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letra de appartement haussmannien - malcom n'giigo

[produit par la maison santiago]

[intro]
m-a-l-c-o-m
(graah)
c’est ez qui gère ma voix
tu parles que de racli j’aime pas trop
(graah, graah)

[refrain]
je te laisse les miettes je prends tout le gâteau, je crois que j’suis pas humain, j’suis un proto
tu parles que d’argent j’aime pas trop, tu parles que de racli j’aime pas trop
faut soigner son comportement, se faire voir remarquablement
veulent connaître mes appartenances, mdr, j’suis que dans des grands appartеments
la victime crie, lеs racailles criment
et les mamans des racailles prient
la victime crie, les racailles criment
et les mamans des racailles prient, et les mamans des racailles prient

[couplet 1]
nique la grand mère à toi et ta trend
je préfère me couper les mains que serrer la tienne
y’a personne qui m’portera malheur, je fais rentrer un salaire un vendredi treize
dans la rue, il y a qu’des zombies en train de scrollent
qui nous jouent les ricaines ou jouent les escrocs
je préfère une africaine qu’à rien n’à prouver
c’est pas des amis, si pour toi n’ont pas bougé
y’a trop de démons que j’garde en otage
aller en descente te fera pas monter, au ciel à la limite (maison santiago), tu connais la gimmick
te fais pas de ciné, ce monde est cynique, des hommes comme moi y’en a un par décennie
regarde j’suis qui, et à qui tu m’assimiles
j’arrive discret comme un civil en sicile
j’suis pas aveugle, mais j’ai des chiennes
sache que ton regard froid, te rend pas chaud
j’serai sur une montagne, tout seul et chauve
c’est dieu qui me guide, c’est moi qui fais les choses
sur mon cameroun, y’a une main basse
j’suis dans le grand bain, j’ai laissé les tasses
j’te respecte, jamais ta meuf je la regarde, mais ta meuf depuis t’à l’heure elle me regarde, elle t’respecte pas
[refrain]
je te laisse les miettes je prends tout le gâteau, je crois que j’suis pas humain, j’suis un proto
tu parles que d’argent j’aime pas trop, tu parles que de racli j’aime pas trop
faut soigner son comportement, se faire voir remarquablement
veulent connaître mes appartenances, mdr
j’suis que dans des grands appartements

la victime crie, les racailles criment
et les mamans des racailles prient

la victime crie, les racailles criment
et les mamans des racailles prient, et les mamans des racailles prient

[couplet 2]
je suis venu, j’ai vu
je suis revenu j’ai pris
je suis dans des lieux, tu rentres on te fouille
pi-piège de la rue faut trouver la faille
je vais péter des comptes offshores à singapour
du haut de ma tour, je vois le monde bruler
faut pas me parler d’amour, mon coeur c’est un muret
à chaque séance, je crée des oeuvres d’arts
y’a moyen que mon album je l’appelle “le musée”
j’suis pas le plus fort, mais j’suis le plus rusé
les néo-na—, se feront arroser
ils veulent savoir j’suis dans quoi, j’suis dans tout
et même pr-noncer mon nom c’est monétisé
pourquoi je rap ? pourquoi je trap ?
j’prends tout ce qu’est sur la carte, avec ma carte
je tiens pas par le calice, je connais les codes
je regarde que les âmes, je m’en fou des corps
j’ai une queue, elles ont des cornes
petit frère, va à l’école
montre pas tes poches, ça ramène des connes
on rigole mais faut pas déconner
en recto-verso, le recto on le connait
le calepin est long, le recteur je le connais
je peux pas trainer avec des trainés
l’appartement est grand, on rentre pas en training, training
(voice of welcoming woman)

la victime crie, les racailles criment
et les mamans des racailles prient

la victime crie, les racailles criment
et les mamans des racailles prient et les mamans des racailles prient

[outro]
j’suis la maison et personne d’autre, j’fais du pera comme personne d’autre
m-a-l-c-o-m
m-a-l-c-o-m

- malcom ngiigo

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