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letra de moi même - malo

[paroles de “moi même”]

[intro]
froid comme dehors, m.l., 600 moins 5

[couplet 1]
(yeah)
je fume toujours des oints-j et j’suis toujours moi même (yeah)
mais j’essaye de m’alléger et toi tu fais quoi mec ?
si tu veux la vérité poto tu sais quoi mettre
avant de quitté ce monde, faut que je laisse une liasse qui fait 3 mètres
froid comme dehors, j’suis juste introverti
j’veux les étoiles, moi j’traîne pas trop avec ceux qu’ont le vertige
j’ai vu des gens pliés comme des canapés convertibles
j’ai pas encore dit à mon père que j’étais converti
ça c’est pas des mauvais news, je vais pas en syrie
pardonnes-moi, je trouve la paix dans les lois de cette religion si riche
j’prépare un plat d’oseille, là j’suis dans la cuisine comme cyril
faut du blé, faut que ça pète et que ça parle aux gens comme siri
là-bas ça parle beaucoup de religion sans connaissance
parce qu’ils comprennent pas la langue dans laquelle je montre ma reconnaissance
c’est croire en ça qui fait que j’arrête de m’enflammer comme de l’essence
j’ai compris dans quel monde j’étais bien après ma date de naissance

[pont]
mais je fume toujours des oints-j et j’suis toujours moi même
moi j’veux juste m’alléger et m’inspirer de mohamed
si tu veux la vérité poto tu sais quoi mettre
avant de quitté ce monde, faut que je laisse une liasse qui fait 3 mètres
[refrain]
(yeah)
moi j’suis métisse, et convertis, et frère aîné
où se trouve le bonheur, tout ça je verrais bien
j’sais pas quand, ni combien de temps mais je vais régner
ça ira quand la mif sera pepele, quand je serais plein
moi j’suis métisse, et convertis, et frère aîné
où se trouve le bonheur, tout ça je verrais bien
j’sais pas quand, ni combien de temps mais je vais régner
ça ira quand la mif sera pepele, quand je serais plein

[pont]
chronique d’un jeune banlieusard
maintenant c’est qui les propres, si le biff est dans le sac
j’en ai jamais rêvé, j’ai eu besoin de faire de l’argent dans le sale
moi j’suis pas méchant, les gens le savent (yeah)

[outro]
mais je fume toujours des oints-j et j’suis toujours moi même
moi j’veux juste m’alléger et m’inspirer de mohamed
si tu veux la vérité poto tu sais quoi mettre
avant de quitté ce monde, faut que je laisse une liasse qui fait 3 mètres
moi j’suis métisse, et convertis, et frère aîné
où se trouve le bonheur, tout ça je verrais bien
j’sais pas quand, ni combien de temps mais je vais régner
ça ira quand la mif sera pepele, quand je serais plein

- malo

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