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letra de ecole de la vie - pegamax

couplet 1

section 11.13 on visait l’or, on restait à l’aise
ici pas de médaille de bronze, on monte sur tous les dièses
je ne suis pas matérialiste pour un sou
tire sur le levier comme une machine a sou
le liquide sortira, t’empochera le pactole
je te tire dessus le buffet chargé d’éthanol
mais ne fais pas le mariol, ne te paie pas ma fiole
le visage défiguré, tu joueras moins le s-x-symbol
ne me case pas dans un tableau, je suis hors contexte
je sais que j’ai des défauts mais pas de complexe
j’ai tellement de cernes frères qu’elles me servent de hamac les soirs de galère
je me suis toujours relevé même quand je suis tombé plus bas que terre
toujours vainqueur, la rage au coeur
de par mes insomnies, j’ai le double de mon âge, une calivitie
traits tirés, cheveux blancs comme si j’avais déjà 40 ans

refrain

l’école de la vie te vire sans préavis
les coups que j’ai pris m’ont grave endurcit
mes origines font que la puissance coule dans mon sang
moitié breton, moitié gitan
appelles moi tonton et restes ti-gen

couplet 2

mon casier est dépucellé, depuis que je l’ai rempli
j’ai engrossé la république dans son lit
ce n’est pas pour autant que je l’aime ce système
j’ai pris plaisir à me sortir de tous ces problèmes
j’ai jouit et en jouit encore à l’idée, de l’avoir baisé
sans cesse elle a voulue me matraqué, c’était huissier sur huissier
on a reçu des coups de bâtons qui nous ont endurcit
ils nous parlent de démocratie, je parlerai plutôt de voyoucratie
nous font p-sser pour des délinquants mais qui commet le plus de délits ?
alors on a préféré utilisé notre cerveau, pour toucher le gros lot
j’ai perdu un millions de neurones pour un million d’euros
j’ai fait fumé mon cerveau pour atteindre le trône
chez moi pas de moll-ssonne, près de moi que des amazones
désormais c’est comme çà que je me vois
j’aime fumer tranquillement mon double corona, entouré de plusieurs nanas
dans mon cigare un peu de canna pour atteindre le nirvana

refrain

couplet 3

je te guillotine la tête comme un cigare avant de te griller
a force de rêver de billets de 500, de billets violets
je ne dors plus et acc-mule des cernes de la même couleur
ecole de la vie, j’étais toujours en r-t-rd sur mon bonheur
mais toujours en avance sur les leçons qu’elle avait à me donner
si un jour j’obtiens le succès il sera bien mérité
avant de baisé le tempo, j’ai toujours vécu à un rythme de baisé
je rêve de pesé comme rozay, de me faire griller sous les palmiers
sans cesse défoncé, je suis le rappeur des junkee, défoncé de midi à minuit
carpe diem c’est bien avant le cadran solaire que je l’ai apprit
ecole de la vie, école de la rue, je suis le rappeur des drogués
et pas seulement de la rue mais tous ceux qui en sont touchés
pour tous ceux qui frôlent parfois la mort, pour mieux kiffer la vie
ceux qui ont un mal-être quotidien, un tas de rêves non -ssouvis
chaque jour en survie, marre de manger des pâtes ou du riz
en espérant un jour voir, sur ma table du homard ou un peu de caviar

- pegamax

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