letra de training day - oumar
_ quoi?
_ et j’espérais la justice
_ c’est pas ça la justice?
_ non, c’est la justice de la rue
_ moi, j’vois pas la différence
_ ah! alors, on les laisse s’étriper comme des bêtes sauvages?
_ ouais! amen! j’les emmerde, eux et tous leurs semblables
_ c’est pas vrai!
_ malheureus-m-nt, ça marche pas comme ça
c’est les gentils qui meurent les premiers:
lycéens, mères, les pères de famille
et ils veulent pas s’choper une balle perdue
pour protéger les brebis, il faut qu’on arrête le loup,
et il faut être un loup pour arrêter un loup!
le jour de gloire n’arrivera pas,
tous les enfants terribles sont de la partie
j’suis le blues du quartier sur la batterie
malfrat de l’harmonie sur un bad trip
ça tire au pied du block,
toujours debout, j’ai le majeur en l’air pour faire la ola
f-ck le président, son portrait craché: un gros mollah
j’suis à la page sans virgule et sans couleur
muet, car le diable à la voix d’un crooner
j’fais des rêves apocalyptiques, à toute heure
pas b’soin d’prendre d’élan pour faire des sauts d’humeur
j’suis pas bling-bling, j’reflète la noirceur du monde
j’suis shaka zulu contre monsieur drummond
survole le rap sur un surf d’argent,
sur terre, y’a que dieu qui nous surplombe
j’fais la b.o d’ceux qui saignent la détresse
mais, y’a bout du tunnel derrière fumée épaisse
raconte pas d’histoires tirées par les tresses
j’viens d’un contient qui ne sert plus les fesses
j’ai trop la dalle, le sommet la pression
on manque d’air pur, à l’heure de la récession
coup d’crosse, coup d’crosse, coup d’crosse, coup d’crosse
prends l’mal à la racine de l’agression
en fitting dans l’obscurité, je reviens de mon training day
pompes, tractions,
rap, effractions,
sale est l’action
tous les tuer, c’est bien ça l’idée
on craint pas l’pire, on a grandi avec,
c’qui nous a balafré a fait nos trophées
j’reviens du hood, on m’a dit: “tue les tous! “,
alors j’garde le mort, même dans les bras de morphée
si j’meurs de faim,
nourris les durs pour que tous ces porcs ne crèvent pas d’obésité
les lions ne pactisent pas avec les
hommes, tue l’ennemi au zénith de sa férocité
la frappe est colossale, on vise l’état
j’ai d’l’aplomb, mon nom d’famille c’est colonna
comme un boomerang,
venu récupérer mon dû, j’suis l’retour de la violence coloniale
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