letra de medley - opk
j’aime pas les gendarmes j’suis légendaire comme sourcelame, de source sur les gens ont tort quand ils s’alarment
salam a l’ermite qui a l’air vite, blême et bien triste quand il n’est plus a l’air libre
vivre sans envie même cent vie est inutile, le sans vie envie celui qui vie pour le suicide
être vide de tout du vice et tout ses doutes, peu importe la date fils il faut que tu m’écoute
malgré le temps qui s’écourte et la vie qui s’écoule, faut bien garder ses cartes, j’ai mon avis c’est cool
pas pour son boul perso j’vais trouver une épouse, pour pas finir en épave et pour qu’enfin j’éprouve
des sentiments et que j’avance avec elle gentillement, sans centime nan c’est possible j’espère dorénavant
oui c’est navrant on plus besoin d’enivrer, plus besoin d’endurer juste de donner la monnaie
le mot d’ordre est donné a la mode d’être d-mné, cond-mné d’y -ssister poto d’année en année
mais allez faut résister qu’on puisse dire qu’c’est du p-ssé, qu’on apprenne a nos jeunes filles qu’être une trainée c’est dép-ssé
pont: je monte et je plonge le monde qui tombe, quitte a plomber puis rester a l’ombre, sans plan b fini l’innocence je fonce, pour ma défense c’est bien plus que la défonce, je monte et je plonge le monde qui tombe, quitte a plomber puis rester a l’ombre, jeune sombre et semblant s’en aller loin du songe, mais sache que sans elle la vraie vie me ronge –
oui c’est vrai dans mes textes ça parle de maille, de s-xe de pute d’enjaille mais surtout de c’qui m’fait mal
qui est al pour m’aider a c’que ca aille, mieux et que j’m’en aille loin des envieux qui m’ -ssaille
j’essaye d’être a la taille éviter l’asile, pour visiter l’asie et prendre pied dans les îles
plus qu’alcoolique disons que l’alcool est collant, tout façon j’prend pas l’volant j’laisse ça a mes acolytes
dans mes zics tu peux me voir racontant, que c’qui m’rend content c’est seulement les narcotiques
atypique c’est bien l’cas mais c’est pas volontaire, manque la volonté de fer pour devenir un gars typique
la routine est décevante comment vanter ses mérites, j’ai fini de rêver j’le méritais mais ça m’irrite
le giserai du bonheur que j’visais est épuisé, et puis c’est qula vie n’est pas aussi belle qu’on l’disait
pont: je monte et je plonge le monde qui tombe, quitte a plomber puis rester a l’ombre, sans plan b fini l’innocence je fonce, pour ma défense c’est bien plus que la défonce, je monte et je plonge le monde qui tombe, quitte a plomber puis rester a l’ombre, jeune sombre et semblant s’en aller loin du songe, mais sache que sans elle la vraie vie me ronge –
opak jeune blanc pur produit du métissage, el badja c’est la case de la casbah aux vieux sages
et sache que dans mon sang coule la fierté d’mes ancêtres, autant de ceux d’auvergne que ceux d’ouled djellal
au bled ils crèvent la dalle nous on gaspille la maille, ici on s’bute au sky on s’plaint juste parce qu’il caille
c-ssded a mes débrouillards de bab el oued à poudlard, qui font des vrais bails ´vec peu d’chose même quand les soss partent
les hommes parlent les larmes perlées coulent sur nos joues, couz y a trop d’lames planquées qui en pleine nuit voient le jour
j’vis difficilement depuis la mort de l’amour, marqué a vie marre des détours maintenant j’vois tout différemment
ma mère c’est la meilleur et même la meilleur des femmes, ne saura prendre la place qu’elle occupe dans mon cœur
bref j’cours vers le bonheur c’batard m’a déjà distancé, j’fais un disque a l’ancienne l’étendard levé par honneur
pont: je monte et je plonge le monde qui tombe, quitte a plomber puis rester a l’ombre, sans plan b fini l’innocence je fonce, pour ma défense c’est bien plus que la défonce, je monte et je plonge le monde qui tombe, quitte a plomber puis rester a l’ombre, jeune sombre et semblant s’en aller loin du songe, mais sache que sans elle la vraie vie me ronge –
j’bosse a la base mon rap ´vec des techniques de barges, grosse b-sse pas d’buz bête de bon son dans la place
en plus c’est pire que ac j’p-sse mieux qu’la vodka russe, qu’les putes de luxes qui zonent en bas prêtent a t’sucer sous l’abri bus
bref pressé j’réitère efficace tah l’effet d’serre, t’es sourd ou quoi sers moi ce verre vois tu j’ai soif est-ce que c’est claire
les yeux plissés fils éclipse toi applaudis mon placement, apprécie mon p-ss-m-nt d’jambe et files la victoire
les filles l’soir sois en sur font défiler les histoires, austère et ivre car les blessures cicatrisent pas
mais trique pas non j’suis toujours pas fini, au final j’suis comme freddy j’vis dans mes rêves pendant la nuit
j’ai la vision tertiaire la visière en tension, j’suis derrière attention sens la notion d’adversaire
j’ai l’sang café au lait le son coupé au vrai, j’rap même si c’est chaud d’c’la péter sans cabriolet
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