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letra de toujours dans nos pensés - michel pussot

[intro]
shewé, michel pussot feat m.c rialkiler…
represente le 75…

[couplet 1]
trop de souvenirs dans ma tête se choquent, et s’entrechoquent, comme du chocolat, des souvenirs pas loufoques mais réciproques comme un phoque qui cloque une cloque
je me rappelle que quand on marchait dans la rue, tu étais belle comme une grue !
on allait à la fontaine stravinsky, faire du foot avec tousse mes amis
tu te moquais de moi parce que bah j’étais nul au foot, mais après on s’embr-ssait coute que coute, bout à boute
on cotoyait la place baudoyer, on s’achetait des canettes à 80 centimes mais pas moi car je préférais
aller au franprix m’acheter du cola leader price, à 70 centimes le litre et demi c’est trop la cl-sse !
on buvait dans la même bouteille c’était vraiment sensuel ! ouais aussi sensuel que le dernier son de patrick bruel !
tu me disais que t’en avais marre d’être pucelle, et moi je cherchais la definition de c’mot dans le besherelle, pourtant t’étais tellement belle, et tu disais vouloir gouter à ma beschamelle, mais en cuisine j’suis une brelle !
tu étais belle comme une vitre teintée, on voulait partir loin, avoir la vie d’tintin
la première fois quand t’as enlevé ton t-shirt, pour me montrer ton vieux tatouage
c’est là que tes s.. ton cœur m’a attiré
tu avais des lolos comme jessica rabit, je suis sur que tu voulais ma bi…. visite, tous les jours, pour te dire salut mon amour !
je t’envoyais des smileys de coeur par sms et texto, et facebook snapchat msn et caetero, pour toi j’étais prêt à me réveiller très tot ! meme un dimanche matin ou un dimanche soir, dans la lumière du jour ou dans le noir !
tu as toujours été au fond de mon coeur, j’avais besoin de toi comme d’un ascensceur
mais l’amour de la vie éternelle est au dernière étage, je rêvais de nager avec toi bébé dans les nuages !
combien de fois je t’avais dit que je t’aime ? au moins des millièmes ! t’étais mon gateau j’étais ta crème, je t’écrivais des poèmes, j’faisais des dream de toi sans requiem, sur du papier p cul, j’étais in love with u !

[refrain]
on était amoureux comme roméo et julie
un garçon et un fille, un sushi et un maki
on se tenait les mains pour toute la vie
mais tout ça finit
car tout a une fin même les débuts
pourtant que tu m’aimerais forever toujours j’ai cru
en regardant des films de… kung fu !

[couplet 2]
mais on avait deux cl-sses d’écart vu que j’avais redoublé deux fois
sauf que je te voyais parler à d’autres garçons que moi des fois !
et ça me rendait jaloux, ça mettait sur mon chemin des batons de dans les roues, près d’eux tu chantais “padam padam” comme les roux, j’étais trop in love with you, j’étais ton doudou
mais ce jour-là je m’en souviendrai together, forever and even after, je t’avais appelé sur ton portable mobile cellulaire, mais j’avais tombé sur ton répondaire
tu étais une fleur jamais fade … ô jade !
mais je t’ai appelée au moins trois fois la même journée sans réponse, avant tu étais une rose avec des fleurs de canelle comme nôtre chien caramel, mais tu es devenue une ronce ! je voulais être ton prince charmant comme celui de raiponce, chuis même allé chez toi déposer une annonce
puis le lendemain tu m’as rappelé et tu m’as dit que t’avais pas vu mes appels, du haut de tes 14 piges tu commençais déjà un litige, t’avais un ton hypocrite ça m’a rapppelé quand on se roulait des pelles, jamais je ne l’oublierai tellement tu étais essentielle
au moins au tant que ma grosse paire de nike air, ou que la ceinture de mon père, mais ce jour où tu m’as proposé d’aller au quick, alors que je préfère le macdo c’était cuit… (oui c’était fini)
je t’ai dit “dis moi la vérité, tu veux rompre”, tu sais on ne fait pas d’oeuf si y a pas d’poules pour en pondre, ta réponse j’l’aie entendu vite : “tu m’pètes les couilles, j’te quitte”
c’est bon, c’est pas comme si j’avais une hépatite, j’ai même essayé de t’offrir un bijou en adamantite, et j’lai pas eu gratuite, c’était ta matière favorite, pas illicite, la marmite de l’amour a des limites, et mon coeur lévite, toi tu l’évites ! je rêvais de coït mais notre amour n’a pas eu de suite…
mais t’as raccroché j’avais esperé à jamais t’aimer mais j’ai pas trouvé la clef pour oublier je n’y suis pas arrivé, bébé je t’avais appelée, et belle je te trouvais, et à chat on jouait, de boulet les autres on traitait, magnifique tu étais !
j’essayais de te rappeler mais tu répondais jamais, mes larmes blanches comme la neige du printemps sortaient par petits jets, mais l’amour était une fausse piste, qui a rendu mon éternelle vie si triste !
je te cherchais dans la rue appercevant le bonheur inversé de la philosophie de l’idéologie de la solitude, comme dirait socrate mais je pensais à toi comme à mon habitude, mais il fallut que mon amour je rate donc j’allais m’-ssoir sur un banc et donner du pain aux canards, mais y avait pas de lacs ni de canards comme par hasard !
tu me manquais tellement, pourtant j’étais ton amant pas allemand j’habitais pas à le mans ! oh… quand te reverrais-je, quand ?

[refrain]

on était amoureux comme roméo et julie
un garçon et un fille, un sushi et un maki
on se tenait les mains pour toute la vie
mais tout ça finit
car tout a une fin même les débuts
pourtant que tu m’aimerais forever toujours j’ai cru
en regardant des films de… kung fu !

[couplet]
jade dis moi où t’es partie jade, tu devrais revenir avec moi car maintenant j’ai un ipad, à moins que tu sois partie faire le djihad
jade dis moi où t’es partie jade, dis moi qui as sucré ma place triade, moi je préfère la c-ssonade, pour que tu reviennes j’suis prêt à faire une parade, la solitude est embar-ssante comme une amb-ssade errante, reviens, jade !
je fais mon max mais j’deviens mad, , reviens m’embr-sser jade, il faut que tu m’aides, que serait jacky sans mi… euh que serait jammy sans fred ?
je te veux dans mes bras, à côté d’moi, reviens chéri, sans toi, c’est plus une vie, enfin si mais c’est beaucoup moins bien !
car si on fait pas l’action d’adoption de se revoir, attention, mon affection fonctionne comme une agglomération mon ambition c’est l’aroborisation de ton coeur, son autorisation serait une bénédiction, et en caution ma castration, la compilation de consubstantiations est une corroboration de dissémination !
reviens t’étais ma drogue dure, la solitude m’habite profondément, depuis que t’es partie la vie est dure, t’étais mon chouchou mon courtisan mon musulman mon chambellant mon korrigan mon businesse man mon suisse allemand [a plus d’air]
tu me manques trop, reviens avec moi, j’ai jamais aime personne autant que toi, et tu le vaux !

[refrain]
on était amoureux comme roméo et julie, ou toute autre comédie de will shakespear
un garçon et un fille, un sushi et un maki, t’en as connu des moins bien qu’moi j’suis pas ton ex pire
on se tenait les mains pour toute la vie, et pas de tempête
mais tout ça finit, j’vais ptêtre devenir une tapette
car tout a une fin même les débuts, et même cette chanson
pourtant que tu m’aimerais forever toujours j’ai cru, mais j’ai été trop con
de regarder des films de… kung fu, alors que j’aurais pu, regarder des films de cul… ture !

[outro]
reviens, reviens, reviens
pour que je re-vie, hein, re-vie, hein, re-vie, hein
j’suis pas villain villain villain
pas comme lex luthor dans batman
t’es dans mon coeur t’es dans mon âme

- michel pussot

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