a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

letra de bières et chocolat - nedelko

[intro]
gronde le tonnerre, s’offusque le ciel et tombe la pluie
ainsi pourrai-je te retenir
que le tonnerre ne résonne ou qu’il ne pleuve
je reste rien si tu me retiens
gronde le tonnerre, s’offusque le ciel et tombe la pluie
ainsi pourrai-je te retenir
que le tonnerre ne résonne ou qu’il ne pleuve
je reste rien si tu me retiens

[couplet 1]
rongé par les sentiments d’amour moderne anthropophage
je fanfaronne devant l’ange dont je suis encore l’otage
y a pas d’jauge à la souffrance, pourrais m’noyer dans d’l’eau potable
les seuls saveurs que je sens sont celles de bières et de chocolat

micro-onde et aluminium, sang dans la bouche au pet-t matin
elle est toute seule, elle est mignonne, j’fais semblant de me sentir atteint
y a plus que les saveurs douces-amères, rien à gagner, tout à perdre
même si on sait pas on ça mène on peut s’voir maintenant ou après
tout seul dans mon terabithia j’en viens à prier pour la pluie
part pas tout de suite, te rhabilles pas, on pourrait parler toute la nuit
le ciel était plus proche quand moi j’étais plus pet-t
j’ai pas besoin de redevenir mioche, j’ai pas besoin d’une autre b-tch

[refrain]
j’pourrais me noyer dans d’l’eau potable
j’sens plus que la bière et le chocolat
cette ange j’en suis encore l’otage
s’emmêlent des cœurs anthropophage
j’pourrais me noyer dans d’l’eau potable
j’sens plus que la bière et le chocolat
cette ange j’en suis encore l’otage
s’emmêlent des cœurs anthropophage

[couplet 2]
t’as vu comment tu m’échappes dans la rue
j’enlève tout le mal que j’chope dans ta gorge
j’hallucine de voir mes potes en calbut
là c’est moi ou bien tu t’éloignes quand j’approche
maintenant j’ai arrêté et j’espère – qu’ça va pas durer
chacun on attend les éclairs – comme si c’était naturel
j’ai tellement changé depuis cinq ans mais j’ai pas l’impression d’être mieux
t’en as plein dans le ventre mais tu parles jamais, t’as pas l’impression d’être creuse ?
j’ai menti à l’empyrée en invoquant un autre dessein
mes mots mercantiles je les ai transpiré, mais rester c’était trop restreint

- nedelko

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