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letra de haq - ninho & niska

[paroles de “haq”]

[intro : tags]
lilmayn on the track
ofzecross

[couplet 1 : niska]
c’est noir, c’est tendu (tendu), faut niquer tous ces vendus, qui ont la bouche (bouche)
charo, la bague est coffrée (coffrée), daronne mis à l’abri (oui)
il aurait pas du donner des noms, c’était de trop (la famille, hey)
mmh, ça sent le roro, f-ck le bronze (f-ck)
et me pousse pas, là j’suis dans mon haq (mon haq), la meilleure défense c’est l’attaque
elle est broke, j’ai sorti la carte (black), commission, j’ai du changer les plaques
on a jamais rappé ce qu’on a pas fait (jamais), mon oseillе n’a pas que des bienfaits (non)
ça attirе les vampires, j’suis comme buffy (buffy), buffy, buffy, buffy
oui, on aime quand ça rapporte, six heures dix, ils ont cassé la porte (la porte)
ils ont même menotté les daronnes dans l’appart’, c’est dead, j’vais tourner encore (merde)
charo ne s’arrête jamais, à part cinq fois quand j’fais la salat (amen) eh, c’est un truc de malade

[refrain : niska, ninho, ensemble]
london, paris, meuda, j’peux pas m’empêcher d’faire du papel tous les jours (j’peux pas m’empêcher d’faire du papel, j’en fais tous les jours)
rolex, audemars, chopard mais je sais qu’ils s’réjouiront si j’échoue (j’sais qu’ils se réjouiront si j’bé-tom mais bon rien à foutre)
rio, meuda, meuda, rotter’, doha, trois-quatre féfé dans la cours (trois-quatre féfé, trois-quatre lambo’, trois-quatre benzo, merde)
17 heures sur 24, on fait rentrer, ça depuis l’époque du four (mmh, frérot, t’inquiète même pas)

[couplet 2 : ninho]
faut que les briques s’entassent (oh oui), en dinars, en pesetas, en euros y a beaucoup d’puces (des puces)
j’les visser et puis j’la casse (j’la casse), un jogging à vingt dollars mais j’suis dans une méchante caisse (black)
dans l’ice, comme jadakiss, yellow tout comme ma cons’
parle-moi de [?], fais pas l’dingo, 800k dans les sacs, c’est bingo
j’sors la guitare, j’reviens en biggie et j’crie “benga wow” comme big nas (benga wow)
j’m’envoie en week-end là où tu réserves pour la noce, b-tch, c’est ça l’train de vie d’un boss
putain, c’était les pompiers pas les condés, j’ai stressé pour rien (stressé pour rien)
j’suis un peu quillé, dis-moi, en trois semaines ça touche combien ?
y a le marron, la vela white, y a même la grise, les terrains d’hasch’ (hasch’)
[?], le fiston dort dans l’avenue foch
[refrain : niska, ninho, ensemble]
london, paris, meuda, j’peux pas m’empêcher d’faire du papel tous les jours (j’peux pas m’empêcher d’faire du papel, j’en fais tous les jours)
rolex, audemars, chopard mais je sais qu’ils s’réjouiront si j’échoue (j’sais qu’ils se réjouiront si j’bé-tom mais bon rien à foutre)
rio, meuda, meuda, rotter’, doha, trois-quatre féfé dans la cours (trois-quatre féfé, trois-quatre lambo’, trois-quatre benzo, merde)
17 heures sur 24, on fait rentrer, ça depuis l’époque du four (mmh, frérot, t’inquiète même pas)

- ninho niska

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