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letra de magie - maes

[paroles de “magie”]

[intro]
paw, paw, paw, paw
omerta 47
grrr

[refrain]
deux, trois millions, c’est pas assez
y’a trop d’humains à refroidir, y’a trop de plavon où faut placer
y’a trop de kilos qu’on fait partir, y’a trop d’bénef’ quand je fais la c’
y’a deux options, il faut choisir : tenir la laisse ou faire la chienne
(paw, paw, paw, paw)
on fait pas dans la magie
on porte nos couilles, on agit
ça rafale en réel comme t’imagines
guitare, on sort les machines
j’parle clairement, eux c’est la chine
j’fais bien rentrer dans la chair
le même couteau qu’j’prends pour découper le sh-t
(coupеr la, couper la, couper la)

[couplet 1]
ça remontе le pilon par la a6, mode fantôme, j’veski assises
on remet la cagoule y a pas d’actrices, personne esquive comme dans matrix
deux caisses puissantes, on vient à six, j’ai vu l’importance d’anticiper l’averse quand y avait la brise
plus grand chose qui m’affecte, y a que les larmes de ma fille qui m’attriste
c’est trente-milles euros si tu veux que j’vienne en
9-3-2-7 on vise la te-tê, tu connais : pas vu, pas pris
ils savent pas c’que ça va leur coûter de vouloir s’approprier ma prise
tokarev, visée, j’peux pas douter, tout l’monde a un prix, on viendra les shoot
il repart avec trous après qu’on a rafalé son pare-brise (grr)
on compte pas sur eux, on compte sur nos couilles et billets cassis
merco 63, quand j’suis libérable, j’ressors en asics
[refrain]
deux, trois millions, c’est pas assez
y’a trop d’humains à refroidir, y’a trop de plavon où faut placer
y’a trop de kilos qu’on fait partir, y’a trop d’bénef’ quand je fais la c’
y’a deux options, il faut choisir : tenir la laisse ou faire la chienne
(paw, paw, paw, paw)
on fait pas dans la magie
on porte nos couilles, on agit
ça rafale en réel comme t’imagines
guitare, on sort les machines
j’parle clairement, eux c’est la chine
j’fais bien rentrer dans la chair
le même couteau qu’j’prends pour découper le sh-t
(couper la, couper la, couper la)

[couplet 2]
nique leurs collab’ et ceux qui parlent tout seul
on t’verra partout-ci
j’gère ma plata, contrat et part tout seul
j’préfère t’finir que t’mettre en tt
eux, ils ont parkinson
j’ai vendu la coco tout l’été
on ferme une fois qu’ils partirent seuls
si j’veux j’sors le glock qui fait grrrr
j’parle pas aux salopes qui puent la défaite, faut juste les grrrr
j’descends à marbe’ sous plein de billets qui parte en grrrr
c’est toujours les mêmes, devant la barre pour actes de barbares
elle veut le dernier 500′ abarth
arrondiss-m-nt huitième pour le tom à part
sans pièce, j’encaisse
demande a ceux qui ont test
c’est nous qui faisons le show et la tess
toujours du vert dans mes sses-lia ainsi qu’au bout d’mon bec
si demain on perd c’est soit par un ennemi soit par un hendek
[refrain]
deux, trois millions, c’est pas assez
y’a trop d’humains à refroidir, y’a trop de plavon où faut placer
y’a trop de kilos qu’on fait partir, y’a trop d’bénef’ quand je fais la c’
y’a deux options, il faut choisir : tenir la laisse ou faire la chienne
(paw, paw, paw, paw)
on fait pas dans la magie
on porte nos couilles, on agit
ça rafale en réel comme t’imagines
guitare, on sort les machines
j’parle clairement, eux c’est la chine
j’fais bien rentrer dans la chair
le même couteau qu’j’prends pour découper le sh-t
(couper la, couper la, couper la)

- maes

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