai un 45 à ma taille
j’ai pas de temps à perdre, je bouge qu’avec précision
si il est pas mort revient pas, c’est pas ça la mission
vrai négro je suis à propos de mon business
c’est un marathon dit-moi pourquoi ils mettent tous des vitesses?
si l’argent ça t’rends jaloux, t’as jamais été mon poto
on fait du fric dans la rue et ces bouffons prennent des photos
pas besoin qu’tu sois un opps pour te faire allumer, moi j’suis aussi chaud qu’mon fer, j’ai pas attendu l’été
elle veut pas d’moi à c’qu’il paraît, j’suis un peu trop toxique
tout ça parce que j’ai des armes et q’j’aime braquer les grossistes
un chauffeur et un tireur pour te fumer on sera deux
j’serais mort depuis longtemps si j’avais compter sur eux
le rap c’est comme ta soeur, j’veux juste le mettre à 4 pattes
trente fois l’salaire de ton père si demain j’vends toutes mes sapes
si j’veux t’envoyer sous terre y a juste besoin d’un coup d’fil
balles dans la tête, tu t’éteins, j’crois qu’le négro a plus d’piles
tout seul dehors comme un fantôme, ils ont jamais connus l’terrain
deux, trois contrats sur ma tête mais j’ai toujours été serein
y a toute la dope à vendre, négro obligé qu’on tartine
le pharmacien d’mon quartier m’appelle: « monsieur.codéine »
ils s’neutralisent tous entre eux, ces salopes n’ont pas d’éthique
moi si demain je perce, j’vais manger avec mon équipe
voiture péta, makarov, j’laisse un négro dans l’fossé
dans la rue j’suis un bigboss, renseigne toi sur mon dossier
posséder un calibre gros ça résout tout les soucis, j’t’allume ta mère la pute, ça pète partout comme une batterie
regarde moi bien dans les yeux si tu veux voir la faucheuse
380, opinel et balles à têtes creuses
maman pleure tout les soirs quand elle pense à tout c’que j’fais
j’essaye de faire de mon mieux mais ton fils n’est pas parfait
obligé d’les allumer sinon j’peux pas faire mon deuil
négro j’avais que 13 ans, j’ai vus mon frère dans un cercueil
cette pute fait que d’me parler, j’lui répond que des: « vas-y »
j’ai vécu des trucs de oufs, j’peux pas t’raconter ma vie
regarde aux fonds d’mes pupilles, vois que j’suis maudit comme la peste
négro me parle pas d’famille mon propre daron m’déteste

[outro]
bronson est perturbé, dans son cerveaux c’est: nuit noire
putain j’aime trop la musique donc j’sors avec une guitare
maman me voit comme une rose mais elle sait que j’ai des épines
j’peux pas faire de prise de sang, dans mes veines y a que d’la lean
aucunes sirènes peut m’charmer, négro j’me sens comme homère
tu peux m’appeler paquetá, tous les jours sur le corner
j’donne pas d’attention aux meufs, j’ai déjà perdu mon temps
tu peux m’amener 10 millions, je serais jamais content
tu peux m’ramener ton équipe, moi y a personne qui m’fais peur
on allumait des gens gros, nous prends pas pour des sapeurs

ok, ok, ok
pistol bronson dans cette pute encore une fois, tu sais très bien c’qui s’passe
on s’retrouve, j’suis pas parti bien longtemps, gvng!

- pistol bronson

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