a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de raf - pers

[refrain]
ils rêvent que d’papel
ils répètent que c’est l’nerf de la guerre
raf raf raf moi je rêve juste que j’reste moi-même
voir le monde en tout petit
je n’me soucie plus de ces bullsh-ts
raf raf raf je n’me soucie plus de ces bullsh-ts

[couplet 1]
me demande pas comment c’est j’ai jamais su dire
enfoncer les portes avec ou sans le cheval d’ulysse
c’est soit t’attaques ou bien tu subis
faut les rubis pour arrêter de trop ruminer peut-être même se passer du sh-t
pas de manières on reste entiers
y’a une différence entre la vida loca et la vie de rentier
donc on reste concentrés pas l’droit de se planter
si le plan a foire y’a pas de plan b
énigmatique dans mes propos j’suis pas une machine ni un robot
fais briller ma clique sous le feu des projos
on aime ni les filles faciles ni les histoires à l’eau d’rose
high comme un satellite dans le cosmos
mais comment dire à mon dealer que je rêvais d’autre chose
bien sûr que j’souris sur les photos
mais le sang est gelé comme celui des crocos
khapta le week end, la semaine
pas de distinction, j’me libère, je m’y perds
le résultat restera le même
état second mais y’a pas de ‘blème
j’me sens mieux, trop de lucidité, ça me gêne
j’ai visé en plein dans le mille à l’aveuglette
mais elle aime trop faire la rebelle
[refrain]
ils rêvent que d’papel
ils répètent que c’est l’nerf de la guerre
raf raf raf moi je rêve juste que j’reste moi-même
voir le monde en tout petit
je n’me soucie plus de ces bullsh-ts
raf raf raf je n’me soucie plus de ces bullsh-ts

[couplet 2]
j’voudrais filer comme une étoile dans le ciel
m’éclipser quelques siècles
juste le temps d’une sieste
j’m’en suis fait des films mais y’a jamais d’happy end
peu importe la sirène je me noie comme si un jour je serai sienne
chaque jour que dieu fait j’mets du coeur dans mes dièses
une quichta ça part à meuda ou à bx
j’ai pris mon courage à deux mains comme un ambidextre
la réponse est personne si tu t’es demandé qui est-ce
j’fais des tours de ville, de jour, de nuit
épouse le vice, quand j’aime plus la vie et ses courbes lisses
j’ai rien à foutre que tu coures plus vite, moi je ne cours plus
surtout si c’est pour du biff
la vie un court supplice un mauvais move tu glisses
ramène ton booty, que je t’offre un round unique
ma belle, tu es tout c’que j’ai à perdre ce soir
chaud comme la braise, tout pour l’amour du risque

- pers

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