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letra de les hommes viennent de mars, les femmes viennent de vénus - oub

introduction :

j’ai perdu trop de temps, là il est temps d’s’y mettre
dans mon odyssée j’ai rencontré tant de chimères
je pense à sauter du pont, déçu des gens, j’ai pas le temps de chiner
y a pas 36 solutions quand je suis à 36 mètres

couplet unique :

je pense à m’abandonner, très tôt j’ai appris que la folie tue
en vérité je suis plus si seul dans ma solitude
je suis pas le plus à plaindre
qui sait quand je le serais
je deviendrais peut-être le plus indulgent?
est-ce que je suis pas déjà le plus indulgent?
au point de pardonner des crasses, me relever des crashs
recevoir des crachats, moi je fais rien à part donner des grâces
je recule de dix pas pour avancer d’un
peur ou précaution?
je me demande comment je faisais avant ce don?
oh! et de quel don je parle?
je fais que me plaindre de cas odieux en mélodie
j’ai réussi à me dire que c’était un cadeau de dieu
et je me pourri à tout calculer, je me dis que c’est un atout
mais ça rend fou de vouloir dénicher des cohérences à tout
j’ai fait 6 pas, je suis fou et dépressif
je joue pas avec les mots je suis juste hyper précis
j’ai fait 6 pas, je suis fou et dépressif
je joue pas avec les mots je suis juste hyper précis
et t’apprécie pas
…

je suis souvent maladroit et souvent t’es blessé
les miettes suffisent à personne
je me faisais du mal en te blessant car tes plaies c’est les miennes
mais c’est tout ce que je peux offrir
j’ai honte et tu le vois à ma tête baissée
je sais que tu souffre, mais je compatis moins à force d’être blessé
tu continues de te cacher, à te gâcher encore encore
un corps encours jamais autant de peine que peut un cœur
encore heureux sinon je serai mort vite
ce qu’on se remémore vide l’esprit le temps d’un instant
mais l’instant devient morbide
devant moi, je dis “salut démon! il a fallu des mots”
je protège les miens, parfois il en va même du salut des mômes
la course aux sous, l’art est mort, et moi je suis seul à ramer
là les gyros du samu démarre car un saoulard est mort
et je pense à toi, je suis un passionné pas si honnête
conditionné, les mots sillonnaient dans l’émotionnel
faut que je prenne le large, seul dans le déluge
les hommes viennent de mars et les femmes viennent de vénus

refrain :

faut que je prenne le large, je sais que je suis pas l’élu
les hommes viennent de mars et les femmes viennent de venus
faut que je prenne le large, seul dans le déluge
les hommes viennent de mars et les femmes viennent de venus
les hommes viennent de mars et les femmes viennent de venus
les hommes viennent de mars et les femmes viennent de venus
les hommes viennent de mars et les femmes viennent de venus
les hommes viennent de mars et les femmes viennent de venus

- oub

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